Crise des retraites en France: la Première ministre veut «mettre de l’apaisement»

Elisabeth Borne a souhaité dimanche, dans un entretien à l’AFP, « mettre de l’apaisement » avec les syndicats en se disant à leur « disposition » pour les rencontrer sur d’autres chantiers que celui des retraites, contesté depuis dix semaines dans la rue.
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La semaine prochaine, elle recevra lundi les présidents de la majorité des commissions au Parlement, mardi les présidents du Sénat, Gérard Larcher, et de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, puis mercredi les chefs de partis de la majorité, avant de réunir en fin de semaine ministres et parlementaires sur l’éducation.
La semaine du 3 avril, elle échangera également avec ministres et parlementaires concernés par les thèmes de la santé et de l’écologie.
La qualité de vie au travail et l’emploi des seniors seront abordés la semaine du 10 avril.
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« On veut vraiment mettre la priorité sur quelques sujets pour montrer rapidement des résultats concrets aux Français », a affirmé Mme Borne.
Sur l’éducation, elle entend par exemple « tenir l’engagement dès la rentrée que chaque absence, y compris de courte durée, fait l’objet d’un remplacement ». Et sur la santé, elle souhaite que « chaque patient en affection de longue durée puisse avoir accès à un médecin traitant ».
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« Je suis à la disposition aussi des partenaires sociaux. Il faut qu’on trouve le bon chemin : est-ce que ce sont des rencontres bilatérales, une intersyndicale ? Il faut qu’on mette de l’apaisement », a affirmé la Première ministre.