Een creuset met een hart, roze bubbels of een gepersonaliseerd setje: team Billie goes valentijn

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Avant le déplacement des Diables à Stockholm, trois choses à savoir sur la Suède AFP 1 Pas de Mondial, la Ligue C… La Suède repart de loin ! La Suède a non seulement manqué le rendez-vous du Mondial au Qatar, mais elle a aussi terminé dernière de son groupe en… Ligue B de la Nations League, ce qui l’obligera à évoluer en Ligue C la saison prochaine aux côtés du Luxembourg, le Kosovo ou encore les îles Féroé. Ce vendredi, les Suédois tenteront d'ailleurs de décrocher une première victoire à Stockholm depuis pile un an (24 mars 2022, face à la Tchéquie). Ces résultats plus que décevants n’ont pas coupé la tête de Janne Andersson, toujours à la tête de la sélection suédoise qui peut s’appuyer sur quelques jeunes joueurs de talent. La priorité, toutefois, sera de reconstruire une défense solide sous la houlette de Victor Lindelöf (Manchester United), promu capitaine à la place de Zlatan Ibrahimovic. 2   Kulusevski-Isak, à deux devant pour faire renaître la nation Loin des caméras de la Coupe du monde, la Suède, avec certes une équipe un peu bricolée à chaque fois, a retrouvé le sourire en enchaînant quatre victoires en quatre matches amicaux (Mexique, Algérie, Finlande, Islande). Point commun de ces quatre succès ? Le passage à un 4-4-2 devenu rare, notamment en attaque ou Janne Andersson cherche encore la bonne association. Enfin, la combinaison idéale, il la connaît mais n’a simplement pas encore eu l’occasion de la tester : Dejan Kulusevski et Alexander Isak. Les deux joueurs de Premier League (Tottenham et Newcastle) sont promis à un bel avenir, tant en club qu’en sélection. À 22 et 23 ans, ils portent déjà sur leurs épaules l’héritage d’Henrik Larsson et Zlatan Ibrahimovic. Reste à savoir si la sauce va prendre entre deux joueurs qui, en 21 matches ensemble, ne se sont encore partagé aucun but. 3 Zlatan Ibrahimovuc, menace éternelle pour les gardiens adverses À 41 ans, Zlatan Ibrahimovic est toujours là. « Les gens pensent que je suis stupide, mais le simple fait d’entendre que c’est fini me donne envie de continuer. » L’attaquant du Milan AC estime qu’il est toujours capable d’être décisif, comme il l’a prouvé le week-end dernier en Serie A, raison pour laquelle Janne Andersson n’a pas voulu s’en priver. Même si son histoire avec la sélection n’a pas toujours été rose, sa présence dans le vestiaire suédois ne serait aujourd’hui pas un problème aux yeux de ses coéquipiers. Que du contraire. Vendredi, son manque de rythme ne lui permettra pas d’être titulaire mais sa montée au jeu sera, quoi qu’il arrive, un sérieux test pour la « nouvelle défense » des Diables rouges. L’équipe de Janne Andersson doit rebondir après avoir loupé le Mondial 2022. Par Jonas Bernard Le 23/03/2023 à 16:07

«La réponse de Loïs fait plaisir», «Les places seront chères»: en stage en Espagne, les Diablotins préparent l’Euro Espoirs RBFA Sous le soleil revigorant de la côte espagnole, les Diablotins se sont réunis cette semaine pour jeter, dans le calme et la sérénité, les bases de l’Euro Espoirs qui se tiendra en juin et juillet. Les joueurs de Jacky Mathijssen ont deux rendez-vous amicaux au menu à Pinatar : ce vendredi (18h) contre la République Tchèque et ce lundi (19h) contre le Japon. Pour l’occasion, le groupe est privé de Nicolas Raskin et Yari Verschaeren, tous deux forfaits, et de Johan Bakayoko, appelé en renfort pour remplacer Jérémy Doku chez les Diables rouges. Mais ce ne sont pas des raisons pour ne pas travailler dans le plus grand des sérieux. https://twitter.com/RoyalBelgianFA/status/1638637028978966531 « Je suis très content de ce début de stage », expliquait le sélectionneur des U21 belges. « Les conditions sont idéales. On sent que l’Euro approche à grand pas. Je vois énormément d’envie au sein du groupe. Beaucoup d’éléments de notre équipe sont montés avec les Diables rouges récemment (NDLR : Amadou Onana, Loïs Openda, Johan Bakayoko, Roméo Lavia…), et cela donne à tout le monde la volonté de pousser et de se montrer. C’est clair que, pour le mois de juin, les places seront chères. » Jacky Mathijssen n’a d’ailleurs pas manqué d’afficher sa satisfaction suite au fait qu’Openda ait publiquement dit, mardi dernier, que certains pourraient redescendre avec les U21 en juin. « Lors d’un de nos meetings, j’ai montré aux joueurs la réponse de Loïs. J’ai vraiment trouvé ça top de l’entendre de sa bouche. Le message m’a fait plaisir. C’est une confirmation pour moi mais cela peut donner une motivation supplémentaire à tous les autres. » Yari Verschaeren dans tous les esprits En début de semaine, les Diablotins ont dû encaisser deux coups durs avec les blessures de Nicolas Raskin et Yari Verschaeren. Ce dernier manquera d’ailleurs l’Euro. « C’est vraiment très difficile pour Yari. J’espère qu’il va garder le moral et qu’il reviendra dans quelques mois en forme. Il faut savoir qu’il est dans la tête de beaucoup de joueurs. On pense fort à lui, car il s’entendait avec tout le monde. » https://twitter.com/RoyalBelgianFA/status/1638271855281819666 Pour le match face à la République Tchèque ce vendredi, Yorbe Vertessen ne devrait pas être aligné, lui qui était blessé avec l’Union la semaine dernière. « La collaboration avec le club se passe parfaitement. On espère pouvoir compter sur lui pour une partie de notre deuxième match », poursuivait Mathijssen. « Je vois ces deux amicaux comme 4 X 45 minutes. Tout le monde aura du temps de jeu. On veut vraiment se concentrer sur notre manière de jouer, pas spécialement sur le résultat. C’est pourquoi on devrait aussi bien jouer avec une défense à 3 qu’avec une défense à 4. J’ai, à ma disposition, un groupe très flexible. Donc on pourrait essayer des choses. » Michel-Ange Balikwisha concentré sur la Belgique En Espagne, Michel-Ange Balikwisha fait dorénavant partie des « anciens » de l’équipe. Son rôle de cadre est important. « J’aime bien intégrer les nouveaux joueurs ou ceux qui sont plus timides. Je suis un peu là pour libérer mes coéquipiers, en faisant des petits concours aux entraînements ou en mettant l’ambiance », disait l’ailier de l’Antwerp, impatient à l’idée de disputer l’Euro. « L’attente est de plus en plus intense, c’est assez excitant. Bien sûr, les Jeux olympiques sont la carotte. Mais avant cela, il y a ce stage de préparation puis l’Euro… » Et ce n’est pas parce que son frère, William, a opté pour la RD Congo qu’il fera forcément le même choix : « Je laisse ça entre les mains de Dieu. Pour le moment, je suis concentré sur les Diablotins. Comme je l’ai dit à mes parents, je ne pense qu’à la Belgique actuellement. Je verrai ensuite ce qui arrivera… » Une décision à mûrir pour Ameen Al-Dakhil Ameen Al-Dakhil, qui vient d’effectuer des premiers pas très intéressants avec Burnley, lui, sera aussi amené à choisir dans un futur plus ou moins proche. L’Irak ou la Belgique ? « L’Irak essaie encore de m’attirer, la Fédération est souvent en contact avec mon père. Mais je n’ai pas encore pris de décision. Je n’ai pas dit que je n’allais jamais jouer pour l’Irak ou pour la Belgique. Je suis encore en train de réfléchir », avançait l’ancien défenseur du Standard et de Saint-Trond, pour qui l’Euro U21 demeure malgré tout important. Les Diablotins, en stage à Pinatar, s’apprêtent à affronter la République Tchèque (vendredi) et le Japon (lundi). Deux rencontres amicales avec l’Euro Espoirs dans le viseur. Par Jean-François Patte Le 23/03/2023 à 16:06

L'OMS s'est déjà fâchée dans le passé contre des déclarations d'Elon Musk qui remettaient en cause, selon elle, les activités des scientifiques.

L’événement se déroulera du 11 au 23 avril au Palais 10 de Brussels Expo.

Les termes "chicon" et "patates" étaient utilisés pour désigner le cannabis et la cocaïne

L'Allemande Dorothea von Boxberg deviendra le nouveau CEO de Brussels Airlines à partir de la mi-avril, a annoncé jeudi la compagnie aérienne, filiale du groupe aéronautique allemand Lufthansa.

Le parc éolien de Tourpes-Thumaide est visé par une deuxième extension. Le promoteur, E-NosVents, a remis sa demande de permis en vue d’ériger un treizième mât.

Boerin Cathy heeft duidelijk moeite om een keuze te maken in ‘Boer zkt vrouw’. Voor de brunette zit er dan ook maar één ding op: de hulp van haar vriendinnen inschakelen. Alleen nemen de drie vrouwen hun taak wel héél ernstig. “Meteen zo serieus, amai.”

Ze leek haast vastgeroest in Grey Sloan Memorial, maar het negentiende seizoen van ‘Grey’s Anatomy’ betekent wel degelijk het laatste voor Ellen ‘Meredith Grey’ Pompeo. Na bijna twee decennia en honderden afleveringen was de actrice toe aan nieuwe oorden. Het einde van een tijdperk, al kunnen de fans nog één keer onbeschaamd genieten van alle intriges rond de chirurge.

Raakt de bijna perfecte moord dan na 21 jaar toch nog opgelost ? Dat is de vraag van familie en vrienden van Freddy. Op 17 november 2002 troffen speurders het levenloze lichaam van Freddy Putseys (42) aan in zijn woning in Zichem. Naast hem pillen en drank...een wanhoopsdaad. Dat denken speurders toch op het moment van de eerste vaststellingen, maar na enig onderzoek blijkt dat Freddy is vermoord door wurging. Dat de moordenaar in de directe omgeving van het slachtoffer komt was ook duidelijk. Helaas, meer dan twintig jaar later is deze nog steeds niet gevonden. “Hopelijk komt met het nieuwe onderzoek eindelijk duidelijkheid. Ik zou zo graag de moordenaar van mijn vader in de ogen kijken en zeggen wat die heeft aangericht; ook met onze levens.”

Florent Martin, le gardien de l’Old Club de Liège, qui s’est récemment blessé au dos, espère revenir pour aider son équipe à remporter le duel contre le Daring, ce dimanche (15h), et à se maintenir en Division d’Honneur.

Le parti s’est rassemblé à Wavre en vue de lancer ses travaux thématiques en vue des prochaines échéances électorales de 2024.

15:58 La majorité PS-MR-Ecolo en Fédération Wallonie-Bruxelles est dans la tempête. Le dossier des habilitations pour l'organisation de masters en médecine risque de faire tomber le gouvernement.

Le gardien d’Anderlecht et quatre autres joueurs auraient été empoisonnés par le repas du mercredi.

Max Lermusiaux, membre de l’équipe première de Don Bosco, obtient la médaille d’argent en championnat de Belgique série B.

15:56 Vrienden en samenwonenden zullen in Brussel goedkoper van elkaar kunnen erven. De Brusselse regering heeft plannen klaar om de successierechten voor hen te verlagen.

Un habitant de Grivegnée âgé de 34 ans a été condamné jeudi par la cour d’appel de Liège à une peine de 30 mois de prison avec sursis probatoire après avoir tenté d’étrangler sa compagne après la période de confinement.

Le président français Emmanuel Macron est arrivé en toute discrétion trois heures après ses pairs jeudi au sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union européenne, a constaté une journaliste de l’AFP.

Brussels Airlines: Dorothea von Boxberg devient la nouvelle CEO La compagnie aérienne allemande Lufthansa, maison-mère de Brussels Airlines, a annoncé que Dorothea von Boxberg, actuelle patronne de la filiale Lufthansa Cargo AG, a été désignée comme CEO de la compagnie aérienne belge. Dorothea von Boxberg va remplacer Christina Foerster, qui exerce pour le moment la fonction de patronne ad interim depuis le départ fin janvier de Peter Berger – qui deviendra le patron du transporteur allemand Condor à partir du 1er février 2024. function get_dtkCxSegments() { if ('cxSegments' in localStorage) { /* Récupération de cxSegments + initialisation de variables destinées à en limiter la longueur */ let cx = localStorage.getItem("cxSegments"), valueCx = cx.split(","), valueCxLimited = [], charLength = 0, limit = 2000; /* Limitation de la longueur de la chaine de caractère */ for (var i = 0; i < valueCx.length; i++) { charLength = charLength + valueCx[i].length; if (charLength À lire aussi Lufthansa et Brussels Airlines attaquent les nouvelles redevances belges Elle remplace Christina Foerster au poste de CEO de la compagnie aérienne belge. Par Bernard Padoan Journaliste au service Economie Le 23/03/2023 à 15:53

15:51 De Bel20 noteert voor de tweede dag rij in het rood. Tessenderlo en IBA openden de laatste loodjes van het Brusselse resultatenseizoen.

De Zweedse premier zal donderdag uitleg vragen aan Hongarije, over het uitblijven van de ratificatie van de toetreding van Zweden tot de NAVO, terwijl het Hongaarse parlement wel zal stemmen over de toetreding van Finland. Beide Noordse landen hebben hun verzoek tot lidmaatschap samen ingediend.

«Edouard VIII aurait fait à coup sûr un super-Pétain» EPA. A  l’Allemagne nazie, la domination du continent. A l’Angleterre, celle des mers. Voici comment Adolf Hitler voyait le partage du monde de l’après-guerre. Dans L’Aigle et le Léopard, l’historien français Eric Branca revient sur ce scénario qui aurait pu aboutir si le Fürher n’avait trouvé sur son chemin un certain Winston Churchill. Votre livre décrypte les « liaisons dangereuses entre l’Angleterre et le IIIe Reich ». Elles furent au cœur de la politique étrangère d’Hitler dès la rédaction de  Mein Kampf en 1924. Absolument. Beaucoup de choses concernent la politique étrangère du futur IIIe Reich dans Mein Kampf. Mais il y en a bien davantage dans le second livre d’Adolf Hitler qui aurait dû paraître en 1927-1928, mais n’a été publié que bien après sa mort, soit en 1961-1962. On y découvre que toute la géopolitique du Führer est organisée autour de l’alliance avec l’Angleterre. A lire par ailleurs ses Libres propos , on comprend qu’il n’y a pas un jour durant le second conflit mondial où Adolf Hitler n’ait parlé de la Grande-Bretagne et de la difficulté de faire la paix avec elle. C’est une constante dans sa géopolitique. Vous évoquez longuement l’admiration pour le national-socialisme et Hitler que concevait Edouard VIII – le roi qui a renoncé au trône en 1936 pour épouser sa maîtresse Wallis Simpson. Hormis l’ex-souverain, de quels appuis le IIIe Reich disposait-il en Grande-Bretagne ? Edouard VIII est la face émergée de l’iceberg. Il est certain que si Hitler avait débarqué en Angleterre, l’ex-roi aurait constitué un allié de poids. Le Führer l’aurait remis sur le trône en renforçant ses pouvoirs sur le plan constitutionnel. Edouard VIII aurait fait à coup sûr un « super-Pétain ». Mais si l’affaire Edouard VIII est importante, spectaculaire, les soutiens britanniques du IIIe Reich ont largement dépassé la famille royale et certains aristocrates. J’ai essayé de montrer dans mon livre que l’alliance jamais conclue avec Hitler aurait été basée sur un partage du monde, et que ce projet était bien accueilli dans beaucoup de secteurs de la société, y compris au sein du Labour, le parti travailliste. Je rappelle qu’Oswald Mosley, le chef du parti fasciste britannique, était lui-même un aristocrate, et qu’il avait effectué une partie de sa carrière chez les travaillistes. La grande banque et les milieux financiers étaient également de la partie. Dont Montaigu Norman, le gouverneur de la banque d’Angleterre, qui était très proche d’Hjalmar Schacht, le ministre de l’Economie d’Hitler. Il était le parrain de son petit-fils. Dans tous les milieux influents anglais, il y avait sinon une fascination, du moins une volonté de faire alliance avec le IIIe Reich au motif qu’il ménagerait l’Empire britannique. Sans parler d’une forte prégnance de l’antisémitisme. Hitler a séduit l’élite outre-Manche en lui expliquant que, si elle trouvait un arrangement avec lui, il garantirait l’avenir de l’empire britannique qui commençait alors à craquer de toutes parts. L’historien britannique Julian Jackson explique pour sa part que la société britannique eût été beaucoup plus prompte que la société française à tomber dans l’escarcelle d’Hitler. Vous rappelez comment le duc de Windsor – l’ex-Edouard VIII – et sa femme ont bu du petit-lait lors d’une rencontre en 1937 avec le Führer à Berchtesgaden. On est abasourdi par un tel manque de lucidité… Alan « Tommy » Lascelles, qui fut le secrétaire de George V, a démissionné en voyant comment Edouard VIII gouvernait. Il est ensuite passé au service de George VI et a guidé les premiers pas d’Elizabeth lorsqu’elle est devenue reine en 1953. Dans ses mémoires, il écrit qu’Edouard VIII avait le mental d’un garçon de 15 ans, le jugeant un petit peu arriéré. D’où l’influence extraordinaire qu’a eue sur lui Walis Simpson quand il l’a rencontrée. Wallis Simpson dont il faut se souvenir qu’elle avait été la maîtresse du ministre des Affaires étrangères du IIIe Reich Joachim von Ribbentrop, lequel avait été ambassadeur à Londres avant-guerre. Auparavant, elle avait été la maîtresse de Ciano, le gendre de Mussolini. Elle était très engagée aux côtés des fascistes et des nazis. Elle a joué un rôle de poisson-pilote. Dans l’introduction de votre ouvrage, vous revenez sur la « une » du  Sun du 18 juin 2015 qui titrait « Their Royal Heilnesses » en référence à une vidéo montrant la future Elizabeth II âgée de 7 ans singeant le salut nazi. Je crois qu’on peut dire que, globalement, à part Edouard VIII, la famille royale s’est montrée à peu près correcte. Notamment les parents de la reine Elizabeth II, George VI et Elizabeth Bowes-Lyon. Mais cet épisode fait partie de leur histoire familiale. On se souvient qu’en 2005, le prince Harry avait fait scandale en portant lors d’une soirée costumée un uniforme de l’Afrika Corps. C’est le même aujourd’hui qui affirme que sa famille est raciste. Il faudrait qu’il balaie devant sa porte… Il y a donc une vieille obsession récurrente chez les Windsor. Mais Elizabeth II et son mari se sont montrés parfaits. Les parents de la reine plus encore. Rudolf Hess fait irruption en Ecosse en 1941. Il se croit en charge d’une mission de conciliation prétendument initiée par Hitler. Cette affaire a mis Winston Churchill en mauvaise posture face à Staline qui craignait une paix séparée entre Londres et Berlin. Mais le premier ministre britannique, loin d’être déstabilisé, va au contraire tirer parti des circonstances pour amener la Russie à prendre part au conflit… L’Europe doit beaucoup au rôle de Churchill. Il a tenu tête aux « appeasers » – les partisans de l’apaisement avec l’Allemagne – en 1940. Quant à la récupération de l’affaire Hess, elle tient du coup de génie. Avec elle, Churchill a voulu faire croire à Staline qu’il y avait une possibilité d’entente entre l’Angleterre et l’Allemagne et que lui-même était menacé. En réalité, en 1941, il n’y avait plus aucune chance qu’une telle solution l’emporte. Le « blitz » sur Londres avait eu lieu entre-temps, Lord Halifax et tout le parti de la paix avaient été éliminés. Mais l’Angleterre était en mauvaise posture à cause de la guerre sous-marine, et il était urgent qu’un second front s’ouvre en Europe. Or Staline, malgré les avertissements de Churchill, ne voulait pas croire à l’imminence d’une attaque allemande. L’affaire Hess était pour Churchill l’occasion de le sensibiliser au danger. Directement après la guerre, Churchill a cherché à redorer le blason de la Grande-Bretagne. Il aurait fait détruire des archives compromettantes de Mussolini… Y avait-il dans ces papiers de quoi démontrer que l’Angleterre aurait pu faire un autre régime de Vichy ? Je le pense vraiment. Nous n’aurons jamais la preuve absolue de ce qui est arrivé à ces documents. Mais on sait que Churchill est allé en Italie en 1945 où il a rencontré des gens qui avaient des documents de Mussolini. Les a-t-il lui-même récupérés ? Je ne sais pas. Mais il est clair qu’il a agi pour la réputation de la Grande-Bretagne, n’ayant rien à se reprocher personnellement. Je pense qu’il voulait écrire l’histoire d’une Grande-Bretagne exemplaire, un peu comme De Gaulle a cherché à le faire pour la France. La décolonisation fut une conséquence lointaine de la Seconde Guerre. En se tournant vers les Etats-Unis, Churchill a fait entrer le loup dans la bergerie. Les colonies britanniques deviendront un jour le lieu du grand commerce américain, et donc de l’influence de Washington… Absolument. Ce fut certainement un dilemme profond pour le grand impérialiste qu’était Churchill. Mais n’oublions pas que sa mère était américaine. Et puis il n’a jamais cru aux promesses d’Hitler. Il a donc choisi le camp de la liberté, même si cela devait à terme amputer la Grande-Bretagne d’une grande partie de son empire et de son influence. Après avoir quitté le pouvoir, il a dit à des proches avoir fait énormément de choses qui, finalement, « n’auront servi à rien » car il n’y avait plus d’empire britannique. Tout s’est joué en juin 1940, alors que les troupes françaises et britanniques étaient encerclées à Dunkerque. Si la paix avait été signée à cet instant entre Berlin et Londres, tout aurait été différent. On ne refait pas l’histoire avec des « si ». Mais il est clair que la paix établie, l’Amérique isolationniste n’aurait eu aucun intérêt à reconquérir l’Europe, puisqu’elle n’aurait pas pu compter sur l’Angleterre comme base de départ. L’Aigle et le Léopard, Eric Branca, Editions Perrin, 432 pages, 23,50 € Il s’en est fallu de peu pour que ne réussisse l’entreprise de séduction lancée par Hitler sur Londres avant-guerre. Son échec décidera de l’ordre du monde tel que nous le connaissons encore aujourd’hui. Par Pascal Martin Journaliste au service Forum Le 23/03/2023 à 15:49

Monarchie britannique: pourquoi Edouard VIII aurait fait à coup sûr un super-Pétain» Le duc de Windsor et sa femme Wallis Simpson avec Adolf Hitler en 1937. Une photo sans appel. - EPA. A l’Allemagne nazie, la domination du continent. A l’Angleterre, celle des mers. Voici comment Adolf Hitler voyait le partage du monde de l’après-guerre. Dans L’Aigle et le Léopard, l’historien français Eric Branca revient sur ce scénario qui aurait pu aboutir si le Fürher n’avait trouvé sur son chemin un certain Winston Churchill. Votre livre décrypte les « liaisons dangereuses entre l’Angleterre et le IIIe Reich ». Elles furent au cœur de la politique étrangère d’Hitler dès la rédaction de  Mein Kampf en 1924. Absolument. Beaucoup de choses concernent la politique étrangère du futur IIIe Reich dans Mein Kampf. Mais il y en a bien davantage dans le second livre d’Adolf Hitler qui aurait dû paraître en 1927-1928, mais n’a été publié que bien après sa mort, soit en 1961-1962. On y découvre que toute la géopolitique du Führer est organisée autour de l’alliance avec l’Angleterre. A lire par ailleurs ses Libres propos , on comprend qu’il n’y a pas un jour durant le second conflit mondial où Adolf Hitler n’ait parlé de la Grande-Bretagne et de la difficulté de faire la paix avec elle. C’est une constante dans sa géopolitique. Vous évoquez longuement l’admiration pour le national-socialisme et Hitler que concevait Edouard VIII – le roi qui a renoncé au trône en 1936 pour épouser sa maîtresse Wallis Simpson. Hormis l’ex-souverain, de quels appuis le IIIe Reich disposait-il en Grande-Bretagne ? Edouard VIII est la face émergée de l’iceberg. Il est certain que si Hitler avait débarqué en Angleterre, l’ex-roi aurait constitué un allié de poids. Le Führer l’aurait remis sur le trône en renforçant ses pouvoirs sur le plan constitutionnel. Edouard VIII aurait fait à coup sûr un « super-Pétain ». Mais si l’affaire Edouard VIII est importante, spectaculaire, les soutiens britanniques du IIIe Reich ont largement dépassé la famille royale et certains aristocrates. J’ai essayé de montrer dans mon livre que l’alliance jamais conclue avec Hitler aurait été basée sur un partage du monde, et que ce projet était bien accueilli dans beaucoup de secteurs de la société, y compris au sein du Labour, le parti travailliste. Je rappelle qu’Oswald Mosley, le chef du parti fasciste britannique, était lui-même un aristocrate, et qu’il avait effectué une partie de sa carrière chez les travaillistes. La grande banque et les milieux financiers étaient également de la partie. Dont Montaigu Norman, le gouverneur de la banque d’Angleterre, qui était très proche de Hjalmar Schacht, le ministre de l’Economie de Hitler. Il était le parrain de son petit-fils. Dans tous les milieux influents anglais, il y avait sinon une fascination, du moins une volonté de faire alliance avec le IIIe Reich au motif qu’il ménagerait l’Empire britannique. Sans parler d’une forte prégnance de l’antisémitisme. Hitler a séduit l’élite outre-Manche en lui expliquant que, si elle trouvait un arrangement avec lui, il garantirait l’avenir de l’empire qui commençait alors à craquer de toutes parts. L’historien Julian Jackson explique pour sa part que la société britannique eût été beaucoup plus prompte que la société française à tomber dans l’escarcelle d’Hitler. Vous rappelez comment le duc de Windsor – l’ex-Edouard VIII – et sa femme ont bu du petit-lait lors d’une rencontre en 1937 avec le Führer à Berchtesgaden. On est abasourdi par un tel manque de lucidité… Alan « Tommy » Lascelles, qui fut le secrétaire de George V, a démissionné en voyant comment Edouard VIII gouvernait. Il est ensuite passé au service de George VI et a guidé les premiers pas d’Elizabeth lorsqu’elle est devenue reine en 1953. Dans ses mémoires, il écrit qu’Edouard VIII avait le mental d’un garçon de 15 ans, le jugeant un petit peu arriéré. D’où l’influence extraordinaire qu’a eue sur lui Walis Simpson quand il l’a rencontrée. Wallis Simpson dont il faut se souvenir qu’elle avait été la maîtresse du ministre des Affaires étrangères du IIIe Reich Joachim von Ribbentrop, lequel avait été ambassadeur à Londres avant-guerre. Auparavant, elle avait été la maîtresse de Ciano, le gendre de Mussolini. Elle était très engagée aux côtés des fascistes et des nazis. Elle a joué un rôle de poisson-pilote. Dans l’introduction de votre ouvrage, vous revenez sur la « une » du  Sun du 18 juin 2015 qui titrait « Their Royal Heilnesses » en référence à une vidéo montrant la future Elizabeth II âgée de 7 ans singeant le salut nazi. Je crois qu’on peut dire que, globalement, à part Edouard VIII, la famille royale s’est montrée à peu près correcte. Notamment les parents de la reine Elizabeth II, George VI et Elizabeth Bowes-Lyon. Mais cet épisode fait partie de leur histoire familiale. On se souvient qu’en 2005, le prince Harry avait fait scandale en portant lors d’une soirée costumée un uniforme de l’Afrika Corps. C’est le même aujourd’hui qui affirme que sa famille est raciste. Il faudrait qu’il balaie devant sa porte… Il y a donc une vieille obsession récurrente chez les Windsor. Mais Elizabeth II et son mari se sont montrés parfaits. Les parents de la reine plus encore. Rudolf Hess fait irruption en Ecosse en 1941. Il se croit en charge d’une mission de conciliation prétendument initiée par Hitler. Cette affaire a mis Winston Churchill en mauvaise posture face à Staline qui craignait une paix séparée entre Londres et Berlin. Mais le premier ministre britannique, loin d’être déstabilisé, va au contraire tirer parti des circonstances pour amener la Russie à prendre part au conflit… L’Europe doit beaucoup au rôle de Churchill. Il a tenu tête aux « appeasers » – les partisans de l’apaisement avec l’Allemagne – en 1940. Quant à la récupération de l’affaire Hess, elle tient du coup de génie. Avec elle, Churchill a voulu faire croire à Staline qu’il y avait une possibilité d’entente entre l’Angleterre et l’Allemagne et que lui-même était menacé. En réalité, en 1941, il n’y avait plus aucune chance qu’une telle solution l’emporte. Le « blitz » sur Londres avait eu lieu entre-temps, Lord Halifax et tout le parti de la paix avaient été éliminés. Mais l’Angleterre était en mauvaise posture à cause de la guerre sous-marine, et il était urgent qu’un second front s’ouvre en Europe. Or Staline, malgré les avertissements de Churchill, ne voulait pas croire à l’imminence d’une attaque allemande. 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L'OMS a accusé jeudi Elon Musk, sans le nommer, de propager des "fake news" après un tweet du multimilliardaire appelant les pays à "ne pas céder de leur autorité" face au projet d'accord international visant à lutter contre les pandémies.

La deuxième partie de la série, diffuse sur Prime Video, a été diffusée vendredi dernier.

SNCB: un accord social a été signé avec les syndicats, une première depuis sept ans «Le front commun reste vigilant et suivra attentivement la mise en place concrète des mesures prévues», écrivent les syndicats. - Hatim Kaghat/Belga. Sept ans que cela n’était plus arrivé. La SNCB et les principaux syndicats (CGSP Cheminots, CSC-Transcom et SLFP Cheminots) ont signé un accord social valable jusqu’à la fin 2024. La promesse théorique d’une paix sociale et, donc, de l’absence de grève. Ce n’était plus arrivé depuis 2016. function get_dtkCxSegments() { if ('cxSegments' in localStorage) { /* Récupération de cxSegments + initialisation de variables destinées à en limiter la longueur */ let cx = localStorage.getItem("cxSegments"), valueCx = cx.split(","), valueCxLimited = [], charLength = 0, limit = 2000; /* Limitation de la longueur de la chaine de caractère */ for (var i = 0; i < valueCx.length; i++) { charLength = charLength + valueCx[i].length; if (charLength À lire aussi «Ça ne mérite pas une agression»: nouvelle campagne de la SNCB contre les violences envers son personnel L’important, paraît-il, n’est pas là. C’est plutôt dans la garantie de 4.187 recrutements sur ces deux années, avec priorité aux métiers dits « opérationnels » (typiquement liés au rail), ce qui laissera un solde positif de 714 équivalents temps plein au bout des deux années, pour atteindre 27.154 ETP à la SNCB. Avec une autre garantie, le maintien de la part importante de statutaires (88 % actuellement) par rapport aux contractuels (12 %). Prudents, les syndicats précisent que malgré ces avancées, réelles mais inférieures à ce qu’ils escomptaient, « cet accord va dans le bon sens mais ne répond pas pleinement à toutes les préoccupations du terrain, notamment en matière de conditions de travail et de bien-être du personnel. En conséquence, le front commun reste vigilant et suivra attentivement la mise en place concrète des mesures prévues ». Avec cet accord valable jusque fin 2024, la promesse théorique d’une paix sociale et, donc, de l’absence de grève. Par Eric Renette Journaliste au service Economie Le 23/03/2023 à 15:48

Bojan Krkic (32 ans) met un terme à sa carrière de footballeur. L'attaquant a annoncé sa retraite sportive jeudi lors d'une conférence de presse au Camp Nou, le stade de son club formateur, le FC Barcelone. De 2007 à 2011, il a marqué 41 buts en 163 matchs pour le Barça.

Bojan Krkic (32 ans) met un terme à sa carrière de footballeur. L'attaquant a annoncé sa retraite sportive jeudi lors d'une conférence de presse au Camp Nou, le stade de son club formateur, le FC Barcelone. De 2007 à 2011, il a marqué 41 buts en 163 matchs pour le Barça.

Brussels Airlines heeft een nieuwe CEO: Dorothea von Boxberg. Zij zal op 15 april het roer van de luchtvaartmaatschappij in handen nemen. Dat blijkt uit een persbericht van Lufthansa Cargo, waar von Boxberg nu nog CEO is.

«Onze Bruxelles»: dans l’orage de novembre 1918 Philippe Remy-Wilkin. - D.R. On connaît mal aujourd’hui les effets de la guerre 14-18 en Belgique. Bien sûr, on a nos mythes : le légendaire roi Albert restant avec ses soldats, les tranchées de l’Yser, l’inondation des canaux de cette pointe du pays par une poignée de soldats belges et le batelier Geeraert… Mais comment les Belges occupés, à Liège, Anvers, Bruxelles ont-ils vécu ces quatre ans ? Et comment, en novembre 1918, Bruxelles fut-elle libérée du joug allemand ? Ça reste très flou dans les mémoires. Vous saviez par exemple que Bruxelles n’a pas dû être libérée par les troupes belges et alliées ? Moi pas. Le dimanche 10 novembre, les soldats allemands, sous l’impulsion de tribuns socialistes allemands, ont rejoint la république qui venait d’être proclamée à Berlin et ont déposé les armes, quittant petit à petit Bruxelles par les trains. Le lundi 11, c’était l’armistice. Et bientôt le bourgmestre Adolphe Max revenait d’Allemagne où il était prisonnier. Mais cette libération ne s’est pas faite sans désordre. Il y eut malgré tout des bagarres avec les soldats allemands, il y eut des pillages et des règlements de compte, il y eut d’énormes explosions de trains chargés de munitions et abandonnés, il y eut des incendies… Tout cela, Philippe Remy-Wilkin nous le raconte dans son dernier roman Onze Bruxelles. Excellente idée. Et grâce à lui, on en sait davantage sur ces drôles de journées de fin de guerre. Sur les stratégies politiques. Sur les débordements. Sur le travail apaisant de ces Allemands qui avaient fondé le  Soldatenrat, le Conseil des soldats, et mis fin à la guerre le 10 novembre dans la capitale. Et, en même temps, sur Bruxelles, l’auteur truffant son récit de notations historiques. L’étoffe d’un héros Le problème est que Philippe Remy-Wilkin ne sait pas ce qu’il veut. Un livre d’histoire de la fin de la guerre ? Un livre d’histoire de Bruxelles ? Un roman ? Il met en effet en scène un personnage, Valentin Dullac, chargé d’une mission à Bruxelles par le roi Albert, qui se trouvait alors dans le château néogothique de Lophem, en Flandre-Occidentale. On le devine beau, courageux sinon téméraire, de l’étoffe des héros. On l’imagine courir de danger en danger, à la manière d’un Bob Morane. Mais l’auteur ne profite pas de son personnage. Il n’en fait pas vraiment un héros, une star. Comme il ne fait pas vraiment de son livre un roman. On aurait appris encore bien plus de choses sur ces journées de novembre si Philippe Remy-Wilkin avait déroulé une vraie saga autour de Valentin Dullac. Le lecteur aurait pénétré les arcanes de cette fin de guerre à Bruxelles, accroché par le héros, passionné par l’histoire. L’auteur avait toutes les cartes en mains : le personnage, le décor et la connaissance historiques, les anecdotes, l’atmosphère. Il eût suffi de dérouler. Il a préféré s’en tenir au format d’une longue nouvelle. On est déçu, frustré. D’autant que que la fin du livre s’apparente davantage à de l’hagiographie belgicaine qu’à de la fiction romanesque. Dommage. «Onze Bruxelles», Philippe Remy-Wilkin, Samsa, 105 p., 18€ La fin de la guerre 1914-18 à Bruxelles. Un magnifique sujet. Un peu galvaudé. Par Jean-Claude Vantroyen Responsable des "Livres du Soir" Le 23/03/2023 à 15:48

Appel aux 27 Chefs d’État et de gouvernement.

Le gouvernement britannique a indiqué jeudi "ne pas être au courant d'un quelconque changement de plan" concernant la visite de Charles III en France, agitée par un important mouvement social contre une réforme des retraites.

Les détenteurs du pass musées, le sésame qui permet de visiter plus de 225 musées en Belgique pendant un an sans limite, ont déjà effectué 2 millions de visites, indique jeudi un communiqué de la société coopérative museumPASSmusées.

Woensdagavond viert Gert Verhulst de honderdste aflevering van ‘De Tafel van Vier’. De talkshow is nog tot volgende week te zien op Play 4, waarna een pauze van twee weken wordt ingelast tijdens de Paasvakantie. Maar niet getreurd, want Gert keert na zijn verlof terug naar de zender, met een veranderde uitzendtijd én er is al een zekerheid over een tweede jaargang.

Crise des retraites en France: entre 600 et 800.000 personnes attendues dans les rues (photos) Paris. - AFP Une importante mobilisation nationale était organisée ce jeudi, la première depuis l’adoption de la réforme des retraites controversée via l’arme constitutionnelle du 49.3, le 16 mars. Peu avant le départ du cortège parisien, le secrétaire général de la CFDT Laurent Berger a noté un « regain de mobilisation » et appelé « à la non-violence », ajoutant que « jusqu’au bout il va falloir garder l’opinion » qui est une « pépite ». A ses côtés, son homologue de la CGT Philippe Martinez a estimé qu’Emmanuel Macron avait « jeté un bidon d’essence sur le feu » avec son interview, rappelant que les syndicats avaient écrit au chef de l’Etat pour l’alerter sur la « situation explosive » du pays. Le président français s’est exprimé mercredi à la télévision, une intervention qui a hérissé ses opposants. function get_dtkCxSegments() { if ('cxSegments' in localStorage) { /* Récupération de cxSegments + initialisation de variables destinées à en limiter la longueur */ let cx = localStorage.getItem("cxSegments"), valueCx = cx.split(","), valueCxLimited = [], charLength = 0, limit = 2000; /* Limitation de la longueur de la chaine de caractère */ for (var i = 0; i < valueCx.length; i++) { charLength = charLength + valueCx[i].length; if (charLength À lire aussi Réforme des retraites: Macron fait le pari de l’essoufflement de la contestation Paris. - Reuters. Montpellier. - AFP. Marseille. - AFP. Marseille. - AFP. Rennes. - AFP. Rennes. Bordeaux. - AFP. La police attend « entre 600 et 800.000 personnes sur environ 320 actions », dont 40 à 70.000 à Paris. Environ 500 gilets jaunes et 500 éléments radicaux sont attendus, alors que le cortège est parti vers 14h30 de la Bastille en direction de la place de l’Opéra. Et « en province plus d’une dizaine de villes verront des démonstrations de l’ultra gauche ». Après une semaine marquée par des échauffourées quotidiennes, la crainte de débordements est amplifiée par la fermeté de l’exécutif. À lire aussi Quelque chose qui ne tourne plus rond au royaume de France Les premiers cortèges étaient fournis, davantage que lors de la dernière journée de mobilisation, mais sans atteindre les records. Par AFP Le 23/03/2023 à 15:45

Iedereen heeft weleens last van zijn rug, maar soms wordt dat chronisch. Om rugpijn te verminderen moet je je héle lichaam versterken, zegt kinesist Rogier Nelis. Hij geeft zeven oefeningen voor een gezonde rug. “Mensen maken zich vaak grote zorgen over hun pijn. Maar als een hernia of een andere kwetsuur is uitgesloten, zijn stijve spieren vaak de oorzaak. Die verhelp je door te bewegen.”

In Kiev ziet men dat het bezoek van Xi aan Poetin de nieuwe machtsverhoudingen toont. ‘Onze president was, is en zal bereid zijn met Xi te praten’, zegt de diplomatieke adviseur van president Zelenski, Ihor Zjovkva.

Wie heeft Rory Gilmore (Alexis Bledel) zwanger gemaakt? Was het Paul, Logan, de ‘Wookie’ of toch Jess? Het is dé vraag die elke fan bleef stellen na de schokkende cliffhanger in ‘Gilmore Girls: A Year in the Life’. Zes jaar later krijgt de wereld eindelijk het verlossende antwoord dankzij kostuumontwerper Valerie Campbell.

Wie heeft Rory Gilmore (Alexis Bledel) zwanger gemaakt? Was het Paul, Logan, de ‘Wookie’ of toch Jess? Het is dé vraag die elke fan bleef stellen na de schokkende cliffhanger in ‘Gilmore Girls: A Year in the Life’. Zes jaar later krijgt de wereld eindelijk het verlossende antwoord dankzij kostuumontwerper Valerie Campbell.

Le défenseur de Burnley, qui hésite toujours entre la Belgique et l’Irak, est désormais focalisé sur l’Euro U21.

Patrick et Isabelle Balkany, endettés, dévoilent le montant de leurs retraites Belga Image En janvier, la Cour d’appel de Paris a tranché : Patrick et Isabelle Balkany ont été condamnés pour blanchiment de fraude fiscale à des peines de prison, une amende de 100.000 euros chacun et à dix ans d’inéligibilité. En été 2022, Patrick Balkany avait été incarcéré cinq mois à la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis, puis avait été remis en liberté conditionnelle. En février 2020, après cinq mois à la Prison de la Santé, l’ancien maire de Levallois-Perret avait également été libéré, avec un bracelet électronique. Cependant, le couple vit actuellement dans leur propriété de Giverny, confisquée par l’État, et ne retournera pas en prison. function get_dtkCxSegments() { if ('cxSegments' in localStorage) { /* Récupération de cxSegments + initialisation de variables destinées à en limiter la longueur */ let cx = localStorage.getItem("cxSegments"), valueCx = cx.split(","), valueCxLimited = [], charLength = 0, limit = 2000; /* Limitation de la longueur de la chaine de caractère */ for (var i = 0; i < valueCx.length; i++) { charLength = charLength + valueCx[i].length; if (charLength

Le Grec regrette les "changements constants de balles" sur le circuit.

Une vidéo de l’adolescente est devenue virale.

Eric Branca Il est historien et journaliste. Il a signé une douzaine d’ouvrages, parmi lesquels Le roman de la droite (Lattès 1998), une biographie du général de Gaulle (Molière 1999 et PUF 2010),  De Gaulle et les Français libres (Albin Michel 2010),  L’histoire secrète de la droite, 1958-2008   (Plon 2008) ou encore 3000 ans d’idées politiques (Chronique 2014), de même que plusieurs livres d’entretiens comme Le suicide de la France , avec Jacques Vergès et Bernard Debré (Lattès, 2001). Le 23/03/2023 à 15:42

15:42 Le CD&V tient ce samedi à Gand un congrès idéologique. Certaines propositions indisposent l’aile gauche du parti.