Loïs Petit décroche le bronze à Sofia !

Lees ook:

«Le libéralisme politique ne s’accommode pas de l’autoritarisme» Pour Justine Lacroix et Jean-Yves Pranchère, l’élection est un critère nécessaire mais non suffisant de la démocratie. - Dominique Duchesnes Le Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles ouvre ses portes au Collège Belgique (l’établissement de diffusion des savoirs de l’Académie royale) le temps d’un cycle de conférences sur le thème de la démocratie et ses enjeux. Le Soir s’est associé à cette excellente initiative. Pour la session inaugurale, prévue ce mardi midi (1), Justine Lacroix et Jean-Yves Pranchère, respectivement professeur(e)s de science politique et de philosophie politique à l’ULB, vont analyser les liens entre libéralisme et démocratie. Le terme « libéralisme » présente plusieurs sens. Ainsi, de nombreuses attaques contre « la démocratie libérale » sont, en fait, des attaques contre le capitalisme, l’économie de marché. Pour votre part, quel sens lui donnez-vous ? Justine Lacroix Ce que nous entendons par « libéralisme », au sens le plus large, c’est une philosophie politique qui reconnaît l’égale liberté des individus, et qui peut se décliner dans des versions plus socialisantes, plus conservatrices ou beaucoup plus libre-échangistes. Il est vrai que dans les espaces publics, « libéral » est un terme très polysémique puisque, chez nous, il renvoie plutôt à des partis considérés comme de droite, alors qu’aux Etats-Unis, liberal renvoie plutôt à l’aile gauche du Parti démocrate et à des mesures en faveur de l’Etat social ou des minorités. Par ailleurs, toute l’histoire intellectuelle du libéralisme est extrêmement variée… Nous ne contestons pas l’idée que le capitalisme puisse parfaitement s’associer avec des formes autoritaires de gouvernement, mais nous allons tenter de montrer (lors de la conférence de mardi, NDLR) que le libéralisme au sens large, tel que je l’ai défini, ne s’accommode pas du tout de l’autoritarisme. Jean-Yves Pranchère Il a pu exister au XIXᵉ siècle des libéraux élitistes, non égalitaires, mais la séquence est close. Dans les coordonnées qui sont désormais les nôtres, un libéralisme inégalitaire ne serait plus un libéralisme – de la même manière que les droits de l’Homme, en 1789, ont maintenu une inégalité entre hommes et femmes, mais qu’aujourd’hui, personne n’accepterait de dire qu’un homme qui dirait qu’il faut renvoyer des femmes à la cuisine et les priver du droit de vote est un défenseur des droits humains… Antilibéralisme et anticapitalisme ne sont pas la même chose : beaucoup d’attaques contre la démocratie libérale viennent de gens qui ne sont pas anticapitalistes. Orban, par exemple : c’est un partisan d’une économie de marché dérégulée, du droit de propriété. Il est typique des défenseurs d’un capitalisme illibéral, voire antilibéral, qui attaquent les libéraux sur le terrain de l’Etat de droit. Et donc, le champ véritable de la définition du libéralisme aujourd’hui, c’est la défense de l’Etat de droit. En un sens large, le libéralisme, c’est le bien commun de tous les démocrates. Et puis, en un sens plus restreint, c’est une position qui peut aller de la droite à la gauche, du libéralisme ou, même, de l’ultralibéralisme à la sociale-démocratie, mais qui se marque par une certaine hésitation devant l’idée de liberté collective – des libéraux ayant tendance à soupçonner là dessous des risques de normalisation étatique. Ce concept de « démocratie illibérale », qui qualifie des régimes qui se fondent sur le résultat des élections tout en ne respectant pas certains droits et libertés, vous pose problème. Pourquoi ? J. L. Tout simplement parce que l’élection est un critère nécessaire mais non suffisant de la démocratie. Il faut également que les conditions de formation de la volonté démocratique, les conditions qui conduisent à ces élections et qui supposent le respect des libertés individuelles – liberté de contester, de critiquer, de délibérer – soient respectées. Sans cela, la souveraineté populaire ne peut s’exprimer. J.-Y. P. Souvent, cette idée de « démocratie autoritaire » s’autorise de la référence aux démocraties anciennes, qui ne satisfont pas aux critères du libéralisme moderne puisqu’il n’y a pas de liberté de conscience, puisqu’il y a l’esclavage, etc. Mais les anciens n’ont jamais défini le caractère de leur démocratie par ces traits-là. Les esclaves, par exemple, ne sont pas des citoyens démocratiques : ils sont « hors-démocratie ». Les deux grands critères de la démocratie dès l’Antiquité, c’est l’isonomie, c’est-à-dire l’égalité sous la loi, et c’est l’égalité du droit à la parole. Donc, ce n’est pas l’élection – puisqu’à l’époque, la démocratie fonctionnait par tirage au sort ; c’est le fait que tous les citoyens sont en possession des libertés publiques. Dans votre livre «  Les droits de l’Homme rendent-ils idiot ? » (Seuil, 2019), vous expliquiez que, souvent, les contempteurs de la « démocratie libérale » visent en fait les droits de l’Homme – assimilés à une sorte de bien-pensance individualiste, quand ce n’est pas à une décadence… J. L. Ce concept de « démocratie illibérale » conduit effectivement à une remise en cause des contraintes que feraient peser sur nous les droits de l’Homme et l’Etat de droit. On l’a observé au sein de nos espaces publics nationaux : il ne suffit pas de pointer la Hongrie ou la Pologne. Ainsi, en France, on a entendu des responsables politiques, pourtant européens convaincus, remettre en cause l’autorité de la Cour de justice de l’Union européenne ou de la Cour européenne des droits de l’Homme au nom de la souveraineté nationale. Il y a là un recul par rapport à ce qui semblait être un grand acquis mis en place depuis les années 1960, à savoir l’idée que les droits de l’Homme peuvent être invoqués au-delà de son Etat, même pour faire condamner son propre Etat. J.-Y. P. Si on accepte l’idée de « démocratie illibérale », on accepte l’idée que la démocratie n’est pas tenue par les droits de la citoyenneté. Or, ce sont précisément les droits de la citoyenneté qui sont constitutifs de la démocratie. Le terme de « démocratie illibérale » masque donc une sorte de contradiction dans les termes puisqu’une démocratie illibérale, ce serait une démocratie où les citoyens peuvent être privés de leurs droits de citoyen, ce qui est une autonégation de la démocratie. Cette idée de « décadence » associée au « droit-de-l’hommisme », c’est la petite musique diffusée par un Vladimir Poutine depuis des années… J. L. Il y a clairement chez Poutine une opposition de type civilisationnel, et on peut espérer que la guerre en Ukraine dévoile son vrai visage et suscite une forme de regain de ce que j’appellerais, à la suite d’Habermas, le « patriotisme constitutionnel » ou d’identité politique de l’Europe, qui serait assise sur la défense de ce pluralisme interne et de ce respect de l’Etat de droit. Pour autant que l’Union européenne ne confonde pas la défense de principes politiques avec une forme d’exaltation identitaire du « mode de vie » européen. J.-Y. P. Le cas du régime de Poutine montre le caractère non opératoire de ces notions de « démocratie illibérale », de « libéralisme autoritaire », et même de « populisme ». Poutine n’a rien à voir le populisme historique : le terme adéquat ici, comme l’a montré Timothy Snyder, c’est « fascisme ». On est confronté à un régime fasciste de type impérialiste, moins radical que celui d’Hitler, par exemple, mais plus radical que celui de Mussolini avant 1935 en termes de violence. Et donc, à mon avis, ça montre finalement le danger des euphémisations. En utilisant ces concepts, qui ont pour effet de donner un vernis libéral à des régimes illibéraux ou un vernis démocratique à des régimes antidémocratiques – c’est souvent un des effets, aussi, du terme « populisme » –, on se retrouve à leur donner une légitimité qu’ils ne méritent pas. (1) Ce mardi 28 mars à 12h30, au Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, 72 rue Royale, à Bruxelles. Inscriptions sur le site de l’Académie royale. Pour Justine Lacroix et Jean-Yves Pranchère, le procès de la démocratie libérale repose sur une confusion des concepts… ou un agenda politique non démocratique. Par William Bourton Chef du service Forum Le 26/03/2023 à 18:10

Les Etats-Unis n'ont "aucune indication" que la Russie ait transféré des armes nucléaires au Bélarus, ni même que le président Vladimir Poutine ait l'intention de recourir à l'arme nucléaire en Ukraine, a déclaré dimanche un haut responsable américain.

La fracture numérique continue de se creuser Chez Lire et écrire à La Louvière, comme les personnes qui rencontrent des difficultés de lecture et d’écriture ne s’y retrouvent plus, ce sont les accompagnatrices qui trinquent. - Dominique Duchesnes. Près d’un Belge sur deux vit en situation de vulnérabilité numérique. La crise covid a largement amplifié et accéléré la digitalisation de la société, laissant de nombreuses personnes perdues face à ces changements rapides. Ce constat est dénoncé dans un avis d’Unia (centre interfédéral pour l’égalité des chances) et du Service de lutte contre la pauvreté, qui demandent des actes concrets pour aider ceux qui souffrent de la fracture numérique. Leurs revendications peuvent se résumer en trois points majeurs. À lire aussi «Analphabète», le mot qui blesse 1 Refuser le tout numérique Personnes handicapées, personnes âgées, personnes analphabètes ou illettrées, nombreux sont ceux qui ont encore besoin d’un guichet avec un contact humain. L’ASBL d’alphabétisation Lire et Ecrire avait interpellé Unia. « Nous ne pouvons tolérer que des êtres humains ne sachent plus déclarer leur enfant à la commune autrement qu’en ligne », dénonce Cécilia Locmant, chargée de communication pour Lire et Ecrire. « Tout passe par la lecture : les SMS, les mails, etc. Les personnes analphabètes ou illettrées ne savent pas trouver un onglet ou remplir un formulaire en ligne ». L’ASBL dénonce les frais engendrés par cette situation. « Maintenant il y a des surcoûts. À la poste, si on ne sait pas utiliser leur appareil self bank, ça coûte 3 à 4 euros », regrette-t-elle. Ces surcoûts se retrouvent aussi à l’achat d’un billet de train, si on l’achète à bord plutôt qu’à une machine, quand il n’y a pas de guichet en gare. Pareil pour les abonnements téléphoniques, dont les prix sont plus intéressants sur internet. Pourtant, affirme Henk Van Hooteghem, coordinateur du Service de lutte contre la pauvreté, ce sont déjà les publics précaires qui souffrent le plus de la fracture numérique. « Près d’une famille en situation de pauvreté sur cinq n’a pas d’accès à internet (contre 8 % dans la population totale, NDLR) », rappelle-t-il. « On demande une obligation d’alternative », soutient Cécilia Locmant. « Les services peuvent faire ce qu’ils veulent aujourd’hui. Il n’y a aucune obligation d’avoir des guichets ouverts ». 2 Améliorer l’accessibilité du numérique A côté des alternatives au numérique, Unia demande de garantir un accès plus aisé aux nouvelles technologies. Pour le Service de lutte contre la pauvreté, l’accès à internet devrait même être garanti par la Constitution. « Au même titre que l’eau par exemple, l’accès à une connexion internet est un bien essentiel », revendique Mélanie Joseph, collaboratrice du Service. Les coûts du matériel informatique ou les frais de connexion freinent également les ménages les plus précaires. Le Service de lutte contre la pauvreté a pu s’en rendre compte avec l’opération « Hello Belgium Pass » de la SNCB. Cet abonnement de 10 voyages avait été délivré gratuitement pendant la crise sanitaire. Pour l’obtenir, il fallait entrer son numéro de registre national dans un formulaire en ligne. En observant les données socio-économiques des demandeurs du pass, les conclusions sont nettes : la demande par voie numérique a freiné certaines personnes, particulièrement les Belges ayant un revenu ou un taux d’instruction plus faible. Ce sont les mêmes personnes qui sont habituellement victimes de fracture numérique. À lire aussi Ces «digital natives», naufragés ignorés du monde numérique 3 Tenir compte de la réalité des groupes vulnérables Patrick Charlier, directeur d’Unia, regrette qu’on fasse souvent les choix de digitalisation à l’envers. « Un dispositif qui convient aux groupes les plus vulnérables conviendra toujours à l’ensemble de la société », détaille-t-il. « Pourtant, actuellement, on construit un site ou un formulaire en ligne, puis on réfléchit à comment l’aménager pour qu’il soit accessible aux personnes vulnérables ». Cécilia Locmant confirme : « Souvent, on vient nous voir “pour trouver deux analphabètes” pour tester un service », explique-t-elle. « Là, les développeurs voient à chaque fois les limites de ce qu’ils ont créé. Mais ils renoncent presque systématiquement à faire des changements, pour des raisons de budget ». La solution à ce problème est toute trouvée, selon Unia. « Nous demandons d’impliquer bien plus tôt les personnes vulnérables. Il faut partir de leurs réalités et de leurs difficultés quotidiennes », demande Patrick Charlier. « L’enjeu majeur sera de pouvoir introduire toutes ces revendications dans les accords de gouvernement en 2024 », conclut-il. Dans un avis commun, Unia et le Service de lutte contre la pauvreté alertent : à cause de la digitalisation des services, de plus en plus de personnes perdent l’accès à des droits élémentaires. Par Alexandre Noppe (st.) Le 26/03/2023 à 18:07

L'Herakles s'est offert un sursis en battant Gand. Le Racing conserve sa quatrième place. Le Watducks se fait peur à Uccle Sport. Le Daring s'est imposé dans le match au sommet du bas de classement.

18:07 À la veille d'une dixième journée de manifestations en France contre la réforme des retraites, Emmanuel Macron recevra lundi les poids lourds de la majorité.

In de Tempel van Ramses II, in de oude Egyptische stad Abydos, zijn meer dan 2.000 gemummificeerde ramskoppen ontdekt. Dat heeft het Egyptische ministerie van Oudheden en Toerisme zondag meegedeeld.

Hockey: le Dragons et la Gantoise perdent des plumes tandis que le Daring retrouve le sourire Orée – Léopold : 2-4.  Le leader de la compétition a proposé une prestation sérieuse pour décrocher son 14esuccès de la saison. Le début de match était à sens unique et c’est logiquement que les visiteurs trouvaient l’ouverture sur le premier penalty ucclois converti par Tom Boon qui inscrivait déjà son 40e  but de la saison. Après la pause, l’équipe locale se montrait plus appliquée dans le cercle et parvenait à égaliser grâce à Tomi Domene, sur stroke (43e). La partie se déroulait sous une pluie torrentielle et le Léo reprenait l’avantage via Arthur Verdussen suite à une contre-attaque rapide (52e) avant que Tom Degroote ne fasse 1-3 (55e). C’était, ensuite, Tom Boon qui s’offrait un doublé (59e) et mettait fin pratiquement aux derniers espoirs locaux. Le dernier but inscrit par John-John Dohmen ne changeait plus rien (63e) d’autant plus que le milieu de terrain des Red Lions et Manu Stockbroekx héritaient, tous les 2, d’une carte jaune dans les 5 dernières minutes. Louvain – Racing : 2-7. Large succès des champions de Belgique en titre qui ont signé une 9e  victoire cette saison. Trois points importants vu les autres résultats enregistrés lors de la 16e  journée de championnat. Les Bruxellois ont rapidement mené 0-2 via Augustin Meurmans (4e) et Tanguy Cosyns (12e) mais Jules Coolen remettait un peu de piment dans la partie à la 20e  minute de jeu. Cédric Charlier ripostait dans la foulée mais Alvaro Tello Balmaseda ne laissait pas filer le Racing. Achille De Chaffoy redonnait un peu d’air aux siens avant la pause avant que les 2 attaquants des Red Lions, Tanguy Cosyns et Cédric Charlier, ne réussissent, chacun, un doublé. À la 63e  minute, le capitaine Jérôme Truyens fixait le score final. Herakles – Gantoise : 4-3.  Après leur défaite surprise chez les Universitaires, la semaine dernière, les Lierrois se sont repris de la plus belle des manières en faisant trébucher l’un des candidats aux playoffs. Un succès qui permet aux Anversois de rester toujours concernés par la lutte pour le top 4 même si cela s’annonce assez compliqué et que, pour y arriver, il ne faudra plus gaspiller de points en chemin. C’est en deuxième période que l’Hearkles a finalement émergé puisque les 2 clubs étaient encore au coude à coude en début de seconde période. Les buteurs du jour : Nicolas De Kerpel (2), Amaury Keusters et Dylan Thomas pour les locaux ; Sean Murray, Guillaume Hellin et Emile Esquelin pour les Flandriens. Daring – Old Club : 7-2. C’était assurément l’une des rencontres les plus importantes de la journée entre 2 équipes en lutte pour assurer leur maintien en DH. Un duel que les Molenbeekois ont parfaitement négocié puisqu’ils n’ont pas laissé la moindre chance aux promus liégeois qui restent donc avec leur compteur point coincé sur 6 unités. Un 3e  succès capital pour le Daring qui reprend donc un peu d’air en bas de classement alors qu’il reste 5 journées à disputer. À la pause, l’équipe locale menait avec 3 buts d’avance suite aux réalisations d’Alex Van Linthoudt (2) et de Xavier Esmenjaud. En seconde période, le capitaine bruxellois ajoutait 2 nouveaux buts à son escarcelle tandis que Thomas Leffler s’offrait un doublé. En début de 2e  période, l’international néo-zélandais Charl Ulrich avait pourtant redonné un peu d’espoir aux visiteurs en inscrivant 2 buts en 12 minutes. Dragons – Braxgata : 1-1.  Après avoir arraché un bon point, dimanche dernier, au Racing, les hommes de Philippe Goldberg ont, à nouveau, démontré qu’ils n’avaient toujours pas fait une croix sur les playoffs et qu’ils étaient plus que jamais candidats à une place dans le dernier carré. Le club de Brasschaat avait ouvert le score dès la 11e  minute via Simon Gougnard mais Jeff De Winter avait remis les 2 équipes à égalité avant le retour aux vestiaires. Uccle Sport – Waterloo Ducks : 2-3. Les Brabançons étaient bien conscients qu’ils devaient s’attendre à une chaude réception du côté d’Uccle alors que les promus bruxellois sont prêts à tout pour se maintenir parmi l’Elite. Le but rapide de Victor Charlet sur penalty (4e) aurait dû libérer les visiteurs mais les protégés de Sofie Gierts égalisaient dans la foulée grâce à Alfonso Moreno. Tommy Willems relançait les siens avant le quart d’heure et le capitaine de l’équipe de France s’offrait un doublé en début de seconde période, nouveau sur penalty (39e). L’équipe locale ne lâchait rien mais le second but d’Alfonso Moreno tombait dans les dernières secondes de jeu lorsque la partie était déjà pliée. Un succès qui permet au Watducks de rester au contact du Top 4 à une petite unité du Racing. La 16e journée de championnat a réservé quelques surprises et ouvre la lutte pour les playoffs, derrière le Léopold. En bas de classement, les Molenbeekois ont empoché 3 points cruciaux face à l’un de leurs concurrents pour le maintien. Par Laurent Toussaint Le 26/03/2023 à 18:04

Ervaring met het ontkurken van champagneflessen op een podium heeft hij genoeg. Maar na Gent-Wevelgem liep het toch even mis voor Wout van Aert.

Annecy n’est pas que le siège social de Salomon, marque historique du marché du trail running. C’est aussi là que naissent les prototypes et que sont effectués les tests de conformité avant la mise en production, le plus souvent en Asie, des produits de la marque.

Cabaret, variété, revue... Die wonderlijke mix van humor, muziek en spektakel is een showbizztak die in Vlaanderen in het recente verleden een beetje in het verdomhoekje zat. Te oubollig, passé, op sterven na dood. Dat waren de conclusies die vaak werden getrokken als het over die klassieke shows ging. Maar kijk: het genre lijkt zichzelf nu heruit te vinden. En met resultaat. ‘Primo’ legt de weg naar hernieuwde populariteit uit.

Statut quo pour la Région bruxelloise, Le Ministre Sven Gatz vise un équilibre financier en 2024.

Waar is Davy? Dat vraagt Nicky Vanderhaeghen uit Brugge zich af. De vrouw vertrok tien dagen geleden met haar broer op reis naar Mexico, maar keerde zaterdag zónder hem huiswaarts. Hij mocht het vliegtuig niet op, besloot op hotel te gaan, maar werd daarna omsingeld en opgepakt door de politie. De familie weet dat enkel door een vluchtig telefoontje. “Maar hij heeft niets gedaan. Hoe gaat het met hem? Is hij wel veilig? We weten het niet. Hij is onbereikbaar”, zucht Nicky.

«On ne veut pas de cette société du tout numérique» Au milieu de la longue table de la salle de réunion, un immense autocollant rouge apposé sur l’ordinateur de Bénédicte Mengeo... - Dominique Duchesnes. Au centre de La Louvière, l’ASBL Lire et Ecrire a implanté ses locaux pour y accueillir des apprenants en alphabétisation. Au milieu de la longue table de la salle de réunion, un détail saute tout de suite aux yeux. Un immense autocollant rouge apposé sur l’ordinateur de Bénédicte Mengeot, responsable de projet au centre Mons-Borinage, dit ceci : « Un adulte sur dix a des difficultés pour lire et écrire ». Les formations de l’ASBL sont pourtant loin d’accueillir un Belge francophone sur dix. « J’ai encore beaucoup d’amis qui n’osent pas venir », explique Christian, 74 ans. Depuis une dizaine d’années, il vient régulièrement aux ateliers. S’il a beaucoup progressé en lecture et écriture, la disparition des contacts humains l’inquiète. « Quand je sais que c’est une gare ou un parking avec seulement des bornes, des machines, je n’y vais pas », confie-t-il. « Je choisis en fonction de cela, même si c’est plus loin. C’est toujours embêtant de devoir demander de l’aide à un passant ». Pour Séverine Jaumotte, formatrice au centre Mons-Borinage, le covid a marqué un tournant flagrant, aggravant la fracture numérique. « Depuis la crise sanitaire, on sent qu’il y a un pas qui a été enclenché, et qu’on ne reviendra pas en arrière », constate-t-elle. « Les évolutions digitales sont très discriminantes, ce n’est pas juste de ne plus se sentir en société seulement parce qu’on ne sait pas commander un billet de train en ligne ». Les démarches pour le CPAS doivent de plus en plus se faire par ordinateur. « Un de nos apprenants devait rendre un dossier, et donc contacter quatre ou cinq intervenants », explique Bénédicte Mengeot. « Désormais, il faut envoyer des mails parce que les services sont fermés. Ne plus avoir de gens à un guichet est un risque vital », avertit-elle. « Certains risquent de perdre leurs droits, leur revenu d’intégration sociale, juste parce qu’ils ne savent pas envoyer de mails… » Véronique, l’une des apprenantes de Lire et Ecrire, opine : « moi j’ai abandonné », avoue-t-elle. « Je n’arrivais pas à comprendre tout ce qu’il fallait rendre comme papiers. Pour le moment, je reçois toujours mes sous… » « On accède à des données très personnelles » Comme les personnes qui rencontrent des difficultés de lecture et d’écriture ne s’y retrouvent plus, ce sont les accompagnatrices qui trinquent. « On se retrouve, nous, formatrices en alphabétisation, à gérer cela », développe Séverine Jaumotte. « On accède à des informations très personnelles. Nous voyons les comptes en banque, allons sur les ordinateurs personnels, devons installer Itsme sur les smartphones… ». Philippe vient lui depuis 2016 chez Lire et Ecrire à La Louvière. Il ressent, avec l’avènement du tout numérique, une perte d’autonomie. « Avant, on avait encore du contact humain », se rappelle-t-il. « Aujourd’hui, on n’a plus le choix, on recule encore dans la dépendance aux autres. » Christian évoque le vécu d’un ami : « Il ne sait pas lire ses factures et m’avait demandé de l’aider. Il avait coupé son chauffage après avoir reçu une facture de 400 euros », raconte-t-il. « En fait, il allait être remboursé de ces 400 euros, c’était un retour d’acompte. Mais ça, quand on ne sait pas lire, on ne le comprend pas tout de suite… », rappelle Christian. La mission de Lire et Ecrire est de redonner confiance à des personnes qui ont souvent honte de leur condition. Dans ce contexte, la baisse des contacts humains est dommageable. « Le plus important, c’est la prise en compte », affirme Bénédicte Mengeot. « Il faut simplement avoir à l’esprit, quand on est dans l’espace public, quand on prend des décisions, que certaines personnes ne savent ni lire, ni écrire. Et ce n’est pas leur faute », souligne-t-elle. Dans tous les centres d’alphabétisation de l’ASBL Lire et Ecrire, le constat est le même : la digitalisation des services pousse les personnes illettrées encore plus loin dans l’isolement. Reportage à La Louvière. Par Alexandre Noppe (st.) Le 26/03/2023 à 17:58

Le revenant Marc Marquez en pole, sur le podium puis en enfer ; le champion en titre Bagnaia impérial et dans l’Histoire et de spectaculaires chutes : le premier Grand Prix 2023 a été mémorable.

Roglic remporte le Tour de Catalogne devant Evenepoel: la revanche se disputera en Italie Face aux arènes de Barcelone, où les avenues sont aussi larges qu’une autoroute, Remco Evenepoel s’est revu à Madrid, quelques mois plus tôt, admirant de la même façon les splendeurs architecturales de la deuxième cité espagnole. Pas de victoire finale cette fois, certes, au bout d’une semaine pourtant mémorable mais des satisfactions presque similaires. Et, surtout, des enseignements de première utilité dans la perspective de l’objectif suprême en 2023 : le Tour d’Italie. 1 Les objectifs fixés largement atteints Derrière ses lunettes de professeur, Klaas Lodewyck, le directeur sportif le plus proche du Brabançon dans la structure de Soudal-Quick Step dispose aussi d’un flegme à toute épreuve. Il est l’eau, Remco le feu et cette dualité fonctionne à merveille. « Je sais qu’il est déçu, car un champion comme lui n’est jamais content. Une deuxième place, c’est frustrant, surtout à l’issue d’une course qui s’est jouée aux bonifications. Mais moi, je suis ravi. Les objectifs fixés sont atteints : deux victoires d’étape et un podium, sans parler des maillots distinctifs, c’est parfait. » 2 Des petites erreurs facilement perfectibles Est-il concevable d’évoquer des erreurs lorsqu’on parle d’une deuxième place finale d’un Tour d’une semaine de qualité supérieure ? « Non, admet Lodewyck. Surtout si le vainqueur s’appelle Primoz Roglic, qui a été poussé chaque jour dans ses derniers retranchements. L’expérience conditionne le sang-froid et Roglic a démontré toute l’étendue d’un cyclisme qui a pu sembler cynique à certains. Il a pris le pouvoir dès la première étape là où attendait un sprint massif. Remco était où il devait être mais il a entamé son sprint un poil trop tard alors qu’il était, sur ce coup-là, le plus rapide. Le lendemain, il part trop tôt et prend le dernier virage trop large pour permettre à Ciccone de s’engouffrer. Il y a ensuite la victoire à La Molina. Vous me dites que si Remco avait sprinté jusqu’au bout plutôt que de lever les bras, il aurait pris le maillot. C’est absolument exact, mais là encore, comment lui adresser un reproche ? Il rêvait de cela depuis fin septembre avec le maillot arc-en-ciel. Cela en devenait une obsession. Il est jeune, il a besoin de profiter, je partage sa joie quand il lève les bras. Si on analyse froidement la situation alors oui, c’était une faute car il aurait été leader, il aurait pu défendre plutôt que d’attaquer. 3 Une équipe Soudal-Quick Step supérieure à Jumbo-Visma Un directeur sportif est évidemment plus attentif qu’un autre au fonctionnement collectif de son groupe. Le rapport final sera brillant car la formation belge a dominé ce Tour de Catalogne. C’est elle qui a pris la course en mains. « J’ai beaucoup aimé. La gestion, le placement, l’entente, le partage des rôles, surtout en montagne où les gars se relayaient en fonction de leur forme de l’instant, avec l’honnêteté de partager leurs sentiments dans l’oreillette. Je n’aime pas trop juger comment a fonctionné l’adversaire, car la course a rapidement pris le chemin d’un duel entre Jumbo et nous mais il est certain que nous avons forcé les adversaires à travailler, ce qui a isolé Roglic, lequel n’a pas tremblé. 4 Quelle équipe au Giro ? Les hommes de Klaas Lodewyck ont en tout cas marqué des points dans la perspective du Giro. « Je ne vais pas décréter maintenant que les six équipiers qui étaient ici (Hirt, Serry, Van Wilder, Vervaeke, Masnada et Cattaneo) seront d’office au Giro. La sélection s’effectuera sur base de la forme du moment et de la santé des coureurs car nous ne sommes toujours pas à l’abri d’un cas de covid. Ensuite, il conviendra d’équilibrer cette sélection, d’ajouter un rouleur et/ou un grimpeur. Au moment des classiques ardennaises, nous y verrons plus clair. Nous n’attendrons pas au-delà pour choisir les huit éléments car il n’est pas sain de laisser des athlètes dans le doute. » La garde rapprochée de Remco Evenepoel, à savoir Serry, Vervaeke et Van Wilder a pourtant la garantie d’être au Tour d’Italie. Ces hommes ont partagé les mêmes souffrances au volcan Teide pendant le stage et ils en remettront une couche avant les classiques wallonnes. Les grimpeurs Masnada et Hirt ont été engagés pour le soutenir. Le choix final devrait se jouer entre les rouleurs Cattaneo et Cavagna et le grimpeur Schmid. Le Français a remporté deux étapes à la semaine italienne Coppi et Bartali et le Suisse a gagné le classement final. Difficile de faire mieux pour revendiquer un statut de titulaire… 5 Le contre-la-montre reste l’arme fatale de Remco Evenepoel « C’est sûr que ses paramètres en la matière sont un plus indiscutable, termine Klaas Lodewyck. Mais Roglic est le champion olympique de la discipline, ne l’oublions pas. » Assistera-t-on, du coup, à un nouveau duel sans partage au Tour d’Italie ? Merijn Zeeman, le directeur sportif de Roglic, considérait en tout cas que le cyclisme proposé par Evenepoel a boosté… celui de Primoz. « Remco, c’est le nouveau kid (sic) du peloton. Quand on sait qu’il va forcément s’améliorer avec l’âge, c’est prometteur. Il fait le spectacle, il rend la course attractive et notre « vieux » Primoz a participé au jeu, il adore cela. Aujourd’hui, je vous dirais oui, ce sera un duel entre les deux au Giro mais c’est dans six semaines, n’anticipons pas trop. » Roglic et (surtout) Evenepoel ont offert un spectacle de première classe en Catalogne. Dans six semaines, ils se retrouveront au Giro où le directeur sportif de Soudal, Klaas Lodewyck, emmènera ses meilleurs éléments. Par STÉPHANE THIRION, envoyé spécial à Barcelone Le 26/03/2023 à 17:55

Primoz Roglic – Remco Evenepoel: la revanche se disputera en Italie Face aux arènes de Barcelone, où les avenues sont aussi larges qu’une autoroute, Remco Evenepoel s’est revu à Madrid, quelques mois plus tôt, admirant de la même façon les splendeurs architecturales de la deuxième cité espagnole. Pas de victoire finale cette fois, certes, au bout d’une semaine pourtant mémorable mais des satisfactions presque similaires. Et, surtout, des enseignements de première utilité dans la perspective de l’objectif suprême en 2023 : le Tour d’Italie. 1 Les objectifs fixés largement atteints Derrière ses lunettes de professeur, Klaas Lodewyck, le directeur sportif le plus proche du Brabançon dans la structure de Soudal-Quick Step dispose aussi d’un flegme à toute épreuve. Il est l’eau, Remco le feu et cette dualité fonctionne à merveille. « Je sais qu’il est déçu, car un champion comme lui n’est jamais content. Une deuxième place, c’est frustrant, surtout à l’issue d’une course qui s’est jouée aux bonifications. Mais moi, je suis ravi. Les objectifs fixés sont atteints : deux victoires d’étape et un podium, sans parler des maillots distinctifs, c’est parfait. » 2 Des petites erreurs facilement perfectibles Est-il concevable d’évoquer des erreurs lorsqu’on parle d’une deuxième place finale d’un Tour d’une semaine de qualité supérieure ? « Non, admet Lodewyck. Surtout si le vainqueur s’appelle Primoz Roglic, qui a été poussé chaque jour dans ses derniers retranchements. L’expérience conditionne le sang-froid et Roglic a démontré toute l’étendue d’un cyclisme qui a pu sembler cynique à certains. Il a pris le pouvoir dès la première étape là où attendait un sprint massif. Remco était où il devait être mais il a entamé son sprint un poil trop tard alors qu’il était, sur ce coup-là, le plus rapide. Le lendemain, il part trop tôt et prend le dernier virage trop large pour permettre à Ciccone de s’engouffrer. Il y a ensuite la victoire à La Molina. Vous me dites que si Remco avait sprinté jusqu’au bout plutôt que de lever les bras, il aurait pris le maillot. C’est absolument exact, mais là encore, comment lui adresser un reproche ? Il rêvait de cela depuis fin septembre avec le maillot arc-en-ciel. Cela en devenait une obsession. Il est jeune, il a besoin de profiter, je partage sa joie quand il lève les bras. Si on analyse froidement la situation alors oui, c’était une faute car il aurait été leader, il aurait pu défendre plutôt que d’attaquer. 3 Une équipe Soudal-Quick Step supérieure à Jumbo-Visma Un directeur sportif est évidemment plus attentif qu’un autre au fonctionnement collectif de son groupe. Le rapport final sera brillant car la formation belge a dominé ce Tour de Catalogne. C’est elle qui a pris la course en mains. « J’ai beaucoup aimé. La gestion, le placement, l’entente, le partage des rôles, surtout en montagne où les gars se relayaient en fonction de leur forme de l’instant, avec l’honnêteté de partager leurs sentiments dans l’oreillette. Je n’aime pas trop juger comment a fonctionné l’adversaire, car la course a rapidement pris le chemin d’un duel entre Jumbo et nous mais il est certain que nous avons forcé les adversaires à travailler, ce qui a isolé Roglic, lequel n’a pas tremblé. 4 Quelle équipe au Giro ? Les hommes de Klaas Lodewyck ont en tout cas marqué des points dans la perspective du Giro. « Je ne vais pas décréter maintenant que les six équipiers qui étaient ici (Hirt, Serry, Van Wilder, Vervaeke, Masnada et Cattaneo) seront d’office au Giro. La sélection s’effectuera sur base de la forme du moment et de la santé des coureurs car nous ne sommes toujours pas à l’abri d’un cas de covid. Ensuite, il conviendra d’équilibrer cette sélection, d’ajouter un rouleur et/ou un grimpeur. Au moment des classiques ardennaises, nous y verrons plus clair. Nous n’attendrons pas au-delà pour choisir les huit éléments car il n’est pas sain de laisser des athlètes dans le doute. » La garde rapprochée de Remco Evenepoel, à savoir Serry, Vervaeke et Van Wilder a pourtant la garantie d’être au Tour d’Italie. Ces hommes ont partagé les mêmes souffrances au volcan Teide pendant le stage et ils en remettront une couche avant les classiques wallonnes. Les grimpeurs Masnada et Hirt ont été engagés pour le soutenir. Le choix final devrait se jouer entre les rouleurs Cattaneo et Cavagna et le grimpeur Schmid. Le Français a remporté deux étapes à la semaine italienne Coppi et Bartali et le Suisse a gagné le classement final. Difficile de faire mieux pour revendiquer un statut de titulaire… 5 Le contre-la-montre reste l’arme fatale de Remco Evenepoel « C’est sûr que ses paramètres en la matière sont un plus indiscutable, termine Klaas Lodewyck. Mais Roglic est le champion olympique de la discipline, ne l’oublions pas. » Assistera-t-on, du coup, à un nouveau duel sans partage au Tour d’Italie ? Merijn Zeeman, le directeur sportif de Roglic, considérait en tout cas que le cyclisme proposé par Evenepoel a boosté… celui de Primoz. « Remco, c’est le nouveau kid (sic) du peloton. Quand on sait qu’il va forcément s’améliorer avec l’âge, c’est prometteur. Il fait le spectacle, il rend la course attractive et notre « vieux » Primoz a participé au jeu, il adore cela. Aujourd’hui, je vous dirais oui, ce sera un duel entre les deux au Giro mais c’est dans six semaines, n’anticipons pas trop. » Roglic et (surtout) Evenepoel ont offert un spectacle de première classe en Catalogne. Dans six semaines, ils se retrouveront au Giro où le directeur sportif de Soudal, Klaas Lodewyck, emmènera ses meilleurs éléments. Par STÉPHANE THIRION, envoyé spécial à Barcelone Le 26/03/2023 à 17:55

Roglic et (surtout) Evenepoel ont offert un spectacle de première classe en Catalogne. Dans six semaines, ils se retrouveront au Giro où le directeur sportif de Soudal, Klaas Lodewyck, emmènera ses meilleurs éléments.

Theo Maassen (56) zorgt voor heel wat ophef na zijn opmerkelijke passage in de Arenbergschouwburg in Antwerpen. Na een seksueel getinte grap zette de Nederlandse cabaretier vrijdagavond een peuter van drie jaar uit de zaal. “Ik zal ervoor zorgen dat jullie het geld terugkrijgen, maar zo ga ik niet spelen”, klonk het verontschuldigend. Volgens Maassen was zijn show veel te schunnig voor een kind. “Wat als ik straks mijn penis stijf ga maken?”

Theo Maassen (56) zorgt voor heel wat ophef na zijn opmerkelijke passage in de Arenbergschouwburg in Antwerpen. Na een seksueel getinte grap zette de Nederlandse cabaretier vrijdagavond een peuter van drie jaar uit de zaal. “Ik zal ervoor zorgen dat jullie het geld terugkrijgen, maar zo ga ik niet spelen”, klonk het verontschuldigend. Volgens Maassen was zijn show veel te schunnig voor een kind. “Wat als ik straks mijn penis stijf ga maken?”

Christophe Laporte, vainqueur de Gand-Wevelgem: «Je dois ma victoire à Wout van Aert, qui était le plus fort» Christophe Laporte a remporté dimanche la 85e édition de Gand-Wevelgem après un long duo de plus de 50 kilomètres avec son coéquipier Wout van Aert. Les deux hommes se sont isolés à l’avant après une accélération dans la deuxième montée du Kemmelberg. « C’était le plan de partir à ce moment », a expliqué Christophe Laporte. « Le but était d’accélérer et de continuer à creuser. J’ai souffert dans la roue de Wout qui était réellement le plus fort dimanche. Ces 50 kilomètres en duo ont été très longs et très durs, à cause du froid, notamment. Mais Wout a été incroyable. C’est pour moi une grande fierté de réaliser cela avec lui. » « La décision de me donner la victoire a été prise à dix kilomètres de l’arrivée », a poursuivi Christophe Laporte. « Wout m’a demandé si je voulais gagner. Il connaissait évidemment la réponse. Ce que nous avons réalisé ensemble, ça ne se passe presque jamais dans une carrière. Wout était le plus fort dimanche et je lui dois ma victoire. J’ai gagné une étape du Tour de France (19e en 2022), j’ai gagné une grande classique comme Wevelgem, tout cela, ce sont des rêves de gamin et j’en suis très fier. Je pense beaucoup à ma famille car ces succès sont le résultat de beaucoup de sacrifices. » Les deux coureurs de la Jumbo-Visma ont frappé un grand coup ce dimanche, sur les routes flandriennes. Par Belga Le 26/03/2023 à 17:46

Un homme et deux femmes seront jugés à partir de mardi devant la cour d’assises de Paris pour l’assassinat en 2019 d’une femme de 36 ans, épouse de l’une des accusées, sur fond de sorcellerie vaudoue.

Le grand feu de Court-Saint-Étienne, organisé par la Commune s’est déroulé samedi soir. Les conditions venteuses de l’après-midi n’ont en effet pas empêché les organisateurs de mettre le feu au bûcher composé des nombreux sapins récoltés pendant plus d’une semaine par le service des travaux après les fêtes de fin d’année.

Si la performance XXL de Lukebakio en Suède en a étonné certains, elle n’est finalement que le résultat d’une évolution plus que logique. Explications.

17:44 De financiële toezichthouder Finma overweeegt 'disciplinaire maatregelen' tegen toplui van Credit Suisse en betwist dat hij te traag of te zwak reageerde op de problemen bij de bank.

Doublé du Milo Racing au terme d’une épreuve très pluvieuse

Wout van Aert gunde Christophe Laporte zondag de zege in Gent-Wevelgem en dus mocht onze landgenoot opnieuw de zetel in na de finish.

En of het goed zit bij Jumbo-Visma. Na een masterclass gaf Wout van Aert Christophe Laporte de overwinning in Gent-Wevelgem cadeau. “Ik heb afgezien, maar het is een jongensdroom van mij om een klassieker te winnen”, vertelde de Fransman.

Na de 0-3-zege in Zweden volgt dinsdag de volgende afspraak voor de Rode Duivels. In Keulen staat een oefenwedstrijd op het programma tegen Duitsland. Thibaut Courtois zal die match alvast niet spelen. De doelman heeft een lichte verrekking in de adductor opgelopen en is uit voorzorg teruggekeerd naar Madrid. Volg de aanloop naar Duitsland-België en uiteraard het duel zelf op de voet in onderstaande liveblog.

Alors que les critiques fusent sur le rachat de la banque suisse par sa principale rivale, l’autorité de marché Finma envisage des poursuites.

Le «match de la peur» s’est transformé en cruelle défaite pour les Sang et Marine qui restent dès lors derniers du classement général…

Bij de federale gerechtelijke politie (FGP), de speurders die de zwaarste misdaden in ons land moeten oplossen, zijn nog altijd meer dan 500 manschappen tekort. Eén jaar geleden luidde de top van de Belgische justitie de alarmbel, omdat er 500 speurders op het appel ontbraken. Aan dat tekort is op een jaar tijd dus weinig tot niets veranderd.

Wout van Aert gunde Christophe Laporte zondag de zege in Gent-Wevelgem en dus mocht onze landgenoot opnieuw de zetel in na de finish.

Wout van Aert gunde Christophe Laporte zondag de zege in Gent-Wevelgem en dus mocht onze landgenoot opnieuw de zetel in na de finish.

Amerikaanse actrice Jane Fonda (58) raakte tijdens de opnames van de prent ‘Monster-in-Law’ verwond door Jennifer Lopez (53). De zangeres heeft daar echter nooit haar excuses voor aangeboden. Dat onthulde Fonda in ‘The Drew Barrymore Show’.

En cette année 2023, on commémore le centenaire de la naissance du prince Rainier III de Monaco (1923-2005).

Le prince Joachim de Danemark s’installera au cours de cet été 2023 à Washington D.C. aux États-Unis.

La semaine dernière, le prince Albert de Monaco a fait le déplacement à Newport en Irlande pour le dévoilement d’une statue de sa mère, la princesse Grace.

LIèGE 26/03 (BELGA)

Les poireaux sont des légumes appréciés depuis très longtemps, pour leur saveur mais aussi leurs vertus. Saviez-vous que Néron mangeait très régulièrement des poireaux à l’huile pour améliorer sa voix ?

Âgée de 17 ans (elle sera majeure le 31 octobre prochain), la princesse des Asturies termine son baccalauréat international à l’Atlantic College au pays de Galles où l’ont déjà précédée le roi Willem-Alexander des Pays-Bas et la princesse héritière Elisabeth de Belgique.

En of het goed zit bij Jumbo-Visma. Na een masterclass gaf Wout van Aert Christophe Laporte de overwinning in Gent-Wevelgem cadeau. “Ik heb afgezien, maar het is een jongensdroom van mij om een klassieker te winnen”, vertelde de Fransman.

En of het goed zit bij Jumbo-Visma. Na een masterclass gaf Wout van Aert Christophe Laporte de overwinning in Gent-Wevelgem cadeau. “Ik heb afgezien, maar het is een jongensdroom van mij om een klassieker te winnen”, vertelde de Fransman.

In Tessenderlo is zondag rond 13 uur een auto tegen een boom aangekomen. De 41-jarige bestuurder uit de gemeente was onwel geworden en had de controle over het stuur van zijn auto verloren. De man werd voor verzorging naar het ziekenhuis gebracht.  

La superbe maison qui a hébergé les studios de Radio Conférences dès 1936 existe toujours à Meise.

L'Ukraine a appelé dimanche à organiser une réunion urgente du Conseil de sécurité de l'ONU et exhorté les Occidentaux et la Chine à mettre fin au "chantage nucléaire" de la Russie, après l'annonce par Vladimir Poutine que Moscou allait déployer des armes nucléaires au Bélarus.

Une semaine après les trains, jetons un rapide coup d’œil aux circulations de véhicules historiques tramviaires.

Netflix diffuse une série d'animation de Priscilla Presley, qui imagine le King en agent secret.