Blockchain maakt zakenmodellen duurzaam
L’odyssée musicale de Polo & Pan
L’odyssée musicale de Polo & Pan Paul Armand-Delille et Alexandre Grynszpan, les artistes cachés derrière les masques de Polo & Pan. - D.R. Polo & Pan, les mages parisiens de l’electro-fun, entrés dans la légende musicale avec leur reprise scoute d’Ani Kuni, revisitent dans leur nouvelle mixtape, Odyssey, des classiques de Brahms, Ennio Morricone ou Vladimir Cosma. The New Yorker parle déjà d’un « enchantement ». Le duo répond modestement qu’il s’agit simplement d’une touche électronique posée sur leurs morceaux fétiches… Le duo français Polo & Pan enchante avec sa nouvelle mixtape. Par Daniel Couvreur Chef du service Culture Le 9/06/2023 à 17:51
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Pourquoi les Belges ne dorment pas bien ? Voici les trois plus gros perturbateurs du sommeil
Dans la grande majorité des cas, nous ne dormons pas assez et pas bien. Une étude vient de confirmer ce constat et révèle des comportements inadaptés. Mais aussi des paradoxes
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Un sexagénaire grièvement blessé après avoir perdu le contrôle de son véhicule à Stavelot
Un sexagénaire habitant en Flandre a été grièvement blessé, vendredi peu avant 15h00, dans un accident de la route survenu à Stavelot, a indiqué la zone de police Stavelot-Malmedy. Le conducteur circulait rue de Spa lorsqu’il a perdu le contrôle de son véhicule, qui a quitté la route avant de percuter un arbre.
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Un homme tire 21 fois en l’air avec une Kalachnikov à Charleroi: l’inculpé reste en détention préventive
La chambre du conseil de Charleroi a confirmé vendredi la détention préventive de l’inculpé qui a tiré en l’air à 21 reprises devant un café-bar à Charleroi dans la nuit de vendredi à samedi vers 02h45, a indiqué en fin de journée le parquet de Charleroi. Un appel à témoins a été lancé par la police fédérale pour obtenir des témoignages sur les faits.
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Guerre en Ukraine : Washington annonce une nouvelle aide militaire, surtout de défense antiaérienne, de 2 milliards de dollars
Les Etats-Unis ont annoncé vendredi une nouvelle tranche d'aide militaire à l'Ukraine qui concerne principalement des équipements de défense antiaérienne, sous la forme de commandes diverses à l'industrie de défense, d'environ 2 milliards de dollars.
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Musique : pourquoi les artistes belges cartonnent
Musique : pourquoi les artistes belges cartonnent L’anglais n’est plus la «lingua franca» de la pop. A l’instar de l’espagnol, le français est une langue parlée sur bien des continents. - PHOTOPQR/SUD OUEST/MAXPPP. Si tu m’avais dit il y a dix ans que les têtes d’affiche des festivals seraient des Belges, je ne t’aurais jamais cru ! » La saillie vient d’Alex Stevens, programmateur à Dour. Et le constat est bien là : Angèle tête d’affiche au CORE et au Pukkelpop, Damso à Dour, Lost Frequencies à Tomorrowland, Roméo Elvis à Couleur Café et Stromae qui devait être le clou de Rock Werchter. Aux Ardentes, Hamza et Lous & The Yakuza sont juste derrière les cylindrées que sont Kendrick Lamar et Aya Nakamura. À lire aussi Angèle reine des Belges au Core Festival Il n’y a pas qu’en Belgique, à l’étranger aussi, nos artistes sont présents : Angèle revient d’une tournée américaine, Henri PFR sera à Tomorrowland Brasil, Lous & The Yakuza à Roskilde au Danemark, Pierre De Maere au Paléo Festival de Nyon et la DJ Charlotte De Witte sillonne la planète. Bref, le Belge a la cote. Bien sûr, le plat pays a toujours recelé de talents, mais jamais autant n’étaient prêts à jouer la Champions’ League de la musique au même moment. C’est logiquement vers la France que se tournent d’abord les artistes francophones du plat pays. Mais là où avant, on montait à Paris, aujourd’hui, c’est Paris qui vient à nous. Qu’est-ce qui a changé ? À lire aussi Victoires de la musique: Stromae et Angèle «artistes de l’année», Pierre de Maere sacré «révélation» Elémentaire, mon cher StromaeLe grand vecteur de ce changement a un nom : Stromae. « C’est certain que quelque chose a changé avec Stromae», dit Nicolas Renard, manager de Puggy et Angèle. «Ça avait déjà un peu commencé avec la scène rock indé il y a vingt ans. Mais Stromae a inscrit cela à un niveau très grand public. » Plus gros vendeur de disques en France en 2013 et en 2014, Stromae a modernisé la chanson française, amenant un show à l’américaine dans le circuit hexagonal et a chamboulé toute l’industrie. Soudain, la petite Belgique n’était plus si petite aux yeux de son puissant voisin. Olivier Nusse, qui a signé le maestro sur Universal en 2010, expliquait aux Echos : « Je me suis demandé pourquoi un Belge était capable d’une telle audace là où beaucoup de Français se cantonnaient à un catalogue bien établi des grandes familles de musiques. Lui mélangeait déjà les genres de manière unique. » Audacieux, sans complexe et regardant au loin. Des qualités qui reviendront par la suite chez beaucoup d’artistes de chez nous. À lire aussi Podcast – Stromae: les dessous du phénomène Car depuis, la Gaule a été envahie par les tribus belges : Angèle, Damso, Roméo Elvis, Lous & The Yakuza, Hamza, Pierre De Maere... Contrairement à la scène pop-rock qui a précédé, la plupart chantent en français. Ce n’est pas anodin quand on sait qu’en 2022, 17 parmi les 20 plus gros vendeurs en France s’expriment dans la langue de Booba. Le rap et la pop urbaine ont remis le français au centre du game ? Oui, mais surtout, c’est « un genre dans lequel les déclinaisons régionales ont une importance considérable et une forme de décentralisation s’est mise en place », dit Christophe Pirenne, professeur de musicologie à l’ULiège. À lire aussi Fiesta latina sur la pop mondiale Français, langue universelleEn somme, l’anglais n’est plus la lingua franca de la pop. A l’instar de l’espagnol, le français est une langue parlée sur bien des continents. En 2019, Damso fait une tournée en Afrique : « C’était incroyable», dit son ancienne manageuse Anissa Jalab, «il était vu comme un président. Il jouait devant parfois 10.000 personnes qui connaissaient toutes les paroles par coeur. » Internet a permis d’abolir les frontières et de toucher de nouveaux marchés : « A l’époque, il n’y avait pas de plateformes là-bas, c’était surtout YouTube. Sachant cela, Damso a toujours dit que c’était important d’avoir ses titres sur YouTube pour que les Africains se sentent valorisés. C’est pour ça qu’on a fait la sortie QALF à Kinshasa. Et le disque a été numéro 1 mondial. On avait fait de l’affichage dans le monde entier, on voulait frapper à l’international, mais comme ça n’était jamais arrivé, on ne l’envisageait même pas. » Depuis, Damso fait toujours partie des deux cent artistes les plus écoutés dans le monde. À lire aussi Damso a refait main basse sur Spotify avec plus de 16 millions d’écoutes Car, à l’instar de toute autre langue chantée, il n’est pas nécessaire de comprendre le français pour l’apprécier. Angèle l’a découvert lors de sa récente tournée américaine devant « un public très américain», dit Nicolas Renard. «On s’était posé la question avant d’y aller : est-ce que ça allait être majoritairement francophone ou francophile ? En fait, non, le public était à 80-90% local avec beaucoup d’hispaniques. » Fever le duo avec Dua Lipa lui a permis de se faire connaître chez l’Oncle Sam, mais aussi Balance Ton Quoi, grâce « au clip qui a aidé à la compréhension du message de la chanson pour un public non francophone ». Par ailleurs, Angèle a réussi très tôt à passer la frontière culturelle qui est peut-être la plus difficile à passer pour un francophone : celle de la Flandre. « Dès le départ, elle s’est présentée comme une artiste belge. Une de ses premières radios, c’était StuBru. Bien avant que les radios françaises accrochent. » Résultat : dix MIA’s (les Victoires flamandes) remportées et des Sportpaleis d’Anvers remplis à chaque passage. À lire aussi Les Racines élémentaires d’Angèle: «J’ai construit mes pensées féministes grâce à plein de posts Instagram» C’est qui le patron ? Autre point commun entre la plupart de ces artistes : ils sont leur propre patron, s’appuyant sur une équipe de proches... Et sur une grosse structure. C’est le modèle qu’a choisi Stromae et qui est de plus en plus utilisé à l’ère des réseaux sociaux. Hamza est distribué par le label français Rec 118 qui appartient à la major Warner « parce que le marché est en grande partie en France, ça m’offre plus de visibilité. Mais, je suis producteur et éditeur de mes chansons, j’ai le contrôle de mon business ». À lire aussi Hamza: «Je ne calcule jamais quand je fais de la musique» « Internet a un peu chamboulé l’industrie», continue Nicolas Renard. «Les réseaux sociaux permettent à un artiste de développer son projet et de passer des étapes. Il y a ce truc organique auquel les gens accrochent et si ça marche dans un café, pourquoi pas à grande échelle ? Le label arrive seulement au moment où il faut étendre le spectre. Le marché est morcelé. Tout le monde n’est pas sur Instagram, TikTok, en radio ou sur les plateformes. Un gros label a une force de frappe qui peut être capable de toucher tous les publics d’un coup. » Il ajoute : « Avant il n’y avait pas de route parallèle. Maintenant, les gros labels ont compris que parfois, il faut simplement accompagner l’artiste. »C’est un changement de paradigme au sein même de l’industrie française. Avant, le label se chargeait de tout et ne visait pas vraiment l’export. La France suffisait aux Français. La donne a changé avec les artistes électroniques (Daft Punk, David Guetta) et un label comme Because (Christine & The Queens, Justice, Manu Chao). Les Belges, eux, se tournent naturellement vers l’international. Ils sont obligés de sortir de leurs frontières s’ils veulent vivre de la musique. La France est une étape primordiale, mais, à l’ère du streaming et de la mondialisation, pourquoi ne pas regarder plus loin ? A l’instar de Stromae, toujours lui, les p’tits Belges n’ont plus peur de viser grand. Et ce, dans tous les styles musicaux. À lire aussi Les «majors» du disque ne connaissent plus la crise « Stromae, Angèle ou Damso ont mis Bruxelles et la Belgique sur la carte musicale», dit Yoann Janssens de l’agence électro Culte. «C’est comme si on avait été d’un coup décomplexés. On s’est dit, nous aussi on peut le faire. Ce qui est clair dans le rap le devient dans l’electro. » « Les Belges sont adulés parce que psychologiquement, ils ne sont pas dans des cases», résume Anissa Jalab. «En France, si tu es arabe, tu dois chanter la cité, si tu es noir, tu dois faire de l’afro, si tu es blanc tu dois être rebelle... Chez nous, rien de tout ça. Tous les artistes belges ont leur personnalité. Ils sont libres, complètement décomplexés et ils se donnent les moyens de leurs ambitions. » À lire aussi La Jungle : la méthode (presque) punk Stromae, Angèle, Damso, Lost Frequencies, Hamza, Lous & The Yakuza, Charlotte De Witte... Jamais la Belgique n’avait eu autant d’artistes populaires dans le monde. Mirage ou âge d’or musical? Par Didier Zacharie Journaliste aux services Culture et Médias Le 9/06/2023 à 17:48
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« La singularité de la proposition artistique belge est très forte »
« La singularité de la proposition artistique belge est très forte » D.R. Le Liégeois Marc Thonon, après avoir travaillé à Paris dix ans chez Barclay et Virgin Music, crée en 1996 le label Atmosphériques, qui a lancé les carrières de Louise Attaque et Charlie Winston. Après avoir dirigé dès 2016 le bureau export du CNM (Centre national de la musique), il est aujourd’hui « éditeur de musique et développeur de talents ». Il accompagne les artistes (comme Alain Chamfort en ce moment) en tant que directeur artistique, producteur et éditeur. Il était le mieux placé pour nous parler de l’actuelle « invasion belge ».Comment percevez-vous l’actuelle vague de stars belges sur le marché français ?Ça m’impressionne beaucoup. Notre génération, précédemment, n’avait pas franchi le plafond de verre. Le meilleur exemple étant Marka qui a beaucoup essayé et travaillé, et s’est heurté à plein d’obstacles. Que ce soit en raison des firmes de disques ou des médias.Qu’est-ce qui a donc changé ?Aujourd’hui, il n’y a plus de frontières. Grâce aux plateformes numériques, tous les enregistrements sont disponibles dans le monde entier. L’Impératrice est très populaire au Mexique, on ne sait pas pourquoi. J’explique toujours aux artistes qu’il faut beaucoup d’humilité et d’espoir. La singularité de la proposition artistique belge est très forte. L’industrie musicale française est en ce moment en manque d’artistes populaires. Aujourd’hui, parmi les Enfoirés, il n’y a plus d’artistes respectés. Qui est le Maxime Le Forestier d’aujourd’hui ? Pierre de Maere, pour moi, c’est ce que faisait Polnareff il y a quarante ans. Il est un artiste à la fois respecté et populaire. Il a commencé en passant sur France Bleue qui est le Viva Cité français en quelque sorte. Puis c’est devenu un phénomène TikTok que personne n’a provoqué. L’étincelle est venue de l’originalité de la proposition. Pour se démarquer, tout est possible. Il faut être bien entouré évidemment, mais aussi développer un marketing de proximité. Comme avant on collait des affiches de concerts.Quelle est la spécificité des artistes belges ?La spécificité des Belges est la force de personnalités originales. En France, on a peur d’être à la fois respecté et grand public. Les Belges n’ont peur de rien, ils osent. En France, on n’a pas de Pierre de Maere. L’exception est sans doute Julien Doré. Mentissa a une voix incroyable en plus d’avoir été aidée par le parrainage de Vianney et une émission de télévision très populaire. Loïc Nottet est un phénomène mais les gens en France sont vite passés à autre chose. A-t-on envie d’entendre 150 fois le même son ? C’est le problème de notre époque : tout va très vite. Les médias aiment avoir une histoire à raconter, mais que dis-tu la deuxième fois ? J’ai rencontré ce problème avec Charlie Winston. Mustii, j’ai écouté, c’est vraiment d’un niveau international, mais en chantant en anglais, il se met en compétition avec les Américains et les Britanniques. Du coup, c’est beaucoup plus dur… L’autre force des artistes belges, c’est aussi qu’ils sont bien souvent leurs propres producteurs, contrôlant 100 % de la proposition artistique. Ils se rapprochent d’une façon de faire qui est très anglo-saxonne. Les Belges se posent moins de questions. Les artistes français sont plus réservés, pour eux Pierre de Maere avec la voix qu’il a, c’est « too much »… Marc Thonon, qui a lancé Louise Attaque et Charlie Winston, est certainement le Belge connaissant le mieux le marché français. Par Thierry Coljon Journaliste au service Culture Le 9/06/2023 à 17:48
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Des baobabs qui cachent une forêt de misère
Des baobabs qui cachent une forêt de misère Konoba a pris la tête de la contestation en devenant le symbole de tous ces artistes belges laissés sur le bord de la route. - Dominique Duchesnes. Bien sûr qu’on doit être fier et heureux de voir autant de stars belges cartonner en France en ce moment. C’est inédit et c‘est mérité. Ce qui ne veut pas dire que tout est facile pour les artistes belges, que la mode des Belges à Paris profite à tous. Le pavé a été lancé le 26 mars dernier par Raphaël Esterhazy, plus connu sous le nom de Konoba. Dans une tribune, il annonce mettre un terme à sa carrière, pour de multiples raisons. Il y a l’écologie (« J’ai besoin de me lancer corps et âme dans cette bataille »), les réseaux sociaux (« J’ai l’impression qu’ils nous ont fait basculer dans un niveau d’égocentrisme sans précédent. Les artistes semblent particulièrement touchés par ce phénomène, et les annonces de burn-out et de dépressions s’enchaînent non-stop ces derniers temps ») et enfin l’industrie musicale : « On pense que la musique belge se porte bien parce qu’on a des artistes à succès mondial comme Lost Frequencies, Stromae ou Angèle… Mais en réalité ils sont les immenses arbres qui cachent une forêt qui brûle. L’industrie musicale (est-ce que ce n’est pas déjà horrible de parler d’INDUSTRIE quand on parle d’art ?) se mondialise de plus en plus : quelques mégastars mondiales se retrouvent sur les ondes et sur les affiches des arènes, stades et sestivals du monde entier. La place laissée aux artistes locaux, à une culture alternative, disparaît d’année en année. Les petites salles sont vides, les stades sont pleins. Les petits et moyens festivals ferment leurs portes, les gros sont obligés d’augmenter leur capacité chaque année et proposent des affiches de plus en plus énormes avec des stars des quatre coins du monde pour y arriver. C’est tout ou rien, soit tu joues le jeu à fond pour devenir une mégastar, soit tu ne vaux plus rien et tu disparais… »De Brel à MauraneKonoba, qui a réussi à s’en sortir en marge du système en restant totalement indépendant, a beau avoir eu le soutien général des médias (nous dressions le portrait du Wavrien dès 2017), avoue peiner à survivre financièrement malgré de belles tournées internationales. Raphaël met le doigt là où ça fait mal : la plupart des artistes belges ont du mal à s’en sortir à l’heure du streaming ridiculement rémunéré où seuls les concerts rapportent véritablement. Cela n’est pas nouveau : à l’époque du succès mondial de Jacques Brel, ils furent nombreux à en souffrir (Jean Vallée, Paul Louka, Jacques Hustin, etc.) et à lui être comparés. Idem à l’époque de Maurane triomphant à Paris. La génération perdue des Jeff Bodart, Marka, Mousta Largo et Marc Morgan a aussi été soutenue par la presse sans récolter massivement le fruit de leur travail. Il n’en va pas autrement aujourd’hui. Nombreux sont ceux qui se cassent les dents sur le marché français. Du moins en chanson française, le rock alternatif s’en sortant mieux, même si les Girls in Hawaii ont eu plus de chance que les BRNS, Sharko et tous les autres. Dans les années 80 et 90, un Pierre Rapsat a réussi à vivre de sa musique et à remplir en Belgique les plus grandes salles. Ce que font aujourd’hui les Typh Barrow, Puggy, Suarez, Saule ou Mustii. Mais sans être connus au-delà des frontières de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Ce qui n’est pas normal, qu’ils chantent en anglais ou en français. Et puis il y a tous ceux dont on ne parle pas, qui n’ont plus accès aux grands festivals ni aux premières parties d’artistes stars invités dans nos centres culturels ou les grandes salles du pays. Le système des quotas en radios ? Ils profitent aux mêmes stars diffusées en haute rotation pour atteindre ces mêmes quotas, aux dépens de la diversité. La télévision ? A moins d’être coach dans The Voice, on n’y trouve souvent que des feux de paille. Alice On The Roof, Blanche, Loïc Nottet, Charles… sont populaires mais rien n’est jamais gagné en matière de disques vendus, même pour eux.Rien n’a donc changé. Cela n’a jamais été facile. Le métier d’artiste est des plus difficiles, cruel et minant. Mais à l’heure où nos stars montrent l’exemple et créent des vocations, il serait temps de soutenir toutes celles et ceux qui attendent leur tour… Par Thierry Coljon Journaliste au service Culture Le 9/06/2023 à 17:47
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Jacky Mathijssen heeft nog wat knopen door te hakken in aanloop naar het EK U21: “Zó jammer van Arthur Vermeeren”
Wie vervangt Arthur Vermeeren bij de Jonge Duivels? Reizen Olivier Deman en Ameen Al-Dakhil de groep nog achterna richting Georgië? “We nemen maandag pas een beslissing”, zei bondscoach Jacky Mathijssen van de beloften op het eerste persmoment van deze EK-campagne.
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Angèle et Damso, indélogeables
Angèle et Damso, indélogeables Le premier territoire à conquérir pour un artiste belge francophone, avant ou après la Belgique, est incontestablement la France. Etat de fait que les artistes belges ont intégré, au point qu’ils comptent désormais parmi les artistes produits en France les plus écoutés à l’étranger, comme le montrait le récent classement publié par le Centre national de la musique (CNM). Des fers de lance pour l’exportation de la musique française à l’international, même, puisque sur les six « stars » françaises qui s’exportent le plus, trois sont originaires du plat pays : Angèle, Damso et Stromae, celui-ci ayant écoulé plus de 250.000 copies de Multitude hors des frontières françaises – pour 122.000 à Damso, et quelque 85.000 pour Angèle, selon les chiffres du CNM. Cela sans compter les chiffres d’écoutes sur les plateformes de streaming, où le maestro place cinq titres pour un total de 150 millions de téléchargements.Ce trio de poids n’a pas attendu 2022 pour s’installer dans le paysage français et international, fréquemment abonné aux meilleures ventes d’albums (et de singles) du Snep (le Syndicat national de l’édition phonographique). Fréquemment et durablement, si on tient compte de l’historique des classements du Snep jusque 2018. Où Angèle a fait son apparition avec Brol, numéro 3 des ventes la semaine de sa sortie. Elle n’a plus quitté ce classement depuis, se hissant même au sommet en février 2019 (devant Lady Gaga et Lomepal). Même « score » pour Damso et Hamza, le premier se maintenant pratiquement en continu parmi les 50 meilleurs vendeurs de disques, le second plaçant en simultané Santa Sauce 2 et Paradise dans les best-sellers.Entré le 11 mars 2022 à la première place du classement, Stromae y a séjourné tout le reste de l’année, installé pendant huit mois dans le traditionnel top 50 – numéro 1 à trois reprises. A côté de ce trio incontournable, quelques autres fleurons belges ont encore pris les « charts » d’assaut : Lous And The Yakuza (classée neuf semaines en 2020), Arno (en 2019 et 2023), Lost Frequencies, mais aussi, au rang des nouveaux pensionnaires, nommés par ailleurs aux dernières Victoires de la musique, Pierre De Maere et Mentissa. La relève paraît bien assurée. Une dizaine d’artistes belges squattent, depuis des années, les classements des artistes les plus écoutés en France. Par Cédric Petit Journaliste au service Culture Le 9/06/2023 à 17:47
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La Jungle : la méthode (presque) punk
La Jungle : la méthode (presque) punk Mattias Launois. En dix ans, sur la scène alternative, les deux de La Jungle se sont construit une solide réputation. Mathieu Flasse (guitare, basse, claviers, voix) et Rémy Venant (batterie, loops) annoncent un nouvel album, Blurry Landscapes, pour le 23 juin. Dans le genre techno/kraut/transe/noise qui a fait leur patte, ce sera leur sixième déjà. Et leur second écrit pendant la pandémie. Depuis la levée des interdictions, le tandem a par ailleurs renoué avec les tournées des clubs et des petites salles, entre France, territoire qu’il fréquente assidûment depuis des lunes, Allemagne où il jouera une quinzaine de fois d’ici à la fin de l’année, quelques dates aux Pays-Bas, en Suisse (au Paléo), en Autriche et en Espagne. Chez nous, La Jungle sera aussi à Couleur Café (25/6) et Esperanzah (30/7). Tout ceci en plus de multiplier les projets parallèles ! « On a un groupe avec des enfants porteurs de handicap, soutenu par Brut Pop, détaille Rémy. On va enregistrer l’album à la fin de l’année. On a un groupe avec les copains de Spagguetta Orghasmmond (ndlr : le trio variéto-croono-punko-rigolo emmené par Michael Sacchi, lequel préside aux destinées du Rockerill à Charleroi), et on est aussi en train de produire l’album. Dernièrement, on était en résidence dans les Ardennes avec KermesZ à l’Est, des musiciens complètement dingues avec lesquels on a monté un groupe à dix qui s’appelle Junkz, sorti un premier ep, et là, enregistré le deuxième et joué notre premier concert… »La Jungle : « The hardest working band » du pays ? Mathieu admet qu’on le leur dit souvent… « Après, dans l’approche, on reste sur un modèle presque punk, embraie son comparse. On essaie de dépendre du moins de gens possible. On doit être cinq ou six. » Un tourneur pour la France, un pour la Belgique, un autre pour l’Allemagne, un attaché de presse, tandis que le boss d’un des labels avec lesquels ils travaillent, Black Basset en l’occurrence, gère une bonne part de la logistique quant à l’envoi d’albums : le compte y est ! « Finalement, cela reste de la petite échelle, une échelle humaine et c’est ce qu’on veut conserver. On fait beaucoup de choses nous-mêmes, comme le graphisme, la gestion de la boîte mail et des réseaux sociaux, l’administration de nos contrats Smart… Quand on part, y compris si c’est avec quelqu’un, on conduit nous-mêmes ! »En vivre ou nonOn peut imaginer que ces Belges qui rayonnent à l’international ne se posent plus depuis un moment la question de savoir s’ils doivent combiner leur activité d’artistes avec un autre job. Dans la forêt que cachent ces quelques arbres, il y en a qui s’en sortent et d’autres moins, voire pas du tout. Les genres ne sont pas tous mainstream, les ambitions et les rêves pas identiques. Pour Mathieu Flasse, ce qui fait la différence, c’est d’accepter de jouer partout : « Certains refusent de faire 400 bornes pour une date. Après, c’est un choix de vie, tout le monde n’a pas envie de faire 80 ou 90 dates par an. » Pas question dès lors de mettre tout le monde sur le même plan, tant les réalités sont différentes. « Ce qui fait qu’un groupe va tourner ou pas, avance Rémy qui, comme Mathieu, a pu se défaire d’un « full-time job », c’est avant tout de savoir s’il peut en vivre ou non. Si tu peux en vivre, ça veut dire que tu as du temps pour ça, et si tu as du temps, tu peux aller jouer loin. Ce n’est que de la logistique, en fait. » Et un peu d’organisation incluant vie de famille et autres activités privées.Quand on leur demande depuis combien de temps grosso modo ils vivent de leur musique, la réponse fuse : « On n’en vit pas ! » C’est aussi que le duo réinvestit pas mal dans… La Jungle. « Les gens se font vite des films avec ce que tu postes ou pas sur les réseaux sociaux. « Ah mais oui, La Jungle, ils ont plein de dates, ils roulent en Jaguar ! » Ben non, on se calme ! » Et de préciser quand même : ils ne sont pas sur la paille : « On se paie de temps en temps, on vit tout à fait décemment de notre musique, mais sans ces dispositifs de statut, tu ne peux pas faire du rock, c’est impossible… » Par Didier Stiers Le 9/06/2023 à 17:47
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Roland-Garros: cette règle qui a fait perdre un jeu à Carlos Alcaraz face à Novak Djokovic (vidéo)
Roland-Garros: cette règle qui a fait perdre un jeu à Carlos Alcaraz face à Novak Djokovic (vidéo) Reuters Alerte physique pour Carlos Alcaraz en début de troisième set face à Novak Djokovic en demi-finale. Sur un point anodin, le N.1 mondial s’est arrêté net et a mis la main sur son genou droit. Incapable de bouger pendant quelques instants, l’Espagnol semble être pris de crampes. L’arbitre principale ainsi que son adversaire viennent aux nouvelles, tandis qu’Alcaraz semble se tester mais finit par demander un temps mort médical. https://twitter.com/eurosport/status/1667193666320957441 Malheureusement pour lui, il perd dès lors le jeu et offre un break au Serbe qui fait 2-1. La raison : une application stricte de la règle qui dit que l’appel au médecin ne peut être demandé qu’à un changement de côté. Dans le cas contraire, le jeu est perdu pour celui qui fait la demande. A son retour sur le court, Alcaraz était clairement diminué et a laissé filer cette 3e manche 1-6. Le N.1 mondial a offert un break à son adversaire bien malgré lui dans cette demi-finale. Le 9/06/2023 à 17:46
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Roland-Garros: cette règle qui a fait perdre un jeu à Carlos Alcaraz face à Novak Djokovic (vidéo)
Le N.1 mondial a offert un break à son adversaire bien malgré lui dans cette demi-finale.
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AC Restaurant de Hondelange : un accord a été signé
Les négociations sur les conditions de départ sont terminées. Des indemnités complémentaires seront accordées
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Seizoensarbeiders krijgen uitzicht op minimumloon
Seizoensarbeiders kunnen vanaf juli aanspraak maken op het minimumloon. Dat heeft het kernkabinet vrijdag beslist. Voortaan zullen ze ook 100 in plaats van 65 dagen per jaar kunnen worden ingeschakeld.
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838 millions de recettes: des prélèvements kilométriques en hausse malgré la baisse du nombre de camions
838 millions de recettes: des prélèvements kilométriques en hausse malgré la baisse du nombre de camions D.R. Pour sa septième année de fonctionnement, le système de prélèvement kilométrique sur les camions a généré 838 millions d’euros de recettes, soit une hausse de 2% par rapport aux 822 millions actés au cours de l’année de fonctionnement précédente – chaque période allant d’avril à mars de l’année suivante.Publiés par Viapass, l’agence interrégionale qui coordonne et contrôle le prélèvement kilométrique sur les poids lourds au nom des trois régions du pays, ces chiffres en hausse ont de quoi surprendre vu que, l’an dernier, le nombre kilomètres parcourus et le nombre de camions qui ont emprunté nos routes soumises à perception ont diminué, passant s’agissant des véhicules concernés de 41,1 à 40,3 millions de véhicules. « La hausse des revenus est la conséquence de l’inflation », précise la porte-parole de Viapass. « Dans l’absolu, en l’absence de celle-ci, les recettes auraient dû baisser. » Les raisons de la baisse d’activité sont directement liées au fléchissement de la conjoncture depuis l’été 2022. « L’économie européenne a souffert en 2022. La production était perturbée en raison d’un manque de certaines matières premières et d’acheteurs. Le secteur du transport, un bon indicateur de cette même économie, a aussi été touché », dit-on chez Viapass où l’on précise que « seulement 3,2 % des camions n’appartiennent pas aux 2 catégories d’émission les plus propres » - qualifiées comme telles par l’organisme. Mais 91 % des 150.000 camions soumis chaque jour au péage appartiennent à la catégorie la plus lourde, soit plus de 32 tonnes. Les recettes ont notamment servi, en Wallonie, à financer la réfection des voies de diverses portions d’autoroutes ou encore la poursuite du déploiement du nouvel éclairage sur le réseau structurant. A Bruxelles, qui reçoit la portion congrue de cette manne (10 millions), les recettes ont été affectées au réaménagement du boulevard Reyers ou l’assainissement de divers tunnels, selon les données publiées dans le rapport annuel. Le système de «péage» pour camions a généré 838 millions de recettes lors du dernier exercice. En dépit de la légère baisse du trafic liée au fléchissement de la conjoncture. Par Benoît July Journaliste au service Economie Le 9/06/2023 à 17:42
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Guerre en Ukraine : Poutine affirme que la contre-offensive ukrainienne a échoué
Le président russe affirme que la contre-offensive de l'Ukraine a bien débuté, mais qu'elle a échoué.
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Amerikanen: “Rusland gaat zelf fabriek voor Iraanse drones bouwen”
Iran belevert Rusland op dit eigenste moment van materiaal om zelf een dronefabriek te bouwen. Dat meldt de woordvoerder van de Amerikaanse nationale veiligheidsraad, John Kirby, vrijdag. Vanaf “begin volgend jaar” zou de productie in de eigen Russische fabriek kunnen starten, zo wijst informatie van de inlichtingendiensten uit.
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Guerre en Ukraine: l’eau et l’électricité, sources vitales pour la sécurité de la centrale de Zaporijia
Guerre en Ukraine: l’eau et l’électricité, sources vitales pour la sécurité de la centrale de Zaporijia Le plus grand site nucléaire d’Europe puise directement dans le lac de retenue formé par le Dniepr en amont de Kakhovka, l’eau nécessaire au refroidissement de ses six réacteurs et des piscines contenant le combustible usagé. - REUTERS. Si les conséquences de la destruction du barrage de Kakhovka se font actuellement ressentir en aval du site, les inquiétudes n’en sont pas moins vives à quelque 150 km au nord, à la centrale de Zaporijia. Occupé depuis de nombreux mois par les forces russes, le plus grand site nucléaire d’Europe puise directement dans le lac de retenue formé par le Dniepr en amont de Kakhovka, l’eau nécessaire au refroidissement de ses six réacteurs et des piscines contenant le combustible usagé – ces dernières sont, à Zaporijia, situées à l’intérieur des enceintes de confinement. function get_dtkCxSegments() { if ('cxSegments' in localStorage) { /* Récupération de cxSegments + initialisation de variables destinées à en limiter la longueur */ let cx = localStorage.getItem("cxSegments"), valueCx = cx.split(","), valueCxLimited = [], charLength = 0, limit = 2000; /* Limitation de la longueur de la chaine de caractère */ for (var i = 0; i < valueCx.length; i++) { charLength = charLength + valueCx[i].length; if (charLength À lire aussi Guerre en Ukraine: une explosion détectée lors de la destruction du barrage de Kakhovka Le problème auquel est confrontée la centrale est donc la baisse du niveau du Dniepr, qui était situé à 16,8 mètres au-dessus du niveau de la mer avant la destruction du barrage. Dans un premier temps, l’Agence internationale de l’Energie atomique (AIEA) avait expliqué que le pompage de l’eau serait impossible si le niveau du fleuve devait passer sous les 12,7 mètres. Un point qui a été atteint jeudi. Néanmoins, l’AIEA a indiqué jeudi en fin de journée qu’elle avait reçu des informations de la centrale selon lesquelles le pompage continuait en dessous de cette cote et serait même encore possible jusqu’à un niveau de 11 mètres, « voire plus bas ».Toujours est-il que le fleuve continuait de baisser, à un rythme d’environ 4 à 7 centimètres par heure jeudi soir. Jusqu’où l’eau va-t-elle descendre ? C’est difficile à dire, puisque cela dépend de l’ampleur des dégâts occasionnés au barrage et de la profondeur des brèches. La situation reste donc « très précaire et potentiellement dangereuse », a déclaré jeudi Rafael Mariano Grossi, le directeur général de l’AIEA, qui a prévu de se rendre sur place la semaine prochaine. Le patron de l’agence a demandé un accès à l’endroit où est mesuré le niveau de l’eau du lac de retenue, « afin de pouvoir procéder à des vérifications indépendantes ».2Des réserves importantes à protégerElément « rassurant » : en dehors du lac de retenue du Dniepr, la centrale dispose de plusieurs réservoirs, qu’elle a rempli au maximum tant qu’elle peut encore avoir accès au fleuve. « Lorsque les réacteurs sont à l’arrêt, ou en cas de situation accidentelle, le refroidissement est assuré par des bassins équipés de systèmes d’aspersion, appelés bassins fontaines », explique l’Institut français de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) – l’équivalent hexagonal de l’AFCN – dans une note publiée sur son site internet mercredi. « Les six réacteurs de la centrale étant à l’arrêt depuis plusieurs mois, la chaleur à évacuer est limitée et l’autonomie de ces bassins est, dès lors, de plusieurs semaines. »« En l’état, on peut estimer qu’il faut quelques m3 par jour par réacteur ou par piscine », confirme Geert Biermans. « Cela n’a rien à voir avec les quantités qui seraient nécessaires pour refroidir un cœur qui viendrait d’être arrêté. »Pour alimenter les bassins fontaines, l’eau peut en outre être puisée dans un (très) grand bassin de rétention qui jouxte la centrale, et qui est séparé du Dniepr par une digue. Plusieurs canaux constituent également des réserves potentielles d’eau – notamment le canal de décharge de la centrale thermique (charbon et gaz) de Zaporijia – et l’AIEA a indiqué qu’il existait plusieurs puits sur le site. Dans ces conditions, cet ensemble de réserves pourrait assurer le refroidissement du site pendant plusieurs mois. C’est pourquoi il convient avant tout de protéger ces points d’eau, insiste l’AIEA. L’agence ajoute que « si nécessaire, le site peut accéder à une excavation profonde remplie d’eau dans la zone portuaire, au système de distribution d’eau de la ville voisine d’Enerhodar, ou utiliser des pompes mobiles et des camions-citernes des pompiers pour récupérer de l’eau ». À lire aussi Guerre en Ukraine: la terre noyée est aussi une calamité agricole L’IRSN attire toutefois l’attention sur le fait que si le niveau du Dniepr devait baisser encore plus bas, un risque d’étanchéité et d’intégrité pourrait peser sur les digues du bassin de rétention, en raison de la pression de l’eau contenue dans ce dernier – qui ne serait plus compensée par la pression des eaux du fleuve à l’extérieur. « Dans le cadre des stress tests post-Fukushima, l’exploitant ukrainien a estimé que la tenue des digues est garantie pour un niveau du Dniepr de 10 mètres », note cependant le gendarme nucléaire français. « La rupture du barrage – suite à un tremblement de terre – était en effet dans les stress tests post-Fukushima », confirme Geert Biermans. « Cela signifie que les mesures auxiliaires sont prévues. Mais il y a les inconnues liées à la situation de guerre. Quelle est la disponibilité du matériel ? Quelle est la stabilité du personnel ? »3Le risque de perdre le courantPour autant, la plus grande menace qui plane sur la centrale de Zaporijia, c’est le risque de coupure électrique. Le site n’est plus relié au réseau extérieur que par un seul câble de 750 kv, les trois autres câbles ayant été endommagés. Or, l’électricité est essentielle pour faire fonctionner les systèmes de circulation de l’eau de refroidissement, et plus généralement, pour toutes les fonctions de sûreté et de sécurité de la centrale. Depuis le début de l’invasion russe, Zaporijia a déjà été coupée à sept reprises de toute alimentation électrique extérieure – la dernière fois c’était le 22 mai. Dans ce cas, ce sont des générateurs diesel de secours qui prennent le relais pour produire le courant. « Ils ont du carburant pour fonctionner pendant une vingtaine de jours », explique Geert Biermans. « Evidemment, en fonction des circonstances sur le terrain, il peut être possible de reconstituer les stocks de diesel. » L’expert de l’AFCN rappelle par ailleurs qu’en raison de leurs dimensions, ces générateurs doivent eux-mêmes… être refroidis par de l’eau.4Le pire des scénariosMais alors, que se passerait-il si la circulation de l’eau était interrompue parce que les réserves sont épuisées – ou parce que la centrale n’a plus de courant pour la faire circuler ? Dans ce cas, l’eau qui reste dans les cœurs ou dans les piscines va commencer à chauffer. Dans l’hypothèse où rien n’est fait, l’eau contenue dans la cuve du réacteur va se mettre à bouillir, puis à s’évaporer, jusqu’à ce que le cœur se retrouve « à sec ». « C’est ce qui s’est passé à Fukushima », explique Geert Biermans, qui rappelle que dans le cas japonais, le réacteur était encore en pleine activité au moment de la catastrophe. « Entre l’arrêt du refroidissement actif et l’ébullition, il y a une période dite “de grâce”, entre 100 et 200 heures », explique le spécialiste. « A ce stade, on peut encore utiliser des pompes mobiles pour refroidir le cœur, pour éviter qu’il fonde. »Le cœur entre en fusion, mais notons qu’il n’explose pas. « On a en tête le souvenir des explosions de Fukushima », détaille Geert Biermans. « Mais ces explosions ont été provoquées par des accumulations d’hydrogène. Lors de la fusion du cœur, le zirconium qui se trouve dans les gaines des barres d’assemblage de combustible se dégrade et produit de l’hydrogène qui s’accumule et fait monter la pression, si bien que c’est le bâtiment qui abrite le réacteur qui explose, mais pas le réacteur en lui-même. » Une telle explosion entraînerait le rejet de particules radioactives dans l’atmosphère. À lire aussi Le Japon commémore la catastrophe nucléaire de Fukushima, 11 ans après (photos) « On est loin de ce scénario-là », tempère toutefois Geert Biermans. « Les cœurs sont beaucoup moins chauds qu’à Fukushima, où le tsunami avait en plus détruit tous les moyens auxiliaires. Ce qui ne veut pas dire que la situation à Zaporijia n’est pas grave ! » La destruction du barrage de Karkhovka pourrait à terme priver la centrale nucléaire de l’eau nécessaire au refroidissement des réacteurs. Mais il y a plusieurs bassins de réserve, qu’il convient de protéger. Le site reste surtout à la merci d’une coupure d’électricité. Par Bernard Padoan Journaliste au service Economie Le 9/06/2023 à 17:36
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