La Russie prête à négocier avec l'Ukraine, mais “sans conditions préalables”
Le SETCa privilégie la concertation et ne rejoint pas le préavis de grève dans le secteur du commerce de détail
Le SETCa n’a pas souscrit à l’annonce d’un préavis de grève dans le secteur du commerce de détail, dans le contexte de l’émoi social engendré par l’annonce d’un recours à la franchise chez Delhaize, mais il se tient prêt à durcir sensiblement le ton si aucune négociation en commission paritaire n’était possible, a-t-il fait savoir, par voie de communiqué.
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Qualifications Euro 2024: l’Angleterre aligne un deuxième succès face à l’Ukraine (2-0)
Qualifications Euro 2024: l’Angleterre aligne un deuxième succès face à l’Ukraine (2-0) Après avoir entamé ces éliminatoires de l’Euro 2024 par une victoire face à l’Italie (1-2), l’Angleterre a battu l’Ukraine 2-0, dimanche à Wembley devant 83.947.spectateurs, avec des buts de Harry Kane (37e) et Bukayo Saka (40e) pour son deuxième match du groupe C. L’Ukraine a bien démarré avec notamment un tir repoussé de Heorhii Sudakov, servi par Roman Yaremchuk (Club Bruges). Mais l’Angleterre a vite réagi pour empêcher que son solide et physique adversaire ne prenne le dessus. Les ’Three Lions’ ont failli ouvrir la marque sur une erreur d’Anatolii Trubin, mais après avoir relâché un centre de Saka, le gardien ukrainien a sorti un ballon placé dans l’angle inférieur gauche par James Maddison (16e). Si les contacts sont devenus plus nombreux et plus rugueux, les Anglais ont continué à tirer au but et après des frappes contrées de Maddison et de Jordan Henderson (36e), Kane a inscrit son 55e but en sélection sur un centre au second poteau de Saka (37e, 1-0). Peu après, le joueur d’Arsenal s’est transformé en buteur, enchaînant une feinte de corps et un coup de canon (40e, 2-0). À la reprise, les Anglais ont conservé l’initiative d’autant plus facilement que les Ukrainiens ne donnaient pas l’air de vouloir se révolter. Un triple changement effectué par Ruslan Rotan a généré une phase de possession des visiteurs (61e). Cependant, cette embellie n’a pas tracassé Jordan Pickford puisque les Ukrainiens n’ont pas cadré un seul tir pendant cette rencontre. Entre-temps, les Anglais sont passés en mode gestion. Les Three Lions ont idéalement lancé leur campagne de qualification pour l’Euro 2024. Par Belga Le 26/03/2023 à 20:10
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Les Bulldogs de Liège ont remporté la BeNeLeague : “Nous formons une vraie famille”
La saison exceptionnelle des Bulldogs se termine en apothéose avec le titre en BeNeLeague.
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Portrayals: les reprises magiques d’Ane Brun
Portrayals: les reprises magiques d’Ane Brun « Portrayals » (Balloon Ranger-V2). Les albums de reprises, c’est rarement des chefs-d’œuvre. Soit c’est une idée commerciale de firme de disques, soit une panne d’inspiration de l’artiste. Il en va tout autrement avec Ane Brun. La chanteuse norvégienne ne cesse d’écrire, de composer et de publier depuis vingt ans. Mais elle aime aussi à l’occasion balancer des reprises improbables qu’elle se réapproprie totalement de sa voix de velours, déshabillant les chansons au point de les sublimer. Ce Portrayals est une compilation de ces réalisations. À celles-ci (Halo, True Colors, Big in Japan, I Want To Know What Love Is, Always On My Mind, From Me To You, Into My Arms…), Ane ajoute l’inédit Blue Moon. À chaque fois, elle nous touche, nous permettant de redécouvrir des perles intemporelles. Par Thierry Coljon Journaliste au service Culture Le 26/03/2023 à 20:07
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L’UMons aura son master en médecine: les coulisses d'un accord qui a fait l'objet de tensions mais qui aurait pu être trouvé plus tôt
Le gouvernement a repris la main et a trouvé un accord samedi.
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Borne dit ne plus vouloir recourir au 49.3 en dehors des textes budgétaires
"La méthode que je fixe pour l'avenir c'est: pas de 49.3 en dehors des textes financiers", a affirmé Elisabeth Borne dimanche, dans un entretien à l'AFP.
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Qualifs Euro 2024: mené 0-2, le Kazakhstan renverse le Danemark dans un scénario fou, l'Angleterre aligne un deuxième succès
Mené 0-2, le Kazakhstan est revenu dans une fin de match folle et s'est imposé finalement 3-2 face au Danemark, le favori du Groupe H des qualifications pour l'Euro 2024 dimanche.
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Amerikaanse vicepresident Kamala Harris in Ghana aangekomen
De Amerikaanse vicepresident Kamala Harris is zondag aangekomen in Ghana. Haar tournee brengt haar na Ghana ook naar Tanzania en Zambia. De VS willen hun diplomatieke banden met het continent aanhalen.
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La Piste aux Espoirs: une crique de cirque
La Piste aux Espoirs: une crique de cirque La batterie de Raphaël de Pressigny (membre de Feu ! Chatterton) semble exorciser les tourments de sa compagne Alice Barraud. - Jérôme Heymans Comment survivre quand le monde s’écroule perpétuellement sous nos pieds ? Qui mieux que les artistes de cirque, habitués à défier la gravité, pour répondre à cette question qui semble tarauder plusieurs compagnies invitées à la Piste aux Espoirs ? Parmi les spectacles programmés à Tournai, nombreux sont les circassiens qui usent de leurs acrobaties vertigineuses et de leurs pirouettes clownesques pour conjurer les vides existentiels et équilibres précaires qui jonchent nos vies. Dans Drache Nationale , la Cie Scratch se demande avec l’humour décalé qui les caractérise, « comment positiver quand c’est la merde ? » (lire ci-dessous). Chez les Okidok, une charrette désaxée permet de trouver, avec moult cabrioles absurdes, le moyen de poursuivre un chemin forcément accidenté. Mais c’est sans doute Alice Barraud qui défie les défis de la vie avec le plus d’émotions dans MEMM, acronyme de Mauvais Endroit au Mauvais Moment. L’endroit ? La terrasse du Petit Cambodge à Paris. Le moment ? Le 13 novembre 2015, soit le jour où la capitale française est frappée par les attentats. Alice Barraud s’y trouve pour prendre un verre avec son frère et des amis. La circassienne recevra une balle dans le bras et le poignet gauche. L’acrobate s’entend dire que son bras est cassé à vie et que la voltige en main à main ou le portique coréen, c’est fini. Elle ne perdra pourtant jamais espoir. Pour tenir le coup, à l’hôpital, elle écrit dans un carnet ses colères, ses petites victoires, ses doutes, ses peurs. Les situations surréalistes aussi. « C’était une forme de distance, une façon de voir comment, par l’écriture, je pouvais transformer ces situations en quelque chose de drôle, » nous confiait-elle à la création du spectacle en 2022, annonçant la matière à la fois noire et désopilante de MEMM. D’hilarantes digressions Qu’elle décrive les radios catastrophiques de son bras, les commentaires déplacés des psys, les exercices avec la kiné, tout est prétexte à d’hilarantes (oui, oui !) digressions. Il y a du Ricky Gervais quand elle raconte que faire un doigt d’honneur lui prend désormais une longue minute. Il y a du Buster Keaton quand elle joue avec les options électriques d’un lit d’hôpital qui lui impose des contorsions spectaculaires. Il y a du cirque à son summum quand une poche de perfusion suscite de cocasses acrobaties. Tout n’est pas drôle bien sûr – la douleur physique, l’acceptation d’un bras en rade, la dépression – mais la voltigeuse parvient à dédramatiser chaque phase de sa reconstruction. Grâce aussi aux percussions de son compagnon, Raphaël de Pressigny (membre de Feu ! Chatterton) dont la batterie semble exorciser bien des tourments. Sa musique accompagne de magiques projections qui font danser Alice Barraud avec son ombre, métaphore du chemin à accomplir pour se réconcilier avec cette autre femme, cette étrangère qu’elle est désormais. Ou encore ses envolées au trapèze, dans une ultime renaissance. La Piste aux Espoirs, comme son nom l’indique, c’est un festival où l’on cultive de riantes perspectives. Que ce soit dans Foutoir Céleste, où le Cirque Exalté s’inspire de rituels ancestraux, depuis des cérémonies amérindiennes jusqu’aux explosions de liesse après un match de foot pour orchestrer un joyeux foutoir sur la scène à coup de vélos, trapèze, danse et musique rock. Que ce soit dans Bal Masqué où Yann Frish invite à explorer le masque, cet accessoire bien pratique pour devenir un autre que soi, dans une danse initiatique et libératrice. Mais encore dans Top Down où la Cie Triochka explose les rapports de pouvoir dans un trio où les portés acrobatiques renversent les hiérarchies. Une immense roue de la mort dans 78 Tours (La Meute), de la magie nouvelle dans What if (Collectif Curieux), des poils excentriques dans Le Moustachu (Cie Odile Pinson), des lancers de couteaux et une histoire d’amitié sur le fil du rasoir avec Dans ma chambre (Cie MMFF) : impossible de citer tous les tours inattendus qu’emploient les artistes du festival pour renverser (littéralement) nos vies. MEMM **** Le 9/4 à la Piste aux Espoirs, Tournai. La Piste aux Espoirs a lieu du 4 au 9/4. La saison des festivals de cirque s’ouvre à Tournai avec une quinzaine de spectacles venus de France, d’Espagne mais aussi de notre petit pays. Dont une pièce incontournable : MEMM d’Alice Barraud. Par Catherine Makereel Le 26/03/2023 à 20:03
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Gain de la deuxième tranche en P2A et P2B: les leaders de Tilff et de Flémalle sont au moins assurés du tour final
La deuxième tranche a rendu son verdict, ce dimanche, en P2A et P2B.
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Intermarché et Delhaize: un nouveau week-end sous tension
Plusieurs dizaines de supermarchés sont restés fermés, en plus d’actions ponctuelles.
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Johan Museeuw vraagt zich af of Van Aert zich z’n gul gebaar niet zal beklagen: “Ik gaf ooit zege weg en zou dat nu niet meer doen”
Na een koppeltijdrit van 50 kilometer gunde Wout van Aert zijn meesterknecht Christophe Laporte de zege in Gent-Wevelgem. Johan Museeuw, drievoudig winnaar van de Ronde van Vlaanderen, noemt het een mooi gebaar, maar vraagt zich af of Van Aert er op termijn geen spijt van zal hebben.
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«Drache Nationale»:de la jonglerie pour conjurer la pluie
«Drache Nationale»:de la jonglerie pour conjurer la pluie Le trio se prépare à la drache. - Michiel Devijver Tout a commencé pendant le confinement, moment ô combien désespérant pour les artistes. Alors que les lieux culturels sont fermés, Gaëlle Coppée cherche de rares espaces où elle peut encore s’entraîner à jongler. C’est dans ce contexte que naît l’idée d’un spectacle qui évoquerait ces tuiles qui vous tombent sur la figure, de manière solide et imprévisible, comme une bonne vieille Drache Nationale. C’est ainsi qu’avec Tom Boccara et Denis Michiels, l’artiste se met à imaginer une pièce où s’abattraient des petits crachins ou des averses fulgurantes. « Ça peut aller du fait de se couper avec une feuille de papier ou ne pas oser danser à une boum à la mort d’un ami ou à la guerre, » nous confie la jongleuse. « Au début, il y avait cette idée d’être mouillé mais, finalement, il n’y aura pas spécialement beaucoup d’eau, » poursuit celle qui, avec sa Cie Scratch, aime décidément dérouter le public. Malgré tout, cette Drache nationale englobe une question essentielle au spectacle : Comment positiver quand c’est la merde ? Le trio, mis en scène par Bram Dobbelaere, tentera d’y répondre avec des balles, des massues blanches, des K-way, de la pluie, une reine déchue, des rêves ratés, des petites victoires, la liste des pires merdes du monde et surtout : de la jonglerie. Voilà dix ans déjà que cette compagnie belge, à géométrie variable, déploie un univers décalé, d’abord dans des spectacles de rues très performatifs et divertissants (T.N.T., Split) puis dans des propositions plus intimistes, qui ont commencé à trouver leur place aussi dans les salles de théâtre, comme Mousse . Cette pièce, entre jeu burlesque et savoir-faire circassien, leur a d’ailleurs ouvert les portes d’un solide réseau français après un passage réussi dans le Off d’Avignon. Les revoici avec une nouvelle proposition, Drache Nationale, qui peut se jouer en rue ou en salle, pour un public dès 8 ans. Y retrouvera-t-on leur patte faussement maladroite et leur style fragmenté ? « C’est vrai qu’on ne part pas d’un point A pour aller à un point B mais on tisse des situations qui se font écho et qui opèrent une transformation. Notre matière première, c’est qui on est, nous, Gaëlle, Tom et Denis. On partage nos propres émotions même si, bien sûr, comme on est sur un plateau, on peut se permettre d’exagérer, de faire tomber plus de barrières qu’on ne pourrait le faire dans la vie. On aime jouer sur la légèreté même si, on final, on traite de choses sérieuses. » Les 7 et 8/4 à la Piste aux Espoirs, Tournai. Du 23 au 30/4 à UP Circus & Performing Arts, Bruxelles. Le 2/7 au Festival au Carré, Mons. Les 19 et 20/8 au Festival de Chassepierre. Mais aussi La Louvière, Wolubilis, le C.C. d’Uccle. Par Catherine Makereel Le 26/03/2023 à 19:53
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Retour à la case départ pour Couvin-Mariembourg
Sans cinq éléments, les Fagnards n’on pu éviter la défaite dans un match à six points.
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Hoe de puzzelstukjes voor Wout van Aert in elkaar vallen richting Ronde van Vlaanderen: “Maar ik roep me niet uit tot de topfavoriet”
Wout van Aert (28) heeft Gent-Wevelgem niet voor de tweede keer gewonnen. En toch stapte hij als de grote winnaar in de wagen richting Herentals. Ploegmaat Christophe Laporte kreeg de zege cadeau, de lof en het vertrouwen zijn voor Van Aert. De Kempenaar en Jumbo-Visma zijn klaar voor de Ronde van Vlaanderen.
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Aménager le site de la réserve naturelle des Sept fontaines à Hannut pour réduire le risque d’inondations
La Province de Liège a décroché un subside wallon pour réduire le risque d’inondations sur Grand-Hallet grâce au site de la réserve naturelle des Sept fontaines.
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P1 | Sombre dimanche pour Beaufays, qui s’incline contre Wanze/Bas-Oha et qui perd Thibaut Turco sur blessure (VIDEOS)
Le Sporting s’inquiète surtout pour son attaquant Thibaut Turco, touché au genou et évacué du terrain en première mi-temps.
Lameuse.be
P1 | Une défaite à Fize qui fait mal... «Maintenant, c’est fini pour Ougrée»
Victorieux face à Ougrée, Fize a sans doute fait un grand pas vers son maintien en P1 en vue de la saison prochaine.
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Proche-Orient: l’unité du gouvernement israëlien se fissure
Proche-Orient: l’unité du gouvernement israëlien se fissure Le ministre de la défense Yoav Gallant. - AFP. Yoav Gallant, inquiet de la fronde des réservistes, lui-même général de réserve, a appelé à stopper le processus législatif et d’entamer un dialogue avec l’opposition : « La sécurité d’Israël est le but de ma vie. Les menaces qui nous entourent, proches et lointaines, sont immenses. La fracture de la société pénètre au sein de l’armée et c’est un danger immédiat et tangible pour la sécurité de l’État. Je n’apporterai pas mon soutien à cela. » Ce discours grave, Yoav Gallant aurait dû le tenir jeudi dernier. Il en a été dissuadé par Benyamin Nétanyahou, qui a pris la parole à sa place, la première fois sur le projet de réforme judiciaire, en expliquant qu’il soumettrait la loi à l’adoption à la Knesset cette semaine. Au passage, il défie ouvertement la procureure générale, Gali Baharav-Miara, qui lui avait interdit de s’impliquer personnellement dans cette réforme au risque de conflit d’intérêt dans le cadre de son procès. La procureure n’a pas manqué de le rappeler à l’ordre, présage de la crise constitutionnelle à venir, si la Cour suprême venait à déclarer illégale la réforme qui modifie son propre statut. Deux autres cadres du Likoud ont rejoint Gallant : Yuli Edelstein, ancien président de la Knesset et David Bitan, critique assumé de Benyamin Netanyahou. S’ils se prononcent effectivement contre la réforme, la majorité, déjà limitée, se réduit à 61 députés – sur les 120 que compte la Knesset. Le Premier Ministre fait son possible pour colmater la brèche. « Si jamais la loi n’est pas votée, c’est un grave problème pour Bibi. Et le discours de Gallant est déjà un coup dur. Il y a des gens au Likoud qui en ont marre d’être les béni-oui-oui de Nétanyahou », cingle Fernand Cohen-Tannoudji, cadre du parti. Nir Barkat, l’ancien maire de Jérusalem, richissime et proche des milieux d’affaires, pourrait basculer. La forteresse tient encore, mais tremble sur ses bases. Coup de théâtre samedi soir. Yoav Gallant, le ministre de la Défense, a ouvert une brèche dans la forteresse du Likoud – qui annonce peut-être une ouverture plus large, voire de la chute du Premier Ministre, du gouvernement, ou du premier parti d’Israël. Par Samuel Forey Le 26/03/2023 à 19:45
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Luc Libert après la défaite de Jette à Ganshoren : “Je n’ai rien à reprocher aux joueurs”
Malgré la défaite, l’entraîneur Jettois Luc Libert a vu de l’envie de la part de son noyau. Le plus important pour la suite selon lui.
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Union ziet Victor Boniface na één seizoen alweer vertrekken (maar rekent wel op de jackpot)
Union SG maakt zich geen illusies: sterkhouder Victor Boniface (22) vertrekt op het einde van het seizoen. Onder meer AC Milan, Lazio en Napoli hebben de spits op de radar, er is ook interesse vanuit Engeland. De vicekampioen verwacht wel de hoofdprijs.
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Kamala Harris est arrivée au Ghana, première étape de sa tournée africaine
La vice-présidente américaine Kamala Harris est arrivée dimanche au Ghana, première étape de sa tournée dans trois pays d'Afrique qui vise à renforcer les liens diplomatiques de Washington avec le continent.
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L’Ukraine veut une réunion de l'ONU pour mettre fin au “chantage nucléaire” de la Russie
L’Ukraine a réclamé dimanche une réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU pour contrer le “chantage nucléaire” de la Russie, après l’annonce par Vladimir Poutine que Moscou allait déployer des armes nucléaires au Bélarus.
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Manage mange son pain noir
Nouvelle défaite pour les jeunes Verriers qui poursuivent leur dur apprentissage.
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Flénu l’emporte à Péruwelz (0-1) et prend rendez-vous pour le tour final
Les hommes de Philippe Venturoso se rapprochent même de la deuxième place dans cette P1.
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Hockey: l’Orée veut déjà préparer la saison prochaine
Hockey: l’Orée veut déjà préparer la saison prochaine Oui, il y a de la qualité dans le noyau de l’Orée (ici avec Luca Masso, en bleu marine), mais cela n’a pas ramené suffisamment de points. - VIRGINIE LEFOUR/BELGA. Comme à de nombreuses reprises depuis l’entame de la saison, les regrets étaient nombreux à l’issue de la défaite face au Léopold. Une rencontre plus équilibrée sur papier que ce que laisse entrevoir le score final (2-4) face aux leaders incontestés de la Division d’honneur. Un cinquième revers pour l’Orée, qui a mis en évidence les mêmes faiblesses que lors des deux dernières semaines. « Nous méritions plus face au Léo », expliquait d’ailleurs le capitaine Philippe Simar, les traits tirés. « Nous avons montré un bon visage et le score est forcé avec trois buts encaissés sur des contre-attaques évitables. Nous n’avons malheureusement plus grand-chose à jouer lors de six dernières rencontres, même s’il ne faudra tout de même plus gaspiller trop de points en chemin, surtout face à des équipes dites “plus faibles” sur papier comme l’Old Club, le Daring ou Uccle Sport, toujours concernés par le maintien. Il faudra remporter ces rencontres sinon nous risquons à nouveau de nous faire peur. » Peu épargné par les blessures depuis l’été dernier, l’Orée a souvent dû composer pour aligner une équipe compétitive. Mais c’est surtout la fin du premier tour qui reste en travers de la gorge des Bruxellois et de leur capitaine. « Ce qui nous a fait très mal, ce sont surtout les trois derniers matchs du premier tour que nous avons disputés sans notre international argentin, Tomi Domene, avec un désastreux 0 sur 29 sur penalty. Cela jouait bien, mais nous ne sommes pas parvenus à remporter ces duels. Si on nous rajoutait ces neuf points, la situation actuelle serait tout autre. Sans compter nos derniers matchs contre les grosses équipes comme le Dragons, la Gantoise ou le Waterloo Ducks, où nous aurions mérité de récolter bien plus d’unités. Nous possédons réellement une équipe pour disputer le top 4, mais nous sommes aujourd’hui loin du compte. Et c’est réellement très frustrant ! » Mais comme il n’est de toute manière pas possible de revenir en arrière, l’Orée veut déjà se projeter vers la saison prochaine. Si le club parvient à conserver en grande partie son noyau, il pourrait revendiquer bien plus que sa huitième place actuelle, comme le souligne Philippe Simar. « Nos statistiques au niveau des entrées de cercle sont extrêmement bonnes et souvent supérieures à celles de nos adversaires, mais on ne marque pas de buts et, plus grave encore, nous n’avons pas suffisamment d’occasions réellement dangereuses. Il faut donc impérativement travailler à ce niveau-là et trouver la manière de faire les bons choix quand nous sommes face au but. Nous devons changer cette image que nous collent nos adversaires quand ils parlent de l’Orée. » Le pic de forme en avril pour le Léopold Du côté des joueurs ucclois, on se réjouissait évidemment de ce nouveau succès, le quatorzième de la saison. Ils occupent toujours la tête du championnat devant le Dragons, la Gantoise et le Racing, et même s’ils n’évoluent toujours pas à leur meilleur niveau, ils ont prévu d’atteindre leur pic de forme d’ici quelques semaines au moment d’entamer les playoffs. « Je reconnais qu’il y a encore trop de hauts et de bas dans nos prestations pour le moment », souligne le défenseur Elliott Van Strydonck. « Nous devons faire preuve de plus de constance durant septante minutes. Mais dès que nous mettons du tempo, cela fonctionne et nous marquons des buts. Mais nous possédons une équipe tellement offensive que nous encaissons parfois des goals évitables. Nous devons plus penser à la structure défensive quand nous sommes à la balle. Nous voulons monter en puissance au fil des semaines pour être prêts pour la mi-avril et le mois de mai. Nous essayons de peaufiner certains aspects chaque semaine pour être réellement prêts au moment où les choses sérieuses vont débuter. Mais je reconnais que nous encaissons un peu trop de buts depuis la reprise. Même si nous en marquons nettement plus que nos adversaires chaque dimanche. C’est donc un détail à corriger absolument pour le futur. » Les cinq dernières journées vont donc permettre à l’Orée et au Léopold de travailler spécifiquement avec des objectifs toutefois forts différents. Mais pour les deux équipes, il sera tout de même capital d’engranger un maximum de points lors de ces rencontres pour éviter de se mettre en difficulté et d’éprouver certains regrets au moment du décompte final. Les Bruxellois n’ont normalement plus rien à gagner ou à perdre en cette fin de championnat. Le groupe est frustré car il possédait certainement des qualités pour se mêler à la lutte pour une place dans le dernier carré. Par LAURENT TOUSSAINT Le 26/03/2023 à 19:31
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Derby victorieux pour Ganshoren face à Jette
Ganshoren réussit son premier test post-ère Michel Delph en remportant le derby contre Jette.
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Tennis de table : Adrien Rassenfosse s’offre un premier titre national !
Le Pepin de 19 ans a battu le Thimistérien Florient Lambiet, 27 ans, lors d’une finale 100 % liégeoise à Knokke…
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Coupe de France de VTT à Marseille : Emeline Detilleux 4e et Pierre De Froidmont 6e
Beaux résultats d’ensemble pour les Belges engagés sur cette épreuve relevée classé Hors catégorie à l’UCI.
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Valérie Glatigny sur la crise en FWB: «Il n’y aura plus de petit deal en dessous de la table»
Valérie Glatigny sur la crise en FWB: «Il n’y aura plus de petit deal en dessous de la table» «Ne comptez pas sur moi pour raconter que j’ai gagné. Pour moi, la politique, c’est l’art du compromis.» - Pierre-Yves Thienpont. Lorsqu’elle est passée, en 2019, de l’ombre des institutions européennes à la lumière du gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Valérie Glatigny ne s’attendait certainement pas à être quatre ans plus tard au cœur d’une crise politique majeure entre francophones. Ou encore d’une partie d’échec entre présidents de parti à l’ego surdimensionné. Elle revient sur les leçons de la crise. Qu’est-ce qui a permis, ce week-end, de dégager une solution ? Nous avons réussi à mettre les menaces de côté, menaces qui avaient eu pour effet de retarder la solution puisqu’elles ont provoqué un report du point au gouvernement. Ce fut un dossier extrêmement difficile : il dit la difficulté de changer des réflexes politiques assez anciens qui visent à privilégier un territoire plutôt qu’un autre. Or, en tant que ministre de l’Enseignement supérieur, je voulais montrer que je suis ministre pour toute la Fédération Wallonie-Bruxelles et pas pour une province plutôt qu’une autre. Bref, les menaces mises de côté, nous avons retrouvé une cohésion gouvernementale, avec des partenaires constructifs. Si d’autres dossiers non prévus dans la déclaration de politique communautaire – c’était le cas de celui-ci – devaient arriver, nous avons convenu d’en débattre d’abord au gouvernement. Donc à ne pas s’exprimer publiquement avant cette étape ? C’est ce qu’on m’a reproché. Vous devez cependant savoir que dans le dossier du master en médecine à l’Umons, j’ai reçu des pressions de toutes parts dès les premiers jours de mon mandat. Dois-je aussi rappeler que l’université de Mons a lancé un communiqué de presse en décembre, avant même que les demandes d’habilitations ne soient déposées sur ma table. Les pressions sont anciennes. Tout le monde savait qu’un tel dossier ne pouvait pas être géré sans tension. Vous parlez de vieux réflexes sous-localistes, mais la solution donne un peu raison à ceux qui les pratiquent non ? Oui et non. Je pense que tous les arguments que j’avais soulevés pour m’opposer ont été rencontrés. Je refusais le surfinancement de ces étudiants à Mons. Il n’y a plus de surfinancement. On a réglé la question de l’hôpital universitaire : l’habilitation sera retirée s’il devait y avoir un projet en la matière. J’avais des doutes sur l’argument de réduction de la pénurie. Or, l’exemple de Namur et Liège est parlant : Namur n’a pas de master mais la situation y est plus favorable qu’à Liège qui a un master. Je continue de penser qu’il n’y a pas forcément de lien entre l’endroit où tu étudies et l’endroit où tu t’installes. Une étude sera menée dans 5 ans pour objectiver l’effet du master à ce sujet. De façon plus générale, nous avons désormais une révision du système des invitations pour arrêter cette course à l’étudiant : une ouverture devra donner lieu à une fermeture, absence de financement les trois premières années pour responsabiliser les établissements, moratoire de deux ans… On va régler sur le long terme le problème d’un système vicié où les établissements sont poussés à demander sans cesse de nouvelles habilitations pour attirer les étudiants et donc ils se font une concurrence stérile. Qui a gagné ? Ne comptez pas sur moi pour raconter que j’ai gagné. Pour moi, la politique, c’est l’art du compromis. Et un compromis, ce n’est ni une compromission ni de l’entêtement. Ça demande du courage et je pense qu’on a réussi à faire preuve de courage. Nous avons des conditions très strictes qui encadrent le master et nous avons une réforme complète du système d’habilitation ; cela contribue une bonne gestion des impôts des citoyens. Comprenez-vous la dramatisation dans laquelle on est allé avec ce dossier ? C’est un dossier qui dit beaucoup sur les vieux réflexes politiques qui visent à privilégier un territoire plutôt qu’un autre. Mais je ne me sens pas diminuée parce que j’ai fait un compromis. Est ce que le gouvernement est apaisé aujourd’hui ? Oui. Vous savez, on a dû gérer des dossiers beaucoup plus compliqués : le deal sur les numéros Inami qui a permis de diplômer 250 médecins en plus, la refonte du décret paysage, le refinancement de l’enseignement supérieur, la fusion UCLouvain/Saint-Louis. A chaque fois, on a eu des partenaires avec lesquels on pouvait discuter. Ce fut finalement le cas ici aussi. Par ailleurs, n’oublions pas qu’on a réussi à mettre sur le devant de la scène de vraies solutions à de vrais problèmes, comme celui de la pénurie de médecins ou la manière de concevoir l’ouverture de nouvelles formations aussi. Ce sont désormais des sujets publics. Il n’y aura plus de petit deal en dessous de la table. Ça ne veut pas dire que ça se fait dans la facilité, ni qu’il n’y ait pas de pression très importante sur moi ces derniers jours mais je pense que ça n’a pas été vain. Vrai débat sur la manière d’aborder la pénurie, révision en profondeur du système des habilitations, dénonciation du sous-localisme… Valérie Glatigny tire les leçons de la crise. 1 Par Eric Burgraff Chef du service Société Le 26/03/2023 à 19:20
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Valérie Glatigny sur la crise en Fédération Wallonie-Bruxelles: «Il n’y aura plus de petit deal en dessous de la table»
Valérie Glatigny sur la crise en Fédération Wallonie-Bruxelles: «Il n’y aura plus de petit deal en dessous de la table» «Ne comptez pas sur moi pour raconter que j’ai gagné. Pour moi, la politique, c’est l’art du compromis.» - Pierre-Yves Thienpont. Lorsqu’elle est passée, en 2019, de l’ombre des institutions européennes à la lumière du gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Valérie Glatigny ne s’attendait certainement pas à être, quatre ans plus tard, au cœur d’une crise politique majeure entre francophones. Voire au centre d’une partie d’échec entre présidents de partis à l’ego surdimensionné. Elle revient sur les leçons de la crise. Qu’est-ce qui a permis, ce week-end, de dégager une solution ? Nous avons réussi à mettre les menaces de côté, menaces qui avaient juste eu pour effet de retarder la solution puisqu’elles ont provoqué un report du point au gouvernement. Ce fut un dossier extrêmement difficile : il dit la difficulté de changer des réflexes politiques assez anciens qui visent à privilégier un territoire plutôt qu’un autre. Or, en tant que ministre de l’Enseignement supérieur, je voulais montrer que je suis ministre pour toute la Fédération Wallonie-Bruxelles et pas pour une province plutôt qu’une autre. Bref, les menaces mises de côté, nous avons retrouvé une cohésion gouvernementale, avec des partenaires constructifs. Si d’autres dossiers non prévus dans la déclaration de politique communautaire – c’était le cas de celui-ci – devaient arriver, nous avons convenu d’en débattre d’abord au gouvernement. Donc à ne pas s’exprimer publiquement avant cette étape ? C’est ce qu’on m’a reproché. Vous devez cependant savoir que dans le dossier du master en médecine à l’Umons, j’ai reçu des pressions de toutes parts dès les premiers jours de mon mandat. Dois-je aussi rappeler que l’université de Mons a lancé un communiqué de presse en décembre, avant même que les demandes d’habilitations ne soient déposées sur ma table. Les pressions sont anciennes. Tout le monde savait qu’un tel dossier ne pouvait pas être géré sans tension. Vous évoquez des réflexes sous-localistes, mais la solution donne un peu raison à ceux qui les pratiquent non ? Oui et non. Je pense que tous les arguments que j’avais soulevés ont été rencontrés. Je refusais le surfinancement de ces étudiants à Mons au détriment d’autres : il n’y aura pas de surfinancement. On a réglé la question de l’hôpital universitaire : l’habilitation sera retirée s’il devait y avoir un projet en la matière. J’avais des doutes sur l’argument de réduction de la pénurie, or l’exemple de Namur et Liège est parlant : Namur n’a pas de master mais la situation y est plus favorable qu’à Liège qui a un master. Je continue de penser qu’il n’y a pas forcément de lien entre l’endroit où on étudie et l’endroit où on s’installe. Une étude sera menée dans 5 ans pour objectiver l’effet du master à ce sujet. De façon plus générale, nous avons désormais une révision du système des habilitations pour arrêter cette course à l’étudiant : une ouverture devra donner lieu à une fermeture, absence de financement les trois premières années pour responsabiliser les établissements, moratoire de deux ans… De plus, on va régler sur le long terme ce système vicié où les établissements sont poussés à demander sans cesse de nouvelles habilitations pour attirer les étudiants et donc ils se font une concurrence stérile. Qui a gagné ? Ne comptez pas sur moi pour raconter que j’ai gagné. Pour moi, la politique, c’est l’art du compromis. Et un compromis, ce n’est ni une compromission ni de l’entêtement. Ça demande du courage et je pense qu’on a réussi à faire preuve de courage. Nous avons des conditions très strictes qui encadrent le master et nous avons une réforme complète du système d’habilitation ; cela contribue une bonne gestion des impôts des citoyens. Comprenez-vous la dramatisation dans laquelle on est allé avec ce dossier ? C’est un dossier qui dit beaucoup sur les vieux réflexes politiques qui visent à privilégier un territoire plutôt qu’un autre. Mais je ne me sens pas diminuée parce que j’ai fait un compromis. Est ce que le gouvernement est apaisé aujourd’hui ? Oui. Vous savez, on a dû gérer des sujets beaucoup plus compliqués : le deal sur les numéros Inami qui a permis de diplômer 250 médecins en plus, la refonte du décret paysage, le refinancement de l’enseignement supérieur, la fusion UCLouvain/Saint-Louis. A chaque fois, on a eu des partenaires avec lesquels on pouvait discuter. Ce fut finalement le cas ici aussi. Par ailleurs, n’oublions pas qu’on a réussi à mettre de vrais problèmes sur le devant de la scène comme celui de la pénurie de médecins ou la manière d’organiser l’ouverture de nouvelles formations. Désormais, il n’y aura plus de petit deal en dessous de la table. Ça ne veut pas dire que ça se fait dans la facilité, ni qu’il n’y ait eu pas de pression très importante sur moi ces derniers jours mais je pense que ça n’a pas été vain. Vrai débat sur la manière d’aborder la pénurie, révision en profondeur du système des habilitations, dénonciation du sous-localisme… La ministre de l’Enseignement supérieur tire les leçons de la crise. 3 Par Eric Burgraff Chef du service Société Le 26/03/2023 à 19:20
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Deux masters en médecine, à Mons et à Namur, et une sortie de crise pour la Communauté française
Deux masters en médecine, à Mons et à Namur, et une sortie de crise pour la Communauté française D.R. La nouvelle est tombée ce samedi, aux alentours de 20h, après des semaines de guerre ouverte entre les partis de la majorité gouvernementale PS-MR-Ecolo et de négociations, en coulisses cette fois, avec les ministres de cette même majorité. Résultat des courses, il y aura bien deux nouveaux masters en médecine sur le territoire de la Communauté française. L’un à l’Université de Mons. L’autre, en médecine générale, à l’Université de Namur. « Tout ça pour ça », diront certains. Oui et non… L’accord, qui octroie par la même occasion 55 autres habilitations, est bien assorti de limites très strictes. Financières, d’abord. L’Université de Mons ne pourra pas bénéficier d’un surfinancement pour la création d’un master en médecine. Ce sont les 450.000 euros de surcoût sur trois ans mentionnés par le MR. Les étudiants seront donc financés à 85 %, et non à 100 % comme pour les universités de taille moyenne. « Nous nous y attendions totalement, c’était déjà le fruit d’une réflexion que nous avions eue », assure Philippe Dubois, recteur de l’UMons et force vive dans ce dossier. « Nous allons recevoir des soutiens du monde industriel et privé, dont le montant s’élève à 150.000 euros par an. » A l’UNamur, où il sera question d’un master de spécialisation en médecine générale et non d’un master classique, la question financière est moins prégnante. « Pour les masters de spécialisation, nous ne sommes financés que deux ans par la Fédération Wallonie-Bruxelles au lieu de trois, donc on sait bien que l’université va devoir mettre de sa poche », fait savoir Pierre Gardin, doyen de la faculté de médecine. À lire aussi L’UNamur met un coup de pression pour obtenir son habilitation en médecine Autre restriction applicable aux établissements : l’évaluation des deux masters susmentionnés, et de leur plus-value, au bout de cinq années d’existence. Une étude indépendante sera chargée d’analyser l’existence d’un lien entre la création d’un master et l’installation de médecins généralistes en zone en pénurie. Autrement dit, le principal objectif à la création de ces deux masters. « Je trouve ça plutôt sain », indique Philippe Dubois. « J’aurais évidemment préféré que le délai soit plus long pour achever un cycle complet, mais il s’agit certainement d’un compromis politique », ajoute de son côté Pierre Gardin. Enfin, l’UMons aura l’interdiction formelle de solliciter l’ouverture d’un hôpital universitaire (qui coûterait 3 à 4 millions d’euros par an à la FWB). En cas de rupture de contrat, la formation sera directement interrompue. « Il serait d’ailleurs suicidaire de notre part de créer un hôpital universitaire et de mettre à mal notre partenariat avec l’ULB », confesse le recteur montois. « On s’attendait dès le départ à ces mesures restrictives. » La fin d’une séquence politique Reste que toute cette séquence politique laisse un goût amer. Politiquement, il faudra de nouveau recoller les morceaux après le coup de force de Georges-Louis Bouchez, esseulé, qui a voulu passer en force sans tenir compte de l’avis de ses partenaires de majorité, et celui de Paul Magnette qui, ulcéré sur le fond et la forme, a fait de ce dossier finalement banal dans une législature un casus belli, menaçant le MR de trouver une majorité alternative. Sans le sang-froid du gouvernement de la Communauté française qui a repris la main, faisant fi des oukases présidentiels, le dossier patinerait encore. « On a perdu du temps, car un accord similaire était déjà sur la table il y a 15 jours », dit-on d’un côté. « La réalité est plus nuancée : cela fait des semaines qu’on négocie dans ce dossier, et sans les sorties présidentielles, tout aurait été plus vite », dit-on de l’autre. À lire aussi Médecine à l’UMons: pourquoi Magnette a joué l’épreuve de force contre Bouchez Pour éviter que la prochaine pomme de discorde ne tourne en mélodrame, les présidents de parti ont passé un pacte : s’en tenir aux accords de gouvernement, discuter entre partenaires de majorité dans le cas d’un dossier qui se situerait hors-accord de gouvernement, et éviter de brandir la menace d’une majorité alternative. A voir si la trêve tiendra, chaque parti avançant déjà ses arguments pour montrer qu’il sort gagnant de la séquence. « Or, dans chaque compromis, on gagne un peu et on perd un peu », lâche une source proche du dossier. Car, si le MR a dû observer une courbe rentrante quant à l’existence d’un master à Mons et à Namur, il a réussi à imposer l’interdiction de surfinancement et celle de solliciter l’ouverture d’un hôpital universitaire. Quant aux socialistes, ils peuvent se targuer d’avoir obtenu ce qu’ils désiraient (le master à Mons), mais au prix d’une menace dont ils ne sortent pas grandis, et d’ajustements qui encadrent bien mieux la création de ces masters. Un calendrier bouleversé ? Pour les universités, l’heure est aux réjouissances, malgré le tournant brûlant et inattendu qu’aura pris un dossier, à première vue, minoritaire. « Tout le monde s’y retrouve et je m’en réjouis », résume Philippe Dubois. Lui qui s’était pourtant livré avec le président du MR (également membre du CA de l’UMons) à une véritable passe d’armes, allant jusqu’à réclamer sa démission du CA. « Que ça soit très clair », nous dit-il : « je n’ai jamais eu aucun conflit interpersonnel ni avec le président du MR, ni avec la ministre Glatigny. J’ai constaté un désaccord sur ce dossier, je constate que l’on a trouvé un accord. C’est tout ce que je retiendrai. » À lire aussi A l’UMons, le recteur veut la démission de Georges-Louis Bouchez Alors que l’UMons maintiendra l’ouverture de son master à la rentrée 2024-2025, comme initialement prévu, l’UNamur pourrait bien voir son calendrier bouleversé. Le doyen Pierre Gardin se dit déçu à l’égard du monde politique qui a, lui semble-t-il, « instrumentalisé un dossier purement technique ». L’Université de Namur avait prévu d’ouvrir son master de spécialisation à la rentrée 2023-2024. Désormais, elle ne souhaite plus avancer de timing : « Il y a déjà bien longtemps que l’on aurait dû recevoir cette réponse. Notre calendrier a été bouleversé par cette tempête politique. Je suis convaincu que sans le master de l’UMons, le nôtre aurait déjà été accordé. On n’a pas arrêté de faire un amalgame entre nos demandes. » Afin de prévenir d’un nouvel imbroglio, l’accord de majorité prévoit de réformer le fonctionnement du système des habilitations. Jusqu’à la fin de la législature, aucune nouvelle offre de formation ne sera accordée. Après ça, toute nouvelle habilitation devra s’organiser sans financement pendant trois ans de façon, dit-on, à responsabiliser les établissements. Suite et, très certainement, fin du dossier des masters en médecine. Le gouvernement a tranché : l’UMons aura son master… sous certaines conditions. Au sein des partis de la majorité, chacun célèbre la victoire face à son adversaire. Par Charlotte Hutin et Stéphane Vande Velde Le 26/03/2023 à 19:16
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