“Sorry dat je dat moest meemaken”: Super Bowl-quarterback wordt te kijk gezet met Rihanna-grap, zangeres schiet hem al snel te hulp

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Il faudra encore attendre pour savoir quel sera le verdict pour le gain de la 2e tranche en P4E.

Toujours pas d’accord sur le budget fédéral: «La deadline est le 31 mars» Le Premier ministre Alexander De Croo (Open Vld) et la secrétaire d’Etat au Budget Alexia Bertrand. - Photo News. Il est peu probable que les négociations sur le contrôle budgétaire fédéral aboutissent à un accord dimanche soir, a-t-on appris de sources concordantes. « La deadline est le 31 mars », martelait l’une d’entre elle en début de soirée. function get_dtkCxSegments() { if ('cxSegments' in localStorage) { /* Récupération de cxSegments + initialisation de variables destinées à en limiter la longueur */ let cx = localStorage.getItem("cxSegments"), valueCx = cx.split(","), valueCxLimited = [], charLength = 0, limit = 2000; /* Limitation de la longueur de la chaine de caractère */ for (var i = 0; i < valueCx.length; i++) { charLength = charLength + valueCx[i].length; if (charLength À lire aussi Budget: l’évolution plus favorable des prix de l’énergie éponge six milliards de déficit Après une courte pause, le kern a repris ses travaux vers 19h00. Si l’ambiance est qualifiée de « studieuse », la perspective d’un accord dimanche soir ne semble pas à l’ordre du jour. À lire aussi La ministre du Budget: «Nous prenons l’avertissement de Fitch au sérieux» Le kern est au travail depuis 12h30 dimanche. Les principaux ministres du gouvernement fédéral avaient déjà discuté 9 heures durant, samedi, lors de ce deuxième week-end consacré à l’ajustement du budget 2023. Par Belga Le 26/03/2023 à 21:31

Take Five? On en prend bien plus que ça! Stéphane Mercier mélange Desmond et Colktrane sur «Take Five». - Frédéric Raevens. Un nouveau label de jazz belge ? Une folie ? « Non, répond le sax alto Stéphane Mercier. C’eût plutôt été une folie de ne pas le faire. J’ai beaucoup de matériel déjà enregistré, j’ai des tas de projets et les labels existants n’ont plus assez de moyens alors il faut attendre deux ou trois ans avant que ma musique sorte. J’ai décidé de ne plus attendre. » Ce label, c’est Step By. Qui publiera des albums à un rythme soutenu, en travaillant sur un mélange de productions belges, européennes et internationales. Premiers albums : Quantum Stéreo, avec la chanteuse londonienne Stella Angelika et des musiciens comme Nicolas Thys à la contrebasse, Jason Rebello au piano, Darren Becket aux drums et, bien sûr, Stéphane Mercier ; et Syntropy, avec Stéphane Mercier, Nicola Andrioli au piano, Nicolas Thys à la contrebasse et Dré Pallemaerts aux drums. Et, évidemment, Calling Paul Desmond, l’album d’hommage au saxophoniste qui a composé le célèbre Take Five, 182 millions d’écoute sur Spotify, pas mal pour un morceau enregistré par le Dave Brubeck Quartet en 1959. « Il y a quelques années le producteur Jean Kluger me lançait l’idée d’un album reprenant des compositions de Paul Desmond », raconte Stéphane Mercier. « Adolescent, j’écoutais ses vinyles sur le vieil ampli à lampes de mon grand-père. C’est vrai que Desmond a composé pas mal, et des œuvres diversifiées. Il joua aux côtés de Dave Brubeck, de Gerry Mulligan, de Chet Baker, de Jim Hall. Mais où trouver un label et un producteur ? C’est là que Jean Kluger m’a répondu qu’il avait envie de le produire lui-même. » S’agissait alors de s’occuper du choix des morceaux, des arrangements, d’une part pour un quartet avec piano (la période Brubeck) et de l’autre pour un quartet avec guitare (l’ère Jim Hall). Plus une composition de Jean Kluger, Take my heart, et une de Stéphane lui-même, Odd & Even for Paul, qui est sans doute une des pépites de l’album. Pour le reste, du Desmond : Take Five bien sûr, mais aussi El even Four, Wendy, Suzie, The girl from East 8th Street, Late Lament… Bannir l’agressivité sonore L’album a été enregistré en Angleterre avec des musiciens anglais : Darren Becket à la batterie, un ami proche de Stéphane, Mark Edwards au piano, Jack Gillen à la guitare et Conor Chaplin à la contrebasse. Puis mixé par Dan Lacksman dans son studio à Bruxelles. En concert en Belgique, cependant, le casting est différent : Vincent Bruyninckx au piano, Nicolas Thys à la contrebasse et Toon Van Dionant à la batterie. Pas de panique : les musiciens sont tout aussi excellents que les Britanniques. Le concert de jeudi dernier à la Jazz Station, où l’album et le label étaient lancés, l’a montré à suffisance. Stéphane souffle un son velouté et expressif, Vincent parcourt son piano avec allégresse, Nicolas raconte ses histoires et Toon impose une métrique parfaite. « Dans l’enregistrement public d’Eleven Four, on entend Dave Brubeck lancer à son quartet qu’il ne ferait pas de solo sur ce morceau », précise Stéphane Mercier. Dans ces années-là, en effet, les rythmes en cinq temps de  Take Five et en onze temps d’Eleven Four étaient inhabituels. Ce n’est plus le cas du tout aujourd’hui. D’ailleurs Brubeck lui-même a composé d’autres morceaux en cinq temps plus tard. Et dans le morceau qu’il a lui-même écrit, assez enlevé avec des accents funkys, Stéphane a alterné les mesures en sept et en quatre temps. « Take Five, c’était délicat à reprendre », explique Stéphane Mercier. « C’est un morceau tellement célèbre. Mais Jean Kluger le voulait absolument sur l’album. Alors j’ai eu l’idée de mélanger mes amours d’adolescent : Desmond et Coltrane. Ce morceau est un mix de Take Five et de My favorite things. » Ce thème reste un des musts du jazz. Un morceau des plus fascinants à écouter. Et des moins exubérants. C’est ce que recherchait en fait le cool jazz, avec Tristano, Brubeck, Mulligan et le Miles de Birth of the cool  : bannir l’agressivité sonore et tenter des arrangements beaux et sophistiqués. L’album de Stéphane Mercier vient de cette esthétique-là. Et c’est bien agréable à écouter. Stéphane Mercier n’a peur de rien. Il lance son propre label, Step By Records, et y sort son album d’hommage à Paul Desmond. Cool ! Par Jean-Claude Vantroyen Responsable des "Livres du Soir" Le 26/03/2023 à 21:31

De premier smokkelde zowel de minimumpensioenen als de fiscale hervorming in de discussie over extra begrotingsinspanningen. Het wekte stevige ergernis bij de PS en CD&V.

Dertien jaar geleden. De piepjonge Sep Vanmarcke verbaast iedereen en ook zichzelf met de tweede plaats in Gent-Wevelgem. Ook zijn derde plaats in de editie van 2023 had de inmiddels 34-jarige Vanmarcke vooraf niet verwacht.

Na de exit van Matteo Simoni bleven er nog negen Vlamingen over om de mol te ontmaskeren. Maar niet voor lang, want ook deze aflevering moesten we afscheid nemen van een kandidaat. “Ik vind het zo jammer, maar ik had wel een voorgevoel dat ik eruit zou liggen.”

Stéphane Mercier Calling Paul Desmond Step By Records Dix morceaux, et ça débute en force avec le fameux Take Five du Dave Brubeck Quartet. Et puis Paul Desmond à six autres sauces : Suzie, Desmond Blues, Eleven Four, Wendy, The girl from East 9th Street, Late Lament. Plus un Johhny Mandel, Emily, que Desmond adorait jouer, un morceau de Jean Kluger, le producteur, et une compo de Stéphane Mercier. On a là une panoplie assez parfaite de ce qu’est le cool jazz. Peu de surprises, pas d’exubérance, pas de solos insupportables. Mais des arrangements sophistiqués, des thèmes porteurs, des improvisations délicates. Cette musique est belle, veloutée mais pas mièvre, élégante mais pas sirupeuse. Trop cool ! Par Jean-Claude Vantroyen Responsable des "Livres du Soir" Le 26/03/2023 à 21:29

Jean-Luc Mélenchon a demandé dimanche le "retrait" ou une "remise à plat" de la réforme des retraites et le départ de la Première ministre Elisabeth Borne pour sortir de la crise politique provoquée par le "pur coup de force" d'Emmanuel Macron.

Elisabeth Borne a souhaité dimanche, dans un entretien à l’AFP, “mettre de l’apaisement” avec les syndicats en se disant à leur “disposition” pour les rencontrer sur d’autres chantiers que celui des retraites, contesté depuis dix semaines dans la rue.

Deze week moesten de negen overgebleven kandidaten van ‘De mol’ enkele gestolen voorwerpen terugbrengen, niet om ter snelst rijden én de toelatingsproef van de Navy SEALs doorstaan. En ook deze week moeten we afscheid nemen van een kandidaat.

La rédaction du «Soir» endeuillée Jean-Philippe de Vogelaere est décédé ce samedi 25 mars. Il avait 62 ans. - DR. Ecrivain, poète et journaliste. Dans l’ordre ou dans le désordre, pas un de ces qualificatifs ne manquait l’en-tête de ses réseaux sociaux. Parce que c’est ce qu’il était et c’est comme ça qu’il voulait avant tout qu’on le perçoive. Ce samedi 25 mars, notre collègue Jean-Philippe de Vogelaere, journaliste au service Société, est décédé à l’âge de 62 ans d’un cancer foudroyant qui l’a emporté en moins d’un mois, laissant la rédaction, ses proches et tous ceux qui l’ont côtoyé sous le choc et emplis d’une grande tristesse. Jean-Philippe ne nous en voudrait pas d’ajouter à ce qui le caractérisait, les mots « papa et compagnon attentionné » tant sa famille -sa compagne Rita et ses quatre enfants- s’invitait régulièrement dans nos discussions entre collègues où l’on percevait son implication quotidienne dans la scolarité de ses deux « petits derniers ». La famille était aussi devenue une de ses préoccupations professionnelles puisque depuis deux ans il avait repris cette compétence en intégrant le service Société du Soir. Qu’il s’agisse de parler de l’évolution du congé parental, de la garde alternée ou encore des aînés pris en charge dans les maisons de repos, Jean-Philippe trouvait dans ces matières ce qu’il a toujours recherché dans le métier de journaliste : aller au contact des gens, le plus souvent des anonymes à qui il aimait parler pour mieux retranscrire leur histoire. Dans son dernier texte, il parlait de la mort… de celle qui touche les bébés et endeuille les jeunes parents avec une infinie délicatesse. Il avait le journalisme de proximité chevillé au corps, lui qui a œuvré durant plus de 30 ans dans sa région tant aimée du Brabant wallon. Collaborateur indépendant pour la Dernière Heure-Les Sports durant 7 ans et rédacteur en chef indépendant du magazine Oh ! durant 5 ans, Jean-Philippe fut responsable des pages régionales du Brabant wallon de la DH durant 17 ans. C’est en 2009 qu’il intègre Le Soir où il devient chef d’édition du Brabant wallon. Il suivra ensuite l’évolution éditoriale de l’information régionale de notre journal en intégrant la cellule Wallonie et puis, récemment, le service Société. Personnalité éclectique Souriant, discret, Jean-Philippe s’attardait peu à la rédaction bruxelloise, préférant le cocon de sa maison brabançonne pour travailler aux côtés de ses chiens et de ses chouettes qu’il collectionnait par centaines et sous toutes les formes. Elles étaient aussi devenues les personnages principaux de ses dessins humoristiques qu’il partageait sur Instagram durant le confinement. Symboles de sagesse, peut-être apaisaient-elles un peu le bougon qu’il pouvait être parfois lorsqu’on avait le malheur de reporter un peu trop la diffusion de ses sujets ou encore d’écorcher son nom : de Vogelaere, avec un petit « d » s’il vous plaît, et en deux mots, Godverdomme ! Et oui, Jean-Philippe aimait aussi la langue de Vondel, en parfait bilingue qu’il était. Discrètement mais sûrement, ce jongleur de mots s’adonnait aussi à l’écriture non-journalistique. Poésie, romans, pièce de théâtre… rien ne lui résistait pourvu qu’il puisse évoquer la condition humaine. Son jeu verbal était tout empreint de vitalité, de jovialité, d’humour subtil. Une écriture en réalité à l’image de ses goûts musicaux éclectiques, passionné qu’il était, tout autant de jazz et de chanson française que de rock’n roll. Des artistes aussi différents qu’Eric Satie, Ludovico Einaudi, Anouar el Brahem ou Genesis avaient en commun la capacité de le rendre heureux. Les pieds sur terre mais la tête dans les étoiles, le poète pouvait se perdre dans l’immensité du ciel mais savait aussi s’attarder sur la beauté des coquelicots. Dans son dernier ouvrage, « Le livre d’Heures », il se livre avec pudeur sur une dimension sacrée de sa pensée : « Offre-moi mon âme, de vivre le jardin éternel. Car j’ai besoin de connaître ce là-bas. Pour que je puisse briller de ton éclat… ». Ce livre, il y avait mis un point final quelques jours avant de filer à l’hôpital. Comme si, au fond de lui, il savait… La rédaction du « Soir » est en deuil suite au décès de notre collègue Jean-Philippe de Vogelaere, journaliste au sein du service Société après avoir longtemps œuvré dans sa région du Brabant wallon. Par Eric Burgraff et Sandra Durieux Le 26/03/2023 à 21:28

Niemand wil als eerste kandidaat ‘De Mol’ verlaten. Vraag het maar aan acteur Matteo Simoni, die een ‘golden ticket’ kreeg om mee te mollen, maar na de openingszet al naar huis vloog. Of neem nu Samya Ouahyani, de 26-jarige advocate uit Zaventem. Wie dacht dat haar goedlachse présence een mollenstreek was, is eraan voor de moeite.

Niemand wil als eerste kandidaat ‘De Mol’ verlaten. Vraag het maar aan acteur Matteo Simoni, die een ‘golden ticket’ kreeg om mee te mollen, maar na de openingszet al naar huis vloog. Of neem nu Samya Ouahyani, de 26-jarige advocate uit Zaventem. Wie dacht dat haar goedlachse présence een mollenstreek was, is eraan voor de moeite.

De 26-jarige advocate Samya Ouahyani uit Zaventem is niet de mol. En ook geen goede mollenvanger. Als we Matteo Simoni even vergeten, die vorige week als BV mocht opdraven in het spel, is Samya de eerste ‘gewone’ kandidaat die in het elfde seizoen de rode duim te zien kreeg. Altijd een zure ervaring. Samya bleek geen meesterplan te hebben om te mollen, noch om de mol te vinden. Ze was gewoon een fijne, goedlachse kandidaat.

De 26-jarige advocate Samya Ouahyani uit Zaventem is niet de mol. En ook geen goede mollenvanger. Als we Matteo Simoni even vergeten, die vorige week als BV mocht opdraven in het spel, is Samya de eerste ‘gewone’ kandidaat die in het elfde seizoen de rode duim te zien kreeg. Altijd een zure ervaring. Samya bleek geen meesterplan te hebben om te mollen, noch om de mol te vinden. Ze was gewoon een fijne, goedlachse kandidaat.

Master en médecine à l’UMons: la ministre MR de l’Enseignement supérieur vante le sens des responsabilités du gouvernement

Zlatan Ibrahimovic kon vrijdag bij zijn invalbeurt niet schitteren tegen de Rode Duivels. De volgende opdracht voor Zweden is een thuiswedstrijd tegen Azerbeidzjan, een ‘must win game’. Maar van stress geen sprake bij de ervaren spits. Ibrahimovic kreeg zondag een cameraatje opgespeld en gaf de kijker zo inkeek in een training bij de nationale ploeg.

Melen a mené à deux reprises mais a dû se contenter d’un point lors de son déplacement en Hesbaye...

Chez Soudal-Quick Step, le code d’urgence est passé au rouge Jakobsen et l’impuissance de Soudal... - News On pourrait vous assommer avec une série de chiffres issus de procyclingstats, pour vous convaincre, si besoin, que l’équipe belge n’est plus que l’ombre d’elle-même sur cette pierre flandrienne que jamais, depuis la création du team, au début du millénaire, elle n’avait redoutée. Qu’elle taillait avec le savoir-faire de compagnons du devoir, inspirés par les Museeuw, Boonen, Terpstra, et autre Gilbert. Jakobsen impuissant Mais une image en dit parfois bien plus qu’une litanie de données statistiques : Fabio Jakobsen en chasse-patate, perdu au milieu des Flanders Fields, seul dans un effort anachronique et pourtant déjà urgent, à 70 kilomètres de Wevelgem. Jamais le champion d’Europe, flottant dans son maillot détrempé, ne parviendra à combler les quelques secondes et décamètres le séparant d’un groupe de favoris orphelin du moindre coureur Soudal. « Il a essayé de boucher le trou, en vain » regrettait le champion de Belgique Tim Merlier, inutilement protégé pour un sprint (14e et premier coureur du team). « Nous avons dû nous réorganiser pour mener la chasse mais c’était difficile. » Insurmontable, même pour des gars de la trempe d’Asgreen, Sénéchal ou Lampaert, pourtant pas des perdreaux de l’année. Comme à Harelbeke vendredi, comme c’est le cas depuis fin février au Nieuwsblad, l’équipe de Lefevere a été ultra-dominée ce dimanche, reléguée dans les coulisses d’un anonymat pesant. À une semaine du Tour des Flandres, la cote d’alerte est atteinte. « Par le passé, tout le monde frissonnait lorsque notre garde bleue s’avançait. Ce n’est plus le cas… » Lefevere constate, un brin fataliste ; Comme si la meute des loups (le fameux Wolfpack), longtemps redoutée dans les Ardennes flamandes, se dispersait face au bourdonnement menaçant d’un essaim d’abeilles (surpuissante Jumbo). « Nous avons couru après les événements », admettait le courageux Bert Van Lerberghe. Dans la réaction plus que l’action. Chez Soudal, les accents sportifs sont aujourd’hui diversifiés. Pendant que le noyau flandrien s’écrasait sur le pavé, Remco remportait la dernière étape du Tour de Catalogne (2e du classement final) et Mauro Schmid le classement final de la Coppi-Bartali. Ce qui porte le total collectif à 17 succès. Probant, certes. Mais un printemps flandrien aussi mièvre que celui de 2022 (Asgreen 23e du Ronde, Lampaert 10e  à Roubaix) serait très durement ressenti. Au-dessus des plugstreets, rendus encore plus horribles par le ruissellement boueux, le ciel ne s’est jamais éclairci. Bouché, gris, comme l’est le bilan de l’équipe Soudal-Quick Step depuis les premiers souffles venteux de la campagne flandrienne. Par Eric Clovio Le 26/03/2023 à 21:23

«Gus» nous a quittés Par ailleurs, la rédaction apprenait aussi ce dimanche le décès de Gustave Van Asbroeck, surnommé « Gus », qui fut pendant de nombreuses années employé de rédaction au Soir. Fidèle parmi les fidèles de notre journal, discret et aimable, toujours prêt à rendre service, il a perdu son combat contre la maladie. La rédaction du  Soir adresse ses sincères condoléances à sa famille. Le 26/03/2023 à 21:21

Il est peu probable que les négociations sur le contrôle budgétaire fédéral aboutissent à un accord dimanche soir, a-t-on appris de sources concordantes. "La deadline est le 31 mars", martelait l'une d'entre elle en début de soirée.

De Roemeen Radu Marian Petrescu heeft de interland tussen Luxemburg en Portugal op gang gefloten. Cristiano Ronaldo (2x), Joao Felix en Bernardo Silva zorgden voor de 0-4-tussenstand. Volg de wedstrijd in onderstaande liveblog.

Bij enkele op elkaar volgende ongevallen op de Duitse snelweg A3 zijn vier mensen om het leven gekomen. De ongevallen gebeurden bij Emmerich, vlakbij de Nederlandse grens. De drie betrokken wagens hadden Nederlandse kentekens.

Christophe Laporte après sa victoire à Gand-Wevelgem: «Wout m’a demandé si je voulais gagner…» epa10544272 France's Christophe Laporte (R) of the Jumbo Visma team wins ahead of Belgian teammate Wout Van Aert (L) the Gent-Wevelgem one day cycling race, in Wevelgem, Belgium, 26 March 2023. EPA/OLIVIER HOSLET - EPA Le carton est plein. Tellement qu’il déborde de partout et que les tonnes de Scotch qui l’entourent ne suffisent plus à le consolider. En quatre classiques pavées, Jumbo-Visma a donc triomphé à quatre reprises. Et avec Dylan van Baarle, Tiesj Benoot, Wout van Aert et, en ce crasseux dimanche à ne pas mettre une roue dehors, Christophe Laporte, avec quatre coureurs différents. Dans la deuxième ascension du Kemmel, à plus de cinquante bornes, le lauréat de l’E3 ce vendredi a placé une banderille « selon le plan établi ». Seul son équipier français a réussi à tenir la roue, montrant clairement qu’il était à la limite de la rupture. Les deux ont traversé les gouttes et fendu les rafales jusqu’à Wevelgem où Wout van Aert a offert le succès au Varois. « À une dizaine de kilomètres de l’arrivée, on a discuté. Wout m’a demandé si je voulais gagner. Il avait un énorme sourire. Je pense qu’il connaissait déjà ma réponse… », explique Christophe Laporte, emmitouflé dans un manteau d’hiver qui ne semble logiquement pas suffire après une journée détrempée. Bien loin du soleil et de l’E3 2022 où le Français s’était offert un autre solo avec son leader belge, terminant alors dans son souffle. « C’est incroyable de revivre ça. On en parlait justement vendredi en se disant que ça n’arriverait plus… Il était très fort. Le plus fort. C’est un grand champion, sur et en dehors du vélo. Bien sûr que Wout reste le grand leader. Après, il y a toujours des opportunités à saisir et c’est un avantage d’avoir d’autres coureurs qui peuvent gagner. On doit continuer à jouer avec notre force collective comme on le fait depuis le début de la saison. Je ne sais pas si ce qu’on a réalisé a marqué nos adversaires mais si je n’étais pas dans l’équipe, forcément, ça me marquerait… On a réussi tous nos objectifs mais on doit rester concentrés. Les deux plus gros arrivent ». Collectif Référence, forcément, au Ronde, dimanche prochain, puis à Paris-Roubaix. Les Monuments pavés que Wout van Aert a érigés en priorités absolues. En ce sens, il était d’ailleurs le seul des trois énormes favoris de la grand-messe flamande à faire trempette ce qui, forcément, pourrait apparaître pénalisant vu la rudesse des conditions climatiques. « J’ai hâte de prendre une douche chaude », sourit le Campinois, qui s’est imposé dans la « Cité des aviateurs » il y a deux ans. « La journée a été difficile et il va falloir s’en remettre mais j’ai une semaine avec le Ronde, je devrais pouvoir tourner la page après ces trois jours exceptionnels. J’ai déjà gagné vendredi et je pense surtout aux échéances qui arrivent. Ça n’a pas été difficile de laisser la victoire à Christophe qui est un coureur exceptionnel dans l’équipe. Sprinter contre lui aurait été bizarre. Est-ce que j’étais le meilleur dans la course ? Peut-être, oui. Mais je n’aurais pas pu le faire seul. Est-ce que je vais le regretter ? Non, je ne pense pas. Dans mon esprit, nous avons gagné ce Gand-Wevelgem ensemble. » Le Belge insiste sur l’importance du collectif et d’un Christophe Laporte encore plus prompt à prendre la balle fatale pour lui, conscient qu’il aura bien besoin de cette arme-là dans six jours face à Tadej Pogacar et Mathieu van der Poel qui ont montré, dans le dur du Vieux Quaremont sur l’E3, qu’ils évoluaient un demi-ton plus haut. « J’aborde le Tour des Flandres en bonne forme, même si rien n’a vraiment changé depuis vendredi », reprend le maillot vert sortant de la Grande Boucle. « J’ai surtout eu la confirmation de mon niveau de forme mais les deux gars qui m’ont fait mal vendredi (NDLR : Van der Poel et Pogacar, donc) n’étaient pas là. Donc, à cet égard, rien n’a changé. » Rien, peut-être pas. La confiance est en tout cas visible dans le clan batave qui pourra se permettre de multiplier les cartes et d’ouvrir la course « à la Philippe Gilbert version Ronde 2017 » alors qu’il évoluait chez Quick-Step. Car, dans les pourcentages, si puissant soit le collectif, impossible de contenir les accélérations. Wout van Aert le sait. Mais il a aussi noté qu’il était capable de basculer avec les deux ogres susmentionnés. Et de les aligner au sprint… Le Belge a offert un Gand-Wevelgem détrempé à son coéquipier français au sein d’une Jumbo-Visma qui a une nouvelle fois imposé sa force collective. 4 sur 4 sur les pavés pour le groupe néerlandais avant le Ronde. Par Sébastien Close Le 26/03/2023 à 21:16

Hades speelde met zeven spelers op het wedstrijdblad een meer dan verdienstelijke wedstrijd tegen Scherpenheuvel. In moneytime liep het echter mis - Hades moest zelfs voort met amper vier spelers tussen de lijnen - en bleef het na één verlenging met lege handen achter.

Rochefort n’est pas encore champion ! Tout simplement parce que Richelle l’a empêché de tourner en rond.

«La vie», c’est la bombe H En première partie de son concert, on découvrira sa fille, la rappeuse Liouba, sœur de la chanteuse Marcia dont on attend aussi le premier album. - YANN ORHAN. Arthur va bien ! Rien à voir avec Mort prématurée d’un chanteur populaire dans la force de l’âge, son précédent album tiré d’une pièce de théâtre. Ici, c’est pour une véritable ode à la vie que l’on retrouve en disque et sur scène le chanteur parisien de 56 ans. Arthur, c’est déjà son dix-septième album, le plus beau et le plus accessible sans doute, lui, le chanteur populaire dont l’élégance et la discrétion sont élevées au rang d’art : « Si tu fais de la chanson poétique, tu en paies le prix », nous dit-il d’emblée. « Si tu ne fais pas partie du système, on ne t’invite pas. Je suis allé deux fois chez Drucker, à l’invitation de Pierre Richard et d’Annie Cordy mais Drucker m’a zappé, j’étais transparent pour lui. » Sur La vie, somptueusement réalisé et arrangé avec sa femme Léonore Mercier et son fidèle complice Nicolas Repac (qu’on retrouvera à ses côtés sur scène), Arthur se montre plus séduisant que jamais : « L’idée au départ était de faire un album avec des couches de sons, riche en sonorités, inspiré un peu des musiques de films, avec un large spectre. C’était ça notre quête. Ceci dit, un disque c’est toujours une surprise. On a un rêve puis on se laisse porter par les chansons. L’expérience se limite à faire confiance à son intuition. C’est quelque chose de l’ordre de l’abandon. Avec Léonore et Nicolas, on a beaucoup discuté. Ma femme me disait qu’il fallait que je m’ouvre, que je sois plus clair, plus concret, plus précis. On a écrit ensemble les textes, elle m’a aidé à concentrer et ramasser mon propos. Moi j’écoute principalement des musiques instrumentales, qui sont plus proches de la pulsation intime. Mais la voix est un bel instrument aussi. La chanson est comme un minuscule opéra, c’est un art populaire, accessible. » La folie du contrôle Arthur, dans ce nouvel album, parle de la beauté de la vie et de l’océan (dans les Landes où il aime se retirer et où il a écrit ce disque) mais aussi d’un secret douloureux enduré enfant par son père ou de Brigitte Fontaine à qui il rend un très bel hommage. Il y a aussi des chansons « citoyennes » parlant de nos addictions ou du danger de cette société de la « folie du contrôle » et de la surveillance : « J’ai cette sensation désagréable que l’intimité n’est plus une valeur importante. De grandes sociétés nous surveillent et nous contrôlent de façon très insidieuse, créant une nouvelle norme dont on a bien du mal à sortir. C’est une sorte de nouveau fascisme. L’ancien était imposé, celui-ci est désiré par les gens eux-mêmes, sous forme de populisme… » Sur scène, Arthur propose un vrai spectacle qui n’a pas peur de l’improvisation : « J’aime réinventer mes chansons, les garder vivantes en les présentant dans un beau décor de théâtre, avec des accessoires. J’ai toujours aimé qu’il y ait dans mes spectacles un peu de théâtre. Le but du concert est de distendre le temps pour que, dans le meilleur des cas, le temps s’arrête. Avec un bel habit, oui. Pour moi, il faut un minimum syndical de magie. On a toujours envie d’être en expansion, d’essayer de penser grand, de remettre tout en jeu, ne fût-ce que pour l’excitation du jeu… » Arthur H sera au Cirque royal ce jeudi 30 mars. La critique de l’album « La vie » (Naïve-PIAS) a paru dans le MAD du 15 février. À lire aussi Arthur H est bien en vie!   Arthur H vient présenter son nouvel album ce jeudi 30 au Cirque royal. Par Thierry Coljon Journaliste au service Culture Le 26/03/2023 à 21:13

21:12 Au moins 25 personnes ont péri après le passage de tornades dévastatrices qui ont traversé le Mississippi, au sud des États-Unis. La région se prépare à de nouvelles intempéries.

Chênée peut pousser un grand ‘ouf’ de soulagement: le club participera au tour final cette saison en P4D mais cela s’est joué à rien!

De Israëlische eerste minister Benjamin Netanyahu heeft zondag zijn minister van Defensie Yoav Gallant uit de regering gezet. Die beslissing kwam er nadat Gallant publiekelijk had gezegd dat de regering moest wachten met een omstreden herziening van het rechtssysteem.

Il est peu probable que les négociations sur le contrôle budgétaire fédéral aboutissent à un accord dimanche soir, a-t-on appris de sources concordantes. “La deadline est le 31 mars”, martelait l’une d’entre elle en début de soirée.

De Israëlische premier Benjamin Netanyahu heeft defensieminister Yoav Gallant, meldt het kantoor van de premier. Gallant had zaterdag in een televisietoespraak gezegd dat de door Netanyahu bepleite omstreden juridische hervormingen niet moeten doorgaan. De regeringsplannen zorgen voor een verdeeldheid die leidt tot gevaar voor de veiligheid van Israël, aldus Gallant.

Ondanks een aarzelende start, pakte Limburg United B de scalp van Charleroi. Door de zege blijft United tweede in de play-down. Als er volgend weekend gewonnen wordt in Waregem, kan het via de play-in zelfs alsnog naar de play-offs.

Il est peu probable que les négociations sur le contrôle budgétaire fédéral aboutissent à un accord dimanche soir, a-t-on appris de sources concordantes. "La deadline est le 31 mars", martelait l'une d'entre elle en début de soirée.

De pruillip en terneergeslagen blik spraken voor zich. Gefrustreerd na een overdosis pech verliet Arnaud De Lie, die uitpakte met een wheelie op de Kemmelberg, Wevelgem. Gelukkig kreeg de sterke finale van Lotto-Dstny alsnog een gepaste beloning: Frederik Frison werd mooi vierde.

Bij de begrotingscontrole is het tot een clash gekomen tussen premier De Croo en PS over de minimumpensioenen. De gesprekken gaan in principe maandag verder.

Des chorales du monde entier ont joint leurs voix en chantant dimanche pour la paix en Ukraine, avec notamment 300 personnes à Madrid où l'initiative a commencé il y a un an après le début de la guerre lancée par la Russie.

Tongeren B heeft voor de vierde keer op rij verloren. Na een sterke start van Lommel B, kwam de thuisploeg wel tot twee keer terug in de wedstrijd, maar haalde telkens de voet te vroeg van het geaspedaal. Lommel B nam de punten uiteindelijk mee naar huis na een 82-100-overwinning.

L'ancien présentateur du Bigdil était l'invité de Léa Salamé samedi soir.

Favoris au titre, les Brabançons wallons ont pleinement assumé leur rang et répondu aux nombreuses attentes placées en eux.

“Lichtjes gedegradeerd”, “niet goed genoeg”, “het is wat het is”. Bij Soudal-Quick-Step wilde niemand verbloemen dat ze er andermaal niet aan te pas kwamen. Tim Merlier zat waar hij moest zitten. Voor de rest: de grote leegte. “Tja, het zijn de benen die spreken.”

“Lichtjes gedegradeerd”, “niet goed genoeg”, “het is wat het is”. Bij Soudal-Quick-Step wilde niemand verbloemen dat ze er andermaal niet aan te pas kwamen. Tim Merlier zat waar hij moest zitten. Voor de rest: de grote leegte. “Tja, het zijn de benen die spreken.”

Belle opération pour l’UCE qui s’est imposé sur le terrain de Malmedy.

Encore une journée de compétition riche en buts et en spectacle!

Op de derde speeldag van de crossborder-fase van de BNXT League heeft Filou Oostende “de Slag der Lage Landen” tegen Heroes Den Bosch met overtuigende 82-56-cijfers gewonnen. De kampioen van België was een maatje te sterk voor de titelverdediger uit Nederland.