Trossard opent zijn rekening voor Arsenal, maar de leider in de Premier League lijdt zuur puntenverlies
Gain de la deuxième tranche en P2A et P2B: les leaders de Tilff et de Flémalle sont au moins assurés du tour final
La deuxième tranche a rendu son verdict, ce dimanche, en P2A et P2B.
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Intermarché et Delhaize: un nouveau week-end sous tension
Plusieurs dizaines de supermarchés sont restés fermés, en plus d’actions ponctuelles.
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«Drache Nationale»:de la jonglerie pour conjurer la pluie
«Drache Nationale»:de la jonglerie pour conjurer la pluie Le trio se prépare à la drache. - Michiel Devijver Tout a commencé pendant le confinement, moment ô combien désespérant pour les artistes. Alors que les lieux culturels sont fermés, Gaëlle Coppée cherche de rares espaces où elle peut encore s’entraîner à jongler. C’est dans ce contexte que naît l’idée d’un spectacle qui évoquerait ces tuiles qui vous tombent sur la figure, de manière solide et imprévisible, comme une bonne vieille Drache Nationale. C’est ainsi qu’avec Tom Boccara et Denis Michiels, l’artiste se met à imaginer une pièce où s’abattraient des petits crachins ou des averses fulgurantes. « Ça peut aller du fait de se couper avec une feuille de papier ou ne pas oser danser à une boum à la mort d’un ami ou à la guerre, » nous confie la jongleuse. « Au début, il y avait cette idée d’être mouillé mais, finalement, il n’y aura pas spécialement beaucoup d’eau, » poursuit celle qui, avec sa Cie Scratch, aime décidément dérouter le public. Malgré tout, cette Drache nationale englobe une question essentielle au spectacle : Comment positiver quand c’est la merde ? Le trio, mis en scène par Bram Dobbelaere, tentera d’y répondre avec des balles, des massues blanches, des K-way, de la pluie, une reine déchue, des rêves ratés, des petites victoires, la liste des pires merdes du monde et surtout : de la jonglerie. Voilà dix ans déjà que cette compagnie belge, à géométrie variable, déploie un univers décalé, d’abord dans des spectacles de rues très performatifs et divertissants (T.N.T., Split) puis dans des propositions plus intimistes, qui ont commencé à trouver leur place aussi dans les salles de théâtre, comme Mousse . Cette pièce, entre jeu burlesque et savoir-faire circassien, leur a d’ailleurs ouvert les portes d’un solide réseau français après un passage réussi dans le Off d’Avignon. Les revoici avec une nouvelle proposition, Drache Nationale, qui peut se jouer en rue ou en salle, pour un public dès 8 ans. Y retrouvera-t-on leur patte faussement maladroite et leur style fragmenté ? « C’est vrai qu’on ne part pas d’un point A pour aller à un point B mais on tisse des situations qui se font écho et qui opèrent une transformation. Notre matière première, c’est qui on est, nous, Gaëlle, Tom et Denis. On partage nos propres émotions même si, bien sûr, comme on est sur un plateau, on peut se permettre d’exagérer, de faire tomber plus de barrières qu’on ne pourrait le faire dans la vie. On aime jouer sur la légèreté même si, on final, on traite de choses sérieuses. » Les 7 et 8/4 à la Piste aux Espoirs, Tournai. Du 23 au 30/4 à UP Circus & Performing Arts, Bruxelles. Le 2/7 au Festival au Carré, Mons. Les 19 et 20/8 au Festival de Chassepierre. Mais aussi La Louvière, Wolubilis, le C.C. d’Uccle. Par Catherine Makereel Le 26/03/2023 à 19:53
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Retour à la case départ pour Couvin-Mariembourg
Sans cinq éléments, les Fagnards n’on pu éviter la défaite dans un match à six points.
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Aménager le site de la réserve naturelle des Sept fontaines à Hannut pour réduire le risque d’inondations
La Province de Liège a décroché un subside wallon pour réduire le risque d’inondations sur Grand-Hallet grâce au site de la réserve naturelle des Sept fontaines.
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P1 | Sombre dimanche pour Beaufays, qui s’incline contre Wanze/Bas-Oha et qui perd Thibaut Turco sur blessure (VIDEOS)
Le Sporting s’inquiète surtout pour son attaquant Thibaut Turco, touché au genou et évacué du terrain en première mi-temps.
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P1 | Une défaite à Fize qui fait mal... «Maintenant, c’est fini pour Ougrée»
Victorieux face à Ougrée, Fize a sans doute fait un grand pas vers son maintien en P1 en vue de la saison prochaine.
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Proche-Orient: l’unité du gouvernement israëlien se fissure
Proche-Orient: l’unité du gouvernement israëlien se fissure Le ministre de la défense Yoav Gallant. - AFP. Yoav Gallant, inquiet de la fronde des réservistes, lui-même général de réserve, a appelé à stopper le processus législatif et d’entamer un dialogue avec l’opposition : « La sécurité d’Israël est le but de ma vie. Les menaces qui nous entourent, proches et lointaines, sont immenses. La fracture de la société pénètre au sein de l’armée et c’est un danger immédiat et tangible pour la sécurité de l’État. Je n’apporterai pas mon soutien à cela. » Ce discours grave, Yoav Gallant aurait dû le tenir jeudi dernier. Il en a été dissuadé par Benyamin Nétanyahou, qui a pris la parole à sa place, la première fois sur le projet de réforme judiciaire, en expliquant qu’il soumettrait la loi à l’adoption à la Knesset cette semaine. Au passage, il défie ouvertement la procureure générale, Gali Baharav-Miara, qui lui avait interdit de s’impliquer personnellement dans cette réforme au risque de conflit d’intérêt dans le cadre de son procès. La procureure n’a pas manqué de le rappeler à l’ordre, présage de la crise constitutionnelle à venir, si la Cour suprême venait à déclarer illégale la réforme qui modifie son propre statut. Deux autres cadres du Likoud ont rejoint Gallant : Yuli Edelstein, ancien président de la Knesset et David Bitan, critique assumé de Benyamin Netanyahou. S’ils se prononcent effectivement contre la réforme, la majorité, déjà limitée, se réduit à 61 députés – sur les 120 que compte la Knesset. Le Premier Ministre fait son possible pour colmater la brèche. « Si jamais la loi n’est pas votée, c’est un grave problème pour Bibi. Et le discours de Gallant est déjà un coup dur. Il y a des gens au Likoud qui en ont marre d’être les béni-oui-oui de Nétanyahou », cingle Fernand Cohen-Tannoudji, cadre du parti. Nir Barkat, l’ancien maire de Jérusalem, richissime et proche des milieux d’affaires, pourrait basculer. La forteresse tient encore, mais tremble sur ses bases. Coup de théâtre samedi soir. Yoav Gallant, le ministre de la Défense, a ouvert une brèche dans la forteresse du Likoud – qui annonce peut-être une ouverture plus large, voire de la chute du Premier Ministre, du gouvernement, ou du premier parti d’Israël. Par Samuel Forey Le 26/03/2023 à 19:45
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Luc Libert après la défaite de Jette à Ganshoren : “Je n’ai rien à reprocher aux joueurs”
Malgré la défaite, l’entraîneur Jettois Luc Libert a vu de l’envie de la part de son noyau. Le plus important pour la suite selon lui.
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Kamala Harris est arrivée au Ghana, première étape de sa tournée africaine
La vice-présidente américaine Kamala Harris est arrivée dimanche au Ghana, première étape de sa tournée dans trois pays d'Afrique qui vise à renforcer les liens diplomatiques de Washington avec le continent.
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L’Ukraine veut une réunion de l'ONU pour mettre fin au “chantage nucléaire” de la Russie
L’Ukraine a réclamé dimanche une réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU pour contrer le “chantage nucléaire” de la Russie, après l’annonce par Vladimir Poutine que Moscou allait déployer des armes nucléaires au Bélarus.
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Manage mange son pain noir
Nouvelle défaite pour les jeunes Verriers qui poursuivent leur dur apprentissage.
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Flénu l’emporte à Péruwelz (0-1) et prend rendez-vous pour le tour final
Les hommes de Philippe Venturoso se rapprochent même de la deuxième place dans cette P1.
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Hockey: l’Orée veut déjà préparer la saison prochaine
Hockey: l’Orée veut déjà préparer la saison prochaine Oui, il y a de la qualité dans le noyau de l’Orée (ici avec Luca Masso, en bleu marine), mais cela n’a pas ramené suffisamment de points. - VIRGINIE LEFOUR/BELGA. Comme à de nombreuses reprises depuis l’entame de la saison, les regrets étaient nombreux à l’issue de la défaite face au Léopold. Une rencontre plus équilibrée sur papier que ce que laisse entrevoir le score final (2-4) face aux leaders incontestés de la Division d’honneur. Un cinquième revers pour l’Orée, qui a mis en évidence les mêmes faiblesses que lors des deux dernières semaines. « Nous méritions plus face au Léo », expliquait d’ailleurs le capitaine Philippe Simar, les traits tirés. « Nous avons montré un bon visage et le score est forcé avec trois buts encaissés sur des contre-attaques évitables. Nous n’avons malheureusement plus grand-chose à jouer lors de six dernières rencontres, même s’il ne faudra tout de même plus gaspiller trop de points en chemin, surtout face à des équipes dites “plus faibles” sur papier comme l’Old Club, le Daring ou Uccle Sport, toujours concernés par le maintien. Il faudra remporter ces rencontres sinon nous risquons à nouveau de nous faire peur. » Peu épargné par les blessures depuis l’été dernier, l’Orée a souvent dû composer pour aligner une équipe compétitive. Mais c’est surtout la fin du premier tour qui reste en travers de la gorge des Bruxellois et de leur capitaine. « Ce qui nous a fait très mal, ce sont surtout les trois derniers matchs du premier tour que nous avons disputés sans notre international argentin, Tomi Domene, avec un désastreux 0 sur 29 sur penalty. Cela jouait bien, mais nous ne sommes pas parvenus à remporter ces duels. Si on nous rajoutait ces neuf points, la situation actuelle serait tout autre. Sans compter nos derniers matchs contre les grosses équipes comme le Dragons, la Gantoise ou le Waterloo Ducks, où nous aurions mérité de récolter bien plus d’unités. Nous possédons réellement une équipe pour disputer le top 4, mais nous sommes aujourd’hui loin du compte. Et c’est réellement très frustrant ! » Mais comme il n’est de toute manière pas possible de revenir en arrière, l’Orée veut déjà se projeter vers la saison prochaine. Si le club parvient à conserver en grande partie son noyau, il pourrait revendiquer bien plus que sa huitième place actuelle, comme le souligne Philippe Simar. « Nos statistiques au niveau des entrées de cercle sont extrêmement bonnes et souvent supérieures à celles de nos adversaires, mais on ne marque pas de buts et, plus grave encore, nous n’avons pas suffisamment d’occasions réellement dangereuses. Il faut donc impérativement travailler à ce niveau-là et trouver la manière de faire les bons choix quand nous sommes face au but. Nous devons changer cette image que nous collent nos adversaires quand ils parlent de l’Orée. » Le pic de forme en avril pour le Léopold Du côté des joueurs ucclois, on se réjouissait évidemment de ce nouveau succès, le quatorzième de la saison. Ils occupent toujours la tête du championnat devant le Dragons, la Gantoise et le Racing, et même s’ils n’évoluent toujours pas à leur meilleur niveau, ils ont prévu d’atteindre leur pic de forme d’ici quelques semaines au moment d’entamer les playoffs. « Je reconnais qu’il y a encore trop de hauts et de bas dans nos prestations pour le moment », souligne le défenseur Elliott Van Strydonck. « Nous devons faire preuve de plus de constance durant septante minutes. Mais dès que nous mettons du tempo, cela fonctionne et nous marquons des buts. Mais nous possédons une équipe tellement offensive que nous encaissons parfois des goals évitables. Nous devons plus penser à la structure défensive quand nous sommes à la balle. Nous voulons monter en puissance au fil des semaines pour être prêts pour la mi-avril et le mois de mai. Nous essayons de peaufiner certains aspects chaque semaine pour être réellement prêts au moment où les choses sérieuses vont débuter. Mais je reconnais que nous encaissons un peu trop de buts depuis la reprise. Même si nous en marquons nettement plus que nos adversaires chaque dimanche. C’est donc un détail à corriger absolument pour le futur. » Les cinq dernières journées vont donc permettre à l’Orée et au Léopold de travailler spécifiquement avec des objectifs toutefois forts différents. Mais pour les deux équipes, il sera tout de même capital d’engranger un maximum de points lors de ces rencontres pour éviter de se mettre en difficulté et d’éprouver certains regrets au moment du décompte final. Les Bruxellois n’ont normalement plus rien à gagner ou à perdre en cette fin de championnat. Le groupe est frustré car il possédait certainement des qualités pour se mêler à la lutte pour une place dans le dernier carré. Par LAURENT TOUSSAINT Le 26/03/2023 à 19:31
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Derby victorieux pour Ganshoren face à Jette
Ganshoren réussit son premier test post-ère Michel Delph en remportant le derby contre Jette.
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Tennis de table : Adrien Rassenfosse s’offre un premier titre national !
Le Pepin de 19 ans a battu le Thimistérien Florient Lambiet, 27 ans, lors d’une finale 100 % liégeoise à Knokke…
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Coupe de France de VTT à Marseille : Emeline Detilleux 4e et Pierre De Froidmont 6e
Beaux résultats d’ensemble pour les Belges engagés sur cette épreuve relevée classé Hors catégorie à l’UCI.
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Valérie Glatigny sur la crise en FWB: «Il n’y aura plus de petit deal en dessous de la table»
Valérie Glatigny sur la crise en FWB: «Il n’y aura plus de petit deal en dessous de la table» «Ne comptez pas sur moi pour raconter que j’ai gagné. Pour moi, la politique, c’est l’art du compromis.» - Pierre-Yves Thienpont. Lorsqu’elle est passée, en 2019, de l’ombre des institutions européennes à la lumière du gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Valérie Glatigny ne s’attendait certainement pas à être quatre ans plus tard au cœur d’une crise politique majeure entre francophones. Ou encore d’une partie d’échec entre présidents de parti à l’ego surdimensionné. Elle revient sur les leçons de la crise. Qu’est-ce qui a permis, ce week-end, de dégager une solution ? Nous avons réussi à mettre les menaces de côté, menaces qui avaient eu pour effet de retarder la solution puisqu’elles ont provoqué un report du point au gouvernement. Ce fut un dossier extrêmement difficile : il dit la difficulté de changer des réflexes politiques assez anciens qui visent à privilégier un territoire plutôt qu’un autre. Or, en tant que ministre de l’Enseignement supérieur, je voulais montrer que je suis ministre pour toute la Fédération Wallonie-Bruxelles et pas pour une province plutôt qu’une autre. Bref, les menaces mises de côté, nous avons retrouvé une cohésion gouvernementale, avec des partenaires constructifs. Si d’autres dossiers non prévus dans la déclaration de politique communautaire – c’était le cas de celui-ci – devaient arriver, nous avons convenu d’en débattre d’abord au gouvernement. Donc à ne pas s’exprimer publiquement avant cette étape ? C’est ce qu’on m’a reproché. Vous devez cependant savoir que dans le dossier du master en médecine à l’Umons, j’ai reçu des pressions de toutes parts dès les premiers jours de mon mandat. Dois-je aussi rappeler que l’université de Mons a lancé un communiqué de presse en décembre, avant même que les demandes d’habilitations ne soient déposées sur ma table. Les pressions sont anciennes. Tout le monde savait qu’un tel dossier ne pouvait pas être géré sans tension. Vous parlez de vieux réflexes sous-localistes, mais la solution donne un peu raison à ceux qui les pratiquent non ? Oui et non. Je pense que tous les arguments que j’avais soulevés pour m’opposer ont été rencontrés. Je refusais le surfinancement de ces étudiants à Mons. Il n’y a plus de surfinancement. On a réglé la question de l’hôpital universitaire : l’habilitation sera retirée s’il devait y avoir un projet en la matière. J’avais des doutes sur l’argument de réduction de la pénurie. Or, l’exemple de Namur et Liège est parlant : Namur n’a pas de master mais la situation y est plus favorable qu’à Liège qui a un master. Je continue de penser qu’il n’y a pas forcément de lien entre l’endroit où tu étudies et l’endroit où tu t’installes. Une étude sera menée dans 5 ans pour objectiver l’effet du master à ce sujet. De façon plus générale, nous avons désormais une révision du système des invitations pour arrêter cette course à l’étudiant : une ouverture devra donner lieu à une fermeture, absence de financement les trois premières années pour responsabiliser les établissements, moratoire de deux ans… On va régler sur le long terme le problème d’un système vicié où les établissements sont poussés à demander sans cesse de nouvelles habilitations pour attirer les étudiants et donc ils se font une concurrence stérile. Qui a gagné ? Ne comptez pas sur moi pour raconter que j’ai gagné. Pour moi, la politique, c’est l’art du compromis. Et un compromis, ce n’est ni une compromission ni de l’entêtement. Ça demande du courage et je pense qu’on a réussi à faire preuve de courage. Nous avons des conditions très strictes qui encadrent le master et nous avons une réforme complète du système d’habilitation ; cela contribue une bonne gestion des impôts des citoyens. Comprenez-vous la dramatisation dans laquelle on est allé avec ce dossier ? C’est un dossier qui dit beaucoup sur les vieux réflexes politiques qui visent à privilégier un territoire plutôt qu’un autre. Mais je ne me sens pas diminuée parce que j’ai fait un compromis. Est ce que le gouvernement est apaisé aujourd’hui ? Oui. Vous savez, on a dû gérer des dossiers beaucoup plus compliqués : le deal sur les numéros Inami qui a permis de diplômer 250 médecins en plus, la refonte du décret paysage, le refinancement de l’enseignement supérieur, la fusion UCLouvain/Saint-Louis. A chaque fois, on a eu des partenaires avec lesquels on pouvait discuter. Ce fut finalement le cas ici aussi. Par ailleurs, n’oublions pas qu’on a réussi à mettre sur le devant de la scène de vraies solutions à de vrais problèmes, comme celui de la pénurie de médecins ou la manière de concevoir l’ouverture de nouvelles formations aussi. Ce sont désormais des sujets publics. Il n’y aura plus de petit deal en dessous de la table. Ça ne veut pas dire que ça se fait dans la facilité, ni qu’il n’y ait pas de pression très importante sur moi ces derniers jours mais je pense que ça n’a pas été vain. Vrai débat sur la manière d’aborder la pénurie, révision en profondeur du système des habilitations, dénonciation du sous-localisme… Valérie Glatigny tire les leçons de la crise. 1 Par Eric Burgraff Chef du service Société Le 26/03/2023 à 19:20
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Valérie Glatigny sur la crise en Fédération Wallonie-Bruxelles: «Il n’y aura plus de petit deal en dessous de la table»
Valérie Glatigny sur la crise en Fédération Wallonie-Bruxelles: «Il n’y aura plus de petit deal en dessous de la table» «Ne comptez pas sur moi pour raconter que j’ai gagné. Pour moi, la politique, c’est l’art du compromis.» - Pierre-Yves Thienpont. Lorsqu’elle est passée, en 2019, de l’ombre des institutions européennes à la lumière du gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Valérie Glatigny ne s’attendait certainement pas à être, quatre ans plus tard, au cœur d’une crise politique majeure entre francophones. Voire au centre d’une partie d’échec entre présidents de partis à l’ego surdimensionné. Elle revient sur les leçons de la crise. Qu’est-ce qui a permis, ce week-end, de dégager une solution ? Nous avons réussi à mettre les menaces de côté, menaces qui avaient juste eu pour effet de retarder la solution puisqu’elles ont provoqué un report du point au gouvernement. Ce fut un dossier extrêmement difficile : il dit la difficulté de changer des réflexes politiques assez anciens qui visent à privilégier un territoire plutôt qu’un autre. Or, en tant que ministre de l’Enseignement supérieur, je voulais montrer que je suis ministre pour toute la Fédération Wallonie-Bruxelles et pas pour une province plutôt qu’une autre. Bref, les menaces mises de côté, nous avons retrouvé une cohésion gouvernementale, avec des partenaires constructifs. Si d’autres dossiers non prévus dans la déclaration de politique communautaire – c’était le cas de celui-ci – devaient arriver, nous avons convenu d’en débattre d’abord au gouvernement. Donc à ne pas s’exprimer publiquement avant cette étape ? C’est ce qu’on m’a reproché. Vous devez cependant savoir que dans le dossier du master en médecine à l’Umons, j’ai reçu des pressions de toutes parts dès les premiers jours de mon mandat. Dois-je aussi rappeler que l’université de Mons a lancé un communiqué de presse en décembre, avant même que les demandes d’habilitations ne soient déposées sur ma table. Les pressions sont anciennes. Tout le monde savait qu’un tel dossier ne pouvait pas être géré sans tension. Vous évoquez des réflexes sous-localistes, mais la solution donne un peu raison à ceux qui les pratiquent non ? Oui et non. Je pense que tous les arguments que j’avais soulevés ont été rencontrés. Je refusais le surfinancement de ces étudiants à Mons au détriment d’autres : il n’y aura pas de surfinancement. On a réglé la question de l’hôpital universitaire : l’habilitation sera retirée s’il devait y avoir un projet en la matière. J’avais des doutes sur l’argument de réduction de la pénurie, or l’exemple de Namur et Liège est parlant : Namur n’a pas de master mais la situation y est plus favorable qu’à Liège qui a un master. Je continue de penser qu’il n’y a pas forcément de lien entre l’endroit où on étudie et l’endroit où on s’installe. Une étude sera menée dans 5 ans pour objectiver l’effet du master à ce sujet. De façon plus générale, nous avons désormais une révision du système des habilitations pour arrêter cette course à l’étudiant : une ouverture devra donner lieu à une fermeture, absence de financement les trois premières années pour responsabiliser les établissements, moratoire de deux ans… De plus, on va régler sur le long terme ce système vicié où les établissements sont poussés à demander sans cesse de nouvelles habilitations pour attirer les étudiants et donc ils se font une concurrence stérile. Qui a gagné ? Ne comptez pas sur moi pour raconter que j’ai gagné. Pour moi, la politique, c’est l’art du compromis. Et un compromis, ce n’est ni une compromission ni de l’entêtement. Ça demande du courage et je pense qu’on a réussi à faire preuve de courage. Nous avons des conditions très strictes qui encadrent le master et nous avons une réforme complète du système d’habilitation ; cela contribue une bonne gestion des impôts des citoyens. Comprenez-vous la dramatisation dans laquelle on est allé avec ce dossier ? C’est un dossier qui dit beaucoup sur les vieux réflexes politiques qui visent à privilégier un territoire plutôt qu’un autre. Mais je ne me sens pas diminuée parce que j’ai fait un compromis. Est ce que le gouvernement est apaisé aujourd’hui ? Oui. Vous savez, on a dû gérer des sujets beaucoup plus compliqués : le deal sur les numéros Inami qui a permis de diplômer 250 médecins en plus, la refonte du décret paysage, le refinancement de l’enseignement supérieur, la fusion UCLouvain/Saint-Louis. A chaque fois, on a eu des partenaires avec lesquels on pouvait discuter. Ce fut finalement le cas ici aussi. Par ailleurs, n’oublions pas qu’on a réussi à mettre de vrais problèmes sur le devant de la scène comme celui de la pénurie de médecins ou la manière d’organiser l’ouverture de nouvelles formations. Désormais, il n’y aura plus de petit deal en dessous de la table. Ça ne veut pas dire que ça se fait dans la facilité, ni qu’il n’y ait eu pas de pression très importante sur moi ces derniers jours mais je pense que ça n’a pas été vain. Vrai débat sur la manière d’aborder la pénurie, révision en profondeur du système des habilitations, dénonciation du sous-localisme… La ministre de l’Enseignement supérieur tire les leçons de la crise. 3 Par Eric Burgraff Chef du service Société Le 26/03/2023 à 19:20
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N1 | Le RFC Liège a fait étalage de ses plus belles vertus contre Gand B (4-1)
Sans sourciller, le matricule 4 a parfaitement rempli sa mission en l’emportant contre Gand B (4-1). Un succès incontestable et frappé des valeurs des grandes équipes…
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P2B | Blegny manque l’occasion de s’assurer le tour final en partageant contre Minerois (Vidéos)
Blegny pouvait se qualifier pour le tour final contre Minerois. Mais avec ce partage et celui de Saive à Tilleur, c’est Tilff, victorieux d’Aubel B, qui gagne la 2e tranche à la moyenne pondérée.
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Guerre en Ukraine: l'UE menace le Bélarus de nouvelles sanctions
Le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell a averti dimanche que l'UE était "prête" à adopter de nouvelles sanctions contre le Bélarus si ce pays déployait des armes nucléaires russes sur son territoire.
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Deux masters en médecine, à Mons et à Namur, et une sortie de crise pour la Communauté française
Deux masters en médecine, à Mons et à Namur, et une sortie de crise pour la Communauté française D.R. La nouvelle est tombée ce samedi, aux alentours de 20h, après des semaines de guerre ouverte entre les partis de la majorité gouvernementale PS-MR-Ecolo et de négociations, en coulisses cette fois, avec les ministres de cette même majorité. Résultat des courses, il y aura bien deux nouveaux masters en médecine sur le territoire de la Communauté française. L’un à l’Université de Mons. L’autre, en médecine générale, à l’Université de Namur. « Tout ça pour ça », diront certains. Oui et non… L’accord, qui octroie par la même occasion 55 autres habilitations, est bien assorti de limites très strictes. Financières, d’abord. L’Université de Mons ne pourra pas bénéficier d’un surfinancement pour la création d’un master en médecine. Ce sont les 450.000 euros de surcoût sur trois ans mentionnés par le MR. Les étudiants seront donc financés à 85 %, et non à 100 % comme pour les universités de taille moyenne. « Nous nous y attendions totalement, c’était déjà le fruit d’une réflexion que nous avions eue », assure Philippe Dubois, recteur de l’UMons et force vive dans ce dossier. « Nous allons recevoir des soutiens du monde industriel et privé, dont le montant s’élève à 150.000 euros par an. » A l’UNamur, où il sera question d’un master de spécialisation en médecine générale et non d’un master classique, la question financière est moins prégnante. « Pour les masters de spécialisation, nous ne sommes financés que deux ans par la Fédération Wallonie-Bruxelles au lieu de trois, donc on sait bien que l’université va devoir mettre de sa poche », fait savoir Pierre Gardin, doyen de la faculté de médecine. À lire aussi L’UNamur met un coup de pression pour obtenir son habilitation en médecine Autre restriction applicable aux établissements : l’évaluation des deux masters susmentionnés, et de leur plus-value, au bout de cinq années d’existence. Une étude indépendante sera chargée d’analyser l’existence d’un lien entre la création d’un master et l’installation de médecins généralistes en zone en pénurie. Autrement dit, le principal objectif à la création de ces deux masters. « Je trouve ça plutôt sain », indique Philippe Dubois. « J’aurais évidemment préféré que le délai soit plus long pour achever un cycle complet, mais il s’agit certainement d’un compromis politique », ajoute de son côté Pierre Gardin. Enfin, l’UMons aura l’interdiction formelle de solliciter l’ouverture d’un hôpital universitaire (qui coûterait 3 à 4 millions d’euros par an à la FWB). En cas de rupture de contrat, la formation sera directement interrompue. « Il serait d’ailleurs suicidaire de notre part de créer un hôpital universitaire et de mettre à mal notre partenariat avec l’ULB », confesse le recteur montois. « On s’attendait dès le départ à ces mesures restrictives. » La fin d’une séquence politique Reste que toute cette séquence politique laisse un goût amer. Politiquement, il faudra de nouveau recoller les morceaux après le coup de force de Georges-Louis Bouchez, esseulé, qui a voulu passer en force sans tenir compte de l’avis de ses partenaires de majorité, et celui de Paul Magnette qui, ulcéré sur le fond et la forme, a fait de ce dossier finalement banal dans une législature un casus belli, menaçant le MR de trouver une majorité alternative. Sans le sang-froid du gouvernement de la Communauté française qui a repris la main, faisant fi des oukases présidentiels, le dossier patinerait encore. « On a perdu du temps, car un accord similaire était déjà sur la table il y a 15 jours », dit-on d’un côté. « La réalité est plus nuancée : cela fait des semaines qu’on négocie dans ce dossier, et sans les sorties présidentielles, tout aurait été plus vite », dit-on de l’autre. À lire aussi Médecine à l’UMons: pourquoi Magnette a joué l’épreuve de force contre Bouchez Pour éviter que la prochaine pomme de discorde ne tourne en mélodrame, les présidents de parti ont passé un pacte : s’en tenir aux accords de gouvernement, discuter entre partenaires de majorité dans le cas d’un dossier qui se situerait hors-accord de gouvernement, et éviter de brandir la menace d’une majorité alternative. A voir si la trêve tiendra, chaque parti avançant déjà ses arguments pour montrer qu’il sort gagnant de la séquence. « Or, dans chaque compromis, on gagne un peu et on perd un peu », lâche une source proche du dossier. Car, si le MR a dû observer une courbe rentrante quant à l’existence d’un master à Mons et à Namur, il a réussi à imposer l’interdiction de surfinancement et celle de solliciter l’ouverture d’un hôpital universitaire. Quant aux socialistes, ils peuvent se targuer d’avoir obtenu ce qu’ils désiraient (le master à Mons), mais au prix d’une menace dont ils ne sortent pas grandis, et d’ajustements qui encadrent bien mieux la création de ces masters. Un calendrier bouleversé ? Pour les universités, l’heure est aux réjouissances, malgré le tournant brûlant et inattendu qu’aura pris un dossier, à première vue, minoritaire. « Tout le monde s’y retrouve et je m’en réjouis », résume Philippe Dubois. Lui qui s’était pourtant livré avec le président du MR (également membre du CA de l’UMons) à une véritable passe d’armes, allant jusqu’à réclamer sa démission du CA. « Que ça soit très clair », nous dit-il : « je n’ai jamais eu aucun conflit interpersonnel ni avec le président du MR, ni avec la ministre Glatigny. J’ai constaté un désaccord sur ce dossier, je constate que l’on a trouvé un accord. C’est tout ce que je retiendrai. » À lire aussi A l’UMons, le recteur veut la démission de Georges-Louis Bouchez Alors que l’UMons maintiendra l’ouverture de son master à la rentrée 2024-2025, comme initialement prévu, l’UNamur pourrait bien voir son calendrier bouleversé. Le doyen Pierre Gardin se dit déçu à l’égard du monde politique qui a, lui semble-t-il, « instrumentalisé un dossier purement technique ». L’Université de Namur avait prévu d’ouvrir son master de spécialisation à la rentrée 2023-2024. Désormais, elle ne souhaite plus avancer de timing : « Il y a déjà bien longtemps que l’on aurait dû recevoir cette réponse. Notre calendrier a été bouleversé par cette tempête politique. Je suis convaincu que sans le master de l’UMons, le nôtre aurait déjà été accordé. On n’a pas arrêté de faire un amalgame entre nos demandes. » Afin de prévenir d’un nouvel imbroglio, l’accord de majorité prévoit de réformer le fonctionnement du système des habilitations. Jusqu’à la fin de la législature, aucune nouvelle offre de formation ne sera accordée. Après ça, toute nouvelle habilitation devra s’organiser sans financement pendant trois ans de façon, dit-on, à responsabiliser les établissements. Suite et, très certainement, fin du dossier des masters en médecine. Le gouvernement a tranché : l’UMons aura son master… sous certaines conditions. Au sein des partis de la majorité, chacun célèbre la victoire face à son adversaire. Par Charlotte Hutin et Stéphane Vande Velde Le 26/03/2023 à 19:16
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Aische s’impose à Manage et continue à y croire
Victoire indiscutable mais laborieuse pour des Aischois qui prennent la 4e place du général.
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Begrotingscontrole loopt vast op minimumpensioenen
19:14 De federale regering raakt dit weekend niet rond met de begrotingscontrole. Een nieuwe poging van de premier om de laatste verhoging van het minimumpensioen te schrappen, stoot voorspelbaar op een lin...
www.tijd.be
Masters en médecine : bon sens ou capitulation ?
La saga a trouvé son épilogue : il y aura bien deux nouveaux masters en médecine, à Mons et à Namur. La perspective d'une chute des éxécutifs francophones est écartée.
www.dhnet.be
Un an après le scandale, Kinder a perdu la confiance de certains consommateurs: «Un client sur 5 n’est pas revenu»
Il y a près d’un an, un scandale alimentaire frappait les œufs Kinder. S’ils ont aujourd’hui repris leur place habituelle dans les rayons, ils semblent avoir perdu un peu de la confiance des consommateurs, selon les supermarchés.
Sudinfo.be
Quatre morts dans un dramatique accident impliquant trois Porsche sur l’autoroute A3
Un dramatique accident de la route a coûté la vie à 4 personnes sur l’autoroute A3, non loin de la frontière avec les Pays-Bas.
Sudinfo.be
Beelden opgedoken van incident met 3-jarig kind in show Theo Maassen: “Wat een idee”
Comedian Theo Maassen keek vrijdagavond vreemd op toen hij merkte dat een driejarige met haar begeleider zijn show bijwoonde in de Arenbergschouwburg in Antwerpen. De Nederlander verzocht hen al snel de zaal te verlaten. Van het incident zijn nu ook beelden opgedoken.
www.nieuwsblad.be
Gain de la deuxième tranche en P3B et P3C: Ans-Montegnée émerge, sans surprise, alors que le Croatia Wandre l’emporte à la différence de buts!
Ce week-end était synonyme de journée d’alignement dans les séries provinciales liégeoises, une journée particulièrement importante car elle allait décider du gagnant de la deuxième tranche.
Lameuse.be
Plusieurs centaines de personnes dans les rues de Bruxelles en faveur du droit au logement
Des centaines de personnes ont défilé dimanche après-midi à Bruxelles, depuis la station Comte de Flandre à la place du Jeu de Balle, pour manifester en faveur du droit au logement, dans le cadre du "Housing Action Day" partout en Europe.
www.dhnet.be
Voici pourquoi vous devriez mettre une éponge de cuisine dans votre machine à laver
Vous avez sans doute des petites éponges à vaisselle dans votre cuisine. Mais saviez-vous que vous pouvez les utiliser autrement?
Sudinfo.be
Tertre a eu chaud mais a battu Couvin : “On a affiché une excellente mentalité”
L’USGTH a remporté trois points importants au terme d’un match spectaculaire.
www.dhnet.be
Intermarché et Delhaize: un nouveau week-end sous tension
Plusieurs dizaines de supermarchés sont restés fermés, en plus d’actions ponctuelles.
www.dhnet.be
“Mama stuurde mij nog een bericht. Nu blijkt dat iemand anders het heeft gestuurd”: Kevin (38) getuigt voor het eerst nadat zijn moeder Marleen (64) dood werd teruggevonden
Sinds vrijdag staat de wereld van Kevin Liekens (38) uit Leuven stil. Toen kwam de politie het nieuws brengen dat zijn mama, Marleen V.L. (64), dinsdag vermoord is teruggevonden in het grensdorp Koewacht. Een dertiger werd opgepakt. Maar wie die verdachte is en waarom Marleen dood moest, blijft voor haar zoon een raadsel. Kevin doet bij HLN voor het eerst zijn verhaal: “Ik dacht dat ze de hele tijd gewoon aan de kust zat.”
HLN.be
Italië legt Duits reddingsschip aan ketting
De Italiaanse autoriteiten hebben het Duitse reddingsschip Louise Michel in de haven van Lampedusa tijdelijk aan de ketting gelegd. Dat gebeurde nadat de bemanning 180 migranten aan land had gebracht bij vier reddingsmissies op de Middellandse Zee.
HLN.be
Brussel behoudt kredietrating AA- met negatieve vooruitzichten
18:53 Kredietbeoordelaar Standard & Poor's (S&P) waarschuwt voor een snelle stijging van de schuld van het Brussels Gewest. Maar hij verwijst ook naar de belofte om het begrotingstekort vanaf 2024 te vermin...
www.tijd.be
P1 | Réduit à 10, Sprimont ne pouvait rien face à Aubel... «La saison devient longue» (Vidéos)
Rapidement réduit à dix alors que le marquoir affichait déjà le score de 0-1, Sprimont B n’a jamais été en mesure d’inquiéter un Aubel maître de son sujet d’un bout à l’autre d’un match désormais synonyme de maintien.
Lameuse.be
Elio Di Rupo rencontre des jeunes d’un bidonville de Johannesburg
Elio Di Rupo rencontre des jeunes d’un bidonville de Johannesburg Naomi Mbayu, mentor bénévole de Sizanani depuis 2014 avec Thuli, étudiante faisant partie du programme. Ce que je n’avais pas réalisé au départ, c’est que j’ai autant appris de ces jeunes que je ne les ai guidés dans leur parcours », confie Naomi Mbayu, l’une des 117 mentors bénévoles du programme « Sizanani » (« Aidons-nous les uns les autres » en zoulou), financé par la Région wallonne, à hauteur de 25.000 euros par an. Née à Bruxelles d’une famille congolaise, Mbayu travaille pour une grande banque sud-africaine à Johannesburg. Depuis 2014, elle a « mentoré » cinq jeunes du programme, tous élèves du secondaire dans le township d’Alexandra, l’un des plus pauvres de la capitale économique du pays. Les mentors organisent des sorties avec eux et les aident à choisir des études supérieures. Souvent, ils sont les premiers de leur famille à aller à l’université. « Quand j’ai rencontré Naomi, en classe de quatrième, j’étais très introvertie, explique Thuli, qui étudie les métiers du spectacle. Elle m’a insufflé beaucoup de confiance en moi et m’a toujours soutenue ». Une centaine de bourses La Région wallonne est le principal sponsor financier de Sizanani, qui organise aussi des visites d’entreprise, une foire aux métiers, des ateliers d’aide émotionnelle et même des cours de français. Depuis 2014, une centaine d’étudiants ont reçu une bourse de Wallonie Bruxelles International, puis de la Région wallonne. Une aide cruciale pour ces jeunes vivant dans l’un des pays les plus inégalitaires au monde, qui compte 42 % de chômeurs chez les 25 à 34 ans. Le spectacle a eu lieu à l’école privée Saint Mary’s, la plus ancienne école de filles de Johannesburg, qui offre des cours de soutien scolaire chaque samedi à ces élèves. « C’était très émouvant. Et je pense que même avec une petite contribution, c’est important que mon pays puisse financer ce type de projets », a affirmé Di Rupo, tout en soulignant l’importance de l’éducation « pour ne pas être objet mais devenir acteur et actrice » du monde. Il a aussi assisté à la signature d’un accord de partenariat entre la Chambre belge de commerce en Afrique du Sud et l’association Sizanani, pour guider des jeunes du programme qui se lancent dans l’entreprenariat. Le ministre-président de Wallonie a assisté, vendredi 24 mars, à un spectacle de danse et chant organisé par des adolescents bénéficiaires du programme de mentorat « Sizanani ». Par Gabriele Porrometo Le 26/03/2023 à 18:52
www.lesoir.be
Toch opnieuw kamperen: ouders staan twee dagen voor de schoolpoort om plekje te garanderen in bijzonder secundair onderwijs
Karen Devleeschhouwer (40) staat al sinds zaterdagochtend te wachten. Op zoek naar een plek voor haar zoontje van 12, die van de lagere naar de secundaire school gaat. Twee weken geleden kregen de ouders een telefoontje van de school: digitaal inschrijven, een coronamaatregel, kan niet meer. Kamperen dus. Alweer. “We hebben geen plan B.”
HLN.be
Balade sous la pluie pour Liège
Gand n’a jamais inquiété le RFCL, rapidement en supériorité numérique.
www.dhnet.be