Voici comment encore obtenir un ticket pour Beyoncé à Bruxelles

Voici comment encore obtenir un ticket pour Beyoncé à Bruxelles

Le 14 mai prochain, Beyoncé foulera le stade Roi Baudouin pour donner un concert largement attendu. Tellement que les 50.000 billets se sont vendus en à peine une heure. La vente s’est ouverte sur le site de Live Nation, avec un système de file d’attente : premier arrivé, premier servi. Il est assez évident que beaucoup de fans se sont retrouvés les mains vides. Mais l’espoir de voir la star sur scène ne doit pas s’envoler pour autant.

L’affichage « complet » sur le site de Live Nation n’est pas une fatalité. Il vous reste une chance d’obtenir le précieux sésame : être réactif sur l’application ou le site internet Ticketswap. La plateforme permet de façon sécurisée, la revente de billets pour des spectacles et des concerts. « TicketSwap est une plateforme sécurisée. Les billets et les vendeurs présents sur notre plateforme sont contrôlés sur base de divers critères. Nous proposons des billets SecureSwap 100 % valides grâce à des partenariats avec des organisations et des billetteries », informe le site internet.

Pour les vendeurs

Comment l’application fonctionne ? « Il vous suffit de télécharger votre billet et de fournir les informations demandées. Après cela, vous n’aurez plus rien à faire – vous serez averti quand votre billet aura été vendu et l’argent sera transféré sur votre compte bancaire dans les 3 jours ouvrables ».

Pour les acheteurs

« Acheter un billet est tout aussi facile », assure de nouveau le site. « Vous pouvez payer directement via notre application. Le billet sera disponible sur votre compte TicketSwap et il sera également envoyé immédiatement sur votre boîte mail ».

Il est également important de savoir que la plateforme contrôle les prix. Contrairement à d’autre site de revente, Ticketswap empêche les vendeurs de se séparer de leur billet pour un montant supérieur à celui d’origine.

Autre conseil pour ceux qui espèrent encore avoir un billet : il est possible d’activer les notifications par mail ou SMS pour savoir quand un billet est mis en vente. C’est alors un jeu (plutôt frustrant) qui commence pour vous, la notification arrivant parfois dans un moment où vous n’êtes pas disponible ou parfois le billet a déjà eu le temps d’être vendu ! Sur 50.000 billets vendus, il est cependant tout à fait possible d’imaginer que certaines personnes devront céder leur billet, souvent en dernière minute.

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Afrique du Sud: une visite mi figue mi-raisin Belga. Pas de chance, la machine, bloquée par le dédouanement, n’est pas arrivée à temps pour la venue de Philippe et Mathilde. Le couple royal n’a pu voir que sa photo grandeur nature, « de la taille d’une cuisine Ikea », précise José Castillo, qui a créé la société de production de vaccins « Univercells », en 2013, à Jumet. Son procédé permettra de fabriquer 50 millions de doses de vaccin à ARN messager (ARNm) par an, dans les labos d’Afrigen, au Cap. « C’est notre premier client à l’étranger », se félicite cet ingénieur qui emploie 450 personnes. Le vaccin africain contre le Covid va bientôt être testé sur les animaux. La pandémie est passée mais le bébé servira à valider la technologie. « On espère produire d’autres vaccins à ARNm. Même contre le sida ! », se prend à rêver Ebrahim Patel, le ministre sud-africain du Commerce extérieur. La Belgique a investi 8 millions d’euros pour aider l’Afrique du Sud, le Rwanda et le Sénégal à se lancer dans cette aventure. C’est un secteur porteur : après Israël, la Belgique a la plus grosse concentration au monde de biotecs. Une autre société belge, eTherna, basée en Flandre, a mis au point un procédé permettant de conserver le vaccin sud-africain à -4 degrés (au lieu – 20º pour le vaccin Pfizer et – 80 pour Moderna). Une avancée fondamentale pour les pays du Sud, qui manquent de chaînes de froid. Afrigen joue un rôle pilote dans ce programme, coordonné par l’OMS, qui inclut 15 autres pays moins avancés… Castillo a des raisons de se frotter les mains. « Ma machine coûte 1 million d’euros, quinze fois moins que le procédé classique de fabrication vaccins », précise-t-il. À lire aussi Afrique du Sud: le roi Philippe en visite dans un pays en proie au doute Autour de Philippe, les hommes en kippas ont cédé leur place a de jeunes Noir(e)s, venus parler de leur combat pour se faire une place dans le monde très fermé du diamant. Khomotso Ramodipa a créé « Kwame diamonds » en 2018, inspirée par son père, qui travaillait comme ouvrier dans un atelier de polissage. « On ne peut pas réussir, sans un partenaire étranger », constate-t-elle. Une seule société « noire », alliée à un Anversois, figure parmi les 9 acheteurs sud-africains préférentiels du groupe diamantaire De Beers. « Les femmes sont encore très rares dans ce métier », regrette Ramodipa dont l’atelier de taille et polissage employait 20 ouvrières avant le Covid. « Même si le coût de la main-d’œuvre est bien plus élevé qu’en Inde, nous devons épauler le développement d’une industrie locale », souligne Kealeboga Pule, directeur de la filiale sud-africaine de la société anversoise Puczenik. Celle-ci est en train de construire un vaste bâtiment dans une zone « tax free », à Johannesburg, qui offrira un espace à ces jeunes entrepreneurs noirs. Plus de 100 emplois seront créés. Les diamantaires anversois sont soumis, de leur côté, à de plus en plus de pression pour s’approvisionner dans des pays en paix. La situation au Congo a justement été évoquée par Hadja Lahbib dans ses entretiens avec le président Cyril Ramaphosa et son homologue sud-africaine Naledi Pandoor. Mais aussi, bien sûr, l’Ukraine. Selon le site sud-africain « News 24, Ramaphosa aurait mal pris une tirade de la ministre belge des Affaires étrangères, lui rappelant que la Russie a bafoué les valeurs inscrites dans la Charte des Nations unies, en envahissant l’Ukraine. « C’est tout à fait faux. Pendant le diner d’Etat, le soir, on a eu une conversation très détendue. Même le Roi a laissé tomber son discours préparé. Nous respectons la politique de neutralité de l’Afrique du Sud, vis-à-vis de la Russie. Ce pays pourrait jouer un rôle de médiation, comme en Ethiopie. Nous avons aussi parlé de l’expérience belge dans les gouvernements de coalition ». Le Congrès national africain (ANC) craint de perdre sa majorité aux élections de 2024. Ce climat d’incertitude s’est fait ressentir pendant la visite. Le banquet d’Etat a été expédié en vitesse, avec un nombre plus limité d’invités que prévu. Ramaphosa a aussi annulé sa présence au concert de jazz belge, organisé vendredi soir, en son honneur. Les Belges s’attendaient à un meilleur accueil. C’est surtout dynamisme du secteur privé et de la société civile sud-africaine, les liens avec des partenaires belges, qui ont donné un sens à ce voyage. Plusieurs rencontres ont eu pour thème, l’entreprenariat social, un thème cher à Mathilde. Le couple royal a pu voir les progrès du projet » Close the gap » qui vient d’ouvrir une antenne à Philippi, un township du Cap. Cette société a justement été fondée à l’occasion de leur première visite à Philippi, en 2006. « A cette occasion, nous avions donné 1000 ordinateurs à une université du Cap », raconte son directeur, Olivier Vanden Eynde, qui vit à Nairobi. « Nous rachetons près de 200 000 ordinateurs par an en Belgique, les reconditionner et les redistribuer à des écoles ou des ONG. Notre objectif est de distribuer 30 000 ordinateurs par an en Afrique du Sud, dont 75 % seront achetés sur place ». Le Roi s’est ensuite livré aux photos d’usage, en posant avec des enfants de Philippi, en taguant « Pilip » sur une peinture murale, avant de frapper un ballon de foot. Avec son sourire emprunté d’homme timide, qui contraste avec celui, si éclatant, de son épouse. Le pays de Mandela reste un partenaire incontournable de la Belgique. Mais les incertitudes sur son avenir politique ont pesé sur la visite d’Etat. Par Valérie Hirsch Le 26/03/2023 à 19:22
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Valérie Glatigny sur la crise en FWB: «Il n’y aura plus de petit deal en dessous de la table»
Valérie Glatigny sur la crise en FWB: «Il n’y aura plus de petit deal en dessous de la table» «Ne comptez pas sur moi pour raconter que j’ai gagné. Pour moi, la politique, c’est l’art du compromis.» - Pierre-Yves Thienpont. Lorsqu’elle est passée, en 2019, de l’ombre des institutions européennes à la lumière du gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Valérie Glatigny ne s’attendait certainement pas à être quatre ans plus tard au cœur d’une crise politique majeure entre francophones. Ou encore d’une partie d’échec entre présidents de parti à l’ego surdimensionné. Elle revient sur les leçons de la crise. Qu’est-ce qui a permis, ce week-end, de dégager une solution ? Nous avons réussi à mettre les menaces de côté, menaces qui avaient eu pour effet de retarder la solution puisqu’elles ont provoqué un report du point au gouvernement. Ce fut un dossier extrêmement difficile : il dit la difficulté de changer des réflexes politiques assez anciens qui visent à privilégier un territoire plutôt qu’un autre. Or, en tant que ministre de l’Enseignement supérieur, je voulais montrer que je suis ministre pour toute la Fédération Wallonie-Bruxelles et pas pour une province plutôt qu’une autre. Bref, les menaces mises de côté, nous avons retrouvé une cohésion gouvernementale, avec des partenaires constructifs. Si d’autres dossiers non prévus dans la déclaration de politique communautaire – c’était le cas de celui-ci – devaient arriver, nous avons convenu d’en débattre d’abord au gouvernement. Donc à ne pas s’exprimer publiquement avant cette étape ? C’est ce qu’on m’a reproché. Vous devez cependant savoir que dans le dossier du master en médecine à l’Umons, j’ai reçu des pressions de toutes parts dès les premiers jours de mon mandat. Dois-je aussi rappeler que l’université de Mons a lancé un communiqué de presse en décembre, avant même que les demandes d’habilitations ne soient déposées sur ma table. Les pressions sont anciennes. Tout le monde savait qu’un tel dossier ne pouvait pas être géré sans tension. Vous parlez de vieux réflexes sous-localistes, mais la solution donne un peu raison à ceux qui les pratiquent non ? Oui et non. Je pense que tous les arguments que j’avais soulevés pour m’opposer ont été rencontrés. Je refusais le surfinancement de ces étudiants à Mons. Il n’y a plus de surfinancement. On a réglé la question de l’hôpital universitaire : l’habilitation sera retirée s’il devait y avoir un projet en la matière. J’avais des doutes sur l’argument de réduction de la pénurie. Or, l’exemple de Namur et Liège est parlant : Namur n’a pas de master mais la situation y est plus favorable qu’à Liège qui a un master. Je continue de penser qu’il n’y a pas forcément de lien entre l’endroit où tu étudies et l’endroit où tu t’installes. Une étude sera menée dans 5 ans pour objectiver l’effet du master à ce sujet. De façon plus générale, nous avons désormais une révision du système des invitations pour arrêter cette course à l’étudiant : une ouverture devra donner lieu à une fermeture, absence de financement les trois premières années pour responsabiliser les établissements, moratoire de deux ans… On va régler sur le long terme le problème d’un système vicié où les établissements sont poussés à demander sans cesse de nouvelles habilitations pour attirer les étudiants et donc ils se font une concurrence stérile. Qui a gagné ? Ne comptez pas sur moi pour raconter que j’ai gagné. Pour moi, la politique, c’est l’art du compromis. Et un compromis, ce n’est ni une compromission ni de l’entêtement. Ça demande du courage et je pense qu’on a réussi à faire preuve de courage. Nous avons des conditions très strictes qui encadrent le master et nous avons une réforme complète du système d’habilitation ; cela contribue une bonne gestion des impôts des citoyens. Comprenez-vous la dramatisation dans laquelle on est allé avec ce dossier ? C’est un dossier qui dit beaucoup sur les vieux réflexes politiques qui visent à privilégier un territoire plutôt qu’un autre. Mais je ne me sens pas diminuée parce que j’ai fait un compromis. Est ce que le gouvernement est apaisé aujourd’hui ? Oui. Vous savez, on a dû gérer des dossiers beaucoup plus compliqués : le deal sur les numéros Inami qui a permis de diplômer 250 médecins en plus, la refonte du décret paysage, le refinancement de l’enseignement supérieur, la fusion UCLouvain/Saint-Louis. A chaque fois, on a eu des partenaires avec lesquels on pouvait discuter. Ce fut finalement le cas ici aussi. Par ailleurs, n’oublions pas qu’on a réussi à mettre sur le devant de la scène de vraies solutions à de vrais problèmes, comme celui de la pénurie de médecins ou la manière de concevoir l’ouverture de nouvelles formations aussi. Ce sont désormais des sujets publics. Il n’y aura plus de petit deal en dessous de la table. Ça ne veut pas dire que ça se fait dans la facilité, ni qu’il n’y ait pas de pression très importante sur moi ces derniers jours mais je pense que ça n’a pas été vain. Vrai débat sur la manière d’aborder la pénurie, révision en profondeur du système des habilitations, dénonciation du sous-localisme… Valérie Glatigny tire les leçons de la crise. 1 Par Eric Burgraff Chef du service Société Le 26/03/2023 à 19:20
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Deux masters en médecine, à Mons et à Namur, et une sortie de crise pour la Communauté française
Deux masters en médecine, à Mons et à Namur, et une sortie de crise pour la Communauté française D.R. La nouvelle est tombée ce samedi, aux alentours de 20h, après des semaines de guerre ouverte entre les partis de la majorité gouvernementale PS-MR-Ecolo et de négociations, en coulisses cette fois, avec les ministres de cette même majorité. Résultat des courses, il y aura bien deux nouveaux masters en médecine sur le territoire de la Communauté française. L’un à l’Université de Mons. L’autre, en médecine générale, à l’Université de Namur. « Tout ça pour ça », diront certains. Oui et non… L’accord, qui octroie par la même occasion 55 autres habilitations, est bien assorti de limites très strictes. Financières, d’abord. L’Université de Mons ne pourra pas bénéficier d’un surfinancement pour la création d’un master en médecine. Ce sont les 450.000 euros de surcoût sur trois ans mentionnés par le MR. Les étudiants seront donc financés à 85 %, et non à 100 % comme pour les universités de taille moyenne. « Nous nous y attendions totalement, c’était déjà le fruit d’une réflexion que nous avions eue », assure Philippe Dubois, recteur de l’UMons et force vive dans ce dossier. « Nous allons recevoir des soutiens du monde industriel et privé, dont le montant s’élève à 150.000 euros par an. » A l’UNamur, où il sera question d’un master de spécialisation en médecine générale et non d’un master classique, la question financière est moins prégnante. « Pour les masters de spécialisation, nous ne sommes financés que deux ans par la Fédération Wallonie-Bruxelles au lieu de trois, donc on sait bien que l’université va devoir mettre de sa poche », fait savoir Pierre Gardin, doyen de la faculté de médecine. À lire aussi L’UNamur met un coup de pression pour obtenir son habilitation en médecine Autre restriction applicable aux établissements : l’évaluation des deux masters susmentionnés, et de leur plus-value, au bout de cinq années d’existence. Une étude indépendante sera chargée d’analyser l’existence d’un lien entre la création d’un master et l’installation de médecins généralistes en zone en pénurie. Autrement dit, le principal objectif à la création de ces deux masters. « Je trouve ça plutôt sain », indique Philippe Dubois. « J’aurais évidemment préféré que le délai soit plus long pour achever un cycle complet, mais il s’agit certainement d’un compromis politique », ajoute de son côté Pierre Gardin. Enfin, l’UMons aura l’interdiction formelle de solliciter l’ouverture d’un hôpital universitaire (qui coûterait 3 à 4 millions d’euros par an à la FWB). En cas de rupture de contrat, la formation sera directement interrompue. « Il serait d’ailleurs suicidaire de notre part de créer un hôpital universitaire et de mettre à mal notre partenariat avec l’ULB », confesse le recteur montois. « On s’attendait dès le départ à ces mesures restrictives. » La fin d’une séquence politique Reste que toute cette séquence politique laisse un goût amer. Politiquement, il faudra de nouveau recoller les morceaux après le coup de force de Georges-Louis Bouchez, esseulé, qui a voulu passer en force sans tenir compte de l’avis de ses partenaires de majorité, et celui de Paul Magnette qui, ulcéré sur le fond et la forme, a fait de ce dossier finalement banal dans une législature un casus belli, menaçant le MR de trouver une majorité alternative. Sans le sang-froid du gouvernement de la Communauté française qui a repris la main, faisant fi des oukases présidentiels, le dossier patinerait encore. « On a perdu du temps, car un accord similaire était déjà sur la table il y a 15 jours », dit-on d’un côté. « La réalité est plus nuancée : cela fait des semaines qu’on négocie dans ce dossier, et sans les sorties présidentielles, tout aurait été plus vite », dit-on de l’autre. À lire aussi Médecine à l’UMons: pourquoi Magnette a joué l’épreuve de force contre Bouchez Pour éviter que la prochaine pomme de discorde ne tourne en mélodrame, les présidents de parti ont passé un pacte : s’en tenir aux accords de gouvernement, discuter entre partenaires de majorité dans le cas d’un dossier qui se situerait hors-accord de gouvernement, et éviter de brandir la menace d’une majorité alternative. A voir si la trêve tiendra, chaque parti avançant déjà ses arguments pour montrer qu’il sort gagnant de la séquence. « Or, dans chaque compromis, on gagne un peu et on perd un peu », lâche une source proche du dossier. Car, si le MR a dû observer une courbe rentrante quant à l’existence d’un master à Mons et à Namur, il a réussi à imposer l’interdiction de surfinancement et celle de solliciter l’ouverture d’un hôpital universitaire. Quant aux socialistes, ils peuvent se targuer d’avoir obtenu ce qu’ils désiraient (le master à Mons), mais au prix d’une menace dont ils ne sortent pas grandis, et d’ajustements qui encadrent bien mieux la création de ces masters. Un calendrier bouleversé ? Pour les universités, l’heure est aux réjouissances, malgré le tournant brûlant et inattendu qu’aura pris un dossier, à première vue, minoritaire. « Tout le monde s’y retrouve et je m’en réjouis », résume Philippe Dubois. Lui qui s’était pourtant livré avec le président du MR (également membre du CA de l’UMons) à une véritable passe d’armes, allant jusqu’à réclamer sa démission du CA. « Que ça soit très clair », nous dit-il : « je n’ai jamais eu aucun conflit interpersonnel ni avec le président du MR, ni avec la ministre Glatigny. J’ai constaté un désaccord sur ce dossier, je constate que l’on a trouvé un accord. C’est tout ce que je retiendrai. » À lire aussi A l’UMons, le recteur veut la démission de Georges-Louis Bouchez Alors que l’UMons maintiendra l’ouverture de son master à la rentrée 2024-2025, comme initialement prévu, l’UNamur pourrait bien voir son calendrier bouleversé. Le doyen Pierre Gardin se dit déçu à l’égard du monde politique qui a, lui semble-t-il, « instrumentalisé un dossier purement technique ». L’Université de Namur avait prévu d’ouvrir son master de spécialisation à la rentrée 2023-2024. Désormais, elle ne souhaite plus avancer de timing : « Il y a déjà bien longtemps que l’on aurait dû recevoir cette réponse. Notre calendrier a été bouleversé par cette tempête politique. Je suis convaincu que sans le master de l’UMons, le nôtre aurait déjà été accordé. On n’a pas arrêté de faire un amalgame entre nos demandes. » Afin de prévenir d’un nouvel imbroglio, l’accord de majorité prévoit de réformer le fonctionnement du système des habilitations. Jusqu’à la fin de la législature, aucune nouvelle offre de formation ne sera accordée. Après ça, toute nouvelle habilitation devra s’organiser sans financement pendant trois ans de façon, dit-on, à responsabiliser les établissements. Suite et, très certainement, fin du dossier des masters en médecine. Le gouvernement a tranché : l’UMons aura son master… sous certaines conditions. Au sein des partis de la majorité, chacun célèbre la victoire face à son adversaire. Par Charlotte Hutin et Stéphane Vande Velde Le 26/03/2023 à 19:16
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Diablotins: retour attendu pourYorbe Vertessen Yorbe Vertessen. - PhotoNews Sous le soleil de Pinatar, les Diablotins continuent de préparer l’Euro Espoirs. Trois jours après la terne prestation contre la République tchèque (0-0), les U21 belges vont, ce lundi soir (19h), affronter le Japon. Un deuxième test face à un adversaire très valeureux, qui vient d’ailleurs d’accrocher l’Allemagne, championne d’Europe en titre dans cette catégorie d’âge. Pour l’occasion, Jacky Mathijssen espère une prestation plus convaincante au niveau de l’animation offensive. « On va essayer d’avoir plus de confort en possession de balle », soulignait le sélectionneur belge. « Le Japon est une équipe nerveuse, qui bouge énormément. Ses joueurs ne sont jamais battus, dans n’importe quelle position. C’est ça que l’on cherchait en choisissant nos adversaires. Nous donnerons beaucoup de libertés, comme nous faisons toujours pour un amical. » Déjà privés de plusieurs éléments pour diverses raisons (Bakayoko, Raskin, Verschaeren, Onana, Openda…), les Diablotins devront aussi faire sans Michel-Ange Balikwisha, rentré en Belgique pour assister à la naissance de son enfant. En revanche, l’attaquant saint-gillois Yorbe Vertessen, blessé depuis une dizaine de jours, devrait effectuer son retour. « Il est actuellement apte à débuter le match, mais nous ne prendrons aucun risque », précisait Mathijssen. Entre les perches, Senne Lammens, lui, prendra « normalement » la place de Maarten Vandevoordt, qui avait joué 90 minutes vendredi dernier. Après le terne partage signé contre la République tchèque vendredi, les Diablotins affrontent ce lundi soir (19h) le Japon. Par Jean-François Patte Le 26/03/2023 à 19:02
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Plusieurs centaines de personnes dans les rues de Bruxelles en faveur du droit au logement
Des centaines de personnes ont défilé dimanche après-midi à Bruxelles, depuis la station Comte de Flandre à la place du Jeu de Balle, pour manifester en faveur du droit au logement, dans le cadre du "Housing Action Day" partout en Europe.
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Vous avez sans doute des petites éponges à vaisselle dans votre cuisine. Mais saviez-vous que vous pouvez les utiliser autrement?
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“Mama stuurde mij nog een bericht. Nu blijkt dat iemand anders het heeft gestuurd”: Kevin (38) getuigt voor het eerst nadat zijn moeder Marleen (64) dood werd teruggevonden
Sinds vrijdag staat de wereld van Kevin Liekens (38) uit Leuven stil. Toen kwam de politie het nieuws brengen dat zijn mama, Marleen V.L. (64), dinsdag vermoord is teruggevonden in het grensdorp Koewacht. Een dertiger werd opgepakt. Maar wie die verdachte is en waarom Marleen dood moest, blijft voor haar zoon een raadsel. Kevin doet bij HLN voor het eerst zijn verhaal: “Ik dacht dat ze de hele tijd gewoon aan de kust zat.”
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DNA van Beethovens haar onthult medische en familiegeheimen
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Na dieselgate: nog miljoenen wagens met verdachte uitstoot op de weg, zegt nieuw rapport
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Italië legt Duits reddingsschip aan ketting
De Italiaanse autoriteiten hebben het Duitse reddingsschip Louise Michel in de haven van Lampedusa tijdelijk aan de ketting gelegd. Dat gebeurde nadat de bemanning 180 migranten aan land had gebracht bij vier reddingsmissies op de Middellandse Zee.
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Brussel behoudt kredietrating AA- met negatieve vooruitzichten
18:53 Kredietbeoordelaar Standard & Poor's (S&P) waarschuwt voor een snelle stijging van de schuld van het Brussels Gewest. Maar hij verwijst ook naar de belofte om het begrotingstekort vanaf 2024 te vermin...
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P1 | Réduit à 10, Sprimont ne pouvait rien face à Aubel... «La saison devient longue» (Vidéos)
Rapidement réduit à dix alors que le marquoir affichait déjà le score de 0-1, Sprimont B n’a jamais été en mesure d’inquiéter un Aubel maître de son sujet d’un bout à l’autre d’un match désormais synonyme de maintien.
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Elio Di Rupo rencontre des jeunes d’un bidonville de Johannesburg
Elio Di Rupo rencontre des jeunes d’un bidonville de Johannesburg Naomi Mbayu, mentor bénévole de Sizanani depuis 2014 avec Thuli, étudiante faisant partie du programme. Ce que je n’avais pas réalisé au départ, c’est que j’ai autant appris de ces jeunes que je ne les ai guidés dans leur parcours », confie Naomi Mbayu, l’une des 117 mentors bénévoles du programme « Sizanani » (« Aidons-nous les uns les autres » en zoulou), financé par la Région wallonne, à hauteur de 25.000 euros par an. Née à Bruxelles d’une famille congolaise, Mbayu travaille pour une grande banque sud-africaine à Johannesburg. Depuis 2014, elle a « mentoré » cinq jeunes du programme, tous élèves du secondaire dans le township d’Alexandra, l’un des plus pauvres de la capitale économique du pays. Les mentors organisent des sorties avec eux et les aident à choisir des études supérieures. Souvent, ils sont les premiers de leur famille à aller à l’université. « Quand j’ai rencontré Naomi, en classe de quatrième, j’étais très introvertie, explique Thuli, qui étudie les métiers du spectacle. Elle m’a insufflé beaucoup de confiance en moi et m’a toujours soutenue ». Une centaine de bourses La Région wallonne est le principal sponsor financier de Sizanani, qui organise aussi des visites d’entreprise, une foire aux métiers, des ateliers d’aide émotionnelle et même des cours de français. Depuis 2014, une centaine d’étudiants ont reçu une bourse de Wallonie Bruxelles International, puis de la Région wallonne. Une aide cruciale pour ces jeunes vivant dans l’un des pays les plus inégalitaires au monde, qui compte 42 % de chômeurs chez les 25 à 34 ans. Le spectacle a eu lieu à l’école privée Saint Mary’s, la plus ancienne école de filles de Johannesburg, qui offre des cours de soutien scolaire chaque samedi à ces élèves. « C’était très émouvant. Et je pense que même avec une petite contribution, c’est important que mon pays puisse financer ce type de projets », a affirmé Di Rupo, tout en soulignant l’importance de l’éducation « pour ne pas être objet mais devenir acteur et actrice » du monde. Il a aussi assisté à la signature d’un accord de partenariat entre la Chambre belge de commerce en Afrique du Sud et l’association Sizanani, pour guider des jeunes du programme qui se lancent dans l’entreprenariat. Le ministre-président de Wallonie a assisté, vendredi 24 mars, à un spectacle de danse et chant organisé par des adolescents bénéficiaires du programme de mentorat « Sizanani ». Par Gabriele Porrometo Le 26/03/2023 à 18:52
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Toch opnieuw kamperen: ouders staan twee dagen voor de schoolpoort om plekje te garanderen in bijzonder secundair onderwijs
Karen Devleeschhouwer (40) staat al sinds zaterdagochtend te wachten. Op zoek naar een plek voor haar zoontje van 12, die van de lagere naar de secundaire school gaat. Twee weken geleden kregen de ouders een telefoontje van de school: digitaal inschrijven, een coronamaatregel, kan niet meer. Kamperen dus. Alweer. “We hebben geen plan B.”
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Balade sous la pluie pour Liège
Gand n’a jamais inquiété le RFCL, rapidement en supériorité numérique.
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Guerre en Ukraine: Washington n'a "aucune indication" que Moscou ait transféré des armes nucléaires au Bélarus
Les Etats-Unis n'ont "aucune indication" que la Russie ait transféré des armes nucléaires au Bélarus, ni même que le président Vladimir Poutine ait l'intention de recourir à l'arme nucléaire en Ukraine, a déclaré dimanche un haut responsable américain.
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2.000 têtes de béliers momifiées découvertes dans le temple de Ramsès II
Plus de 2.000 têtes de béliers momifiées datant de l’ère ptolémaïque ont été découvertes dans le temple de Ramsès II, dans la cité antique d’Abydos, dans le sud de l’Egypte, ont annoncé dimanche les autorités.
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Guerre en Ukraine: «Poutine brandit de nouveau l’arme nucléaire pour faire peur»
Guerre en Ukraine: «Poutine brandit de nouveau l’arme nucléaire pour faire peur» Vladimir Poutine a annoncé avoir obtenu l’accord de Minsk pour déployer des missiles nucléaires «tactiques» (à courte portée) en Biélorussie, un pays dirigé depuis 1994 par son allié Alexandre Loukachenko. - Belga. Pour la énième fois depuis qu’il est en train de perdre « sa » guerre, Vladimir Poutine brandit la menace nucléaire. Samedi, il a annoncé avoir obtenu l’accord de Minsk pour déployer des missiles nucléaires « tactiques » (à courte portée) en Biélorussie, un pays dirigé depuis 1994 par son allié Alexandre Loukachenko. En août dernier, le gouvernement russe avait déjà annoncé le déploiement de missiles nucléaires dans l’enclave de Kaliningrad coincée entre la Pologne et la Lituanie. Mais rien ne permet d’affirmer qu’ils y sont arrivés… On sait par contre que la Russie y a basé des missiles Iskander d’une portée de 700 km capables d’emporter des têtes nucléaires. La nuance est importante car il s’agit d’une arme de dissuasion massive censée ne jamais être utilisée puisqu’elle déclencherait une riposte plus forte de l’ennemi. function get_dtkCxSegments() { if ('cxSegments' in localStorage) { /* Récupération de cxSegments + initialisation de variables destinées à en limiter la longueur */ let cx = localStorage.getItem("cxSegments"), valueCx = cx.split(","), valueCxLimited = [], charLength = 0, limit = 2000; /* Limitation de la longueur de la chaine de caractère */ for (var i = 0; i < valueCx.length; i++) { charLength = charLength + valueCx[i].length; if (charLength À lire aussi Guerre en Ukraine: «la menace d’une guerre nucléaire grandit», selon Poutine Depuis le début de l’invasion de l’Ukraine par la Russie et le fiasco de l’opération de la prise de Kiev en six jours, plusieurs hauts responsables russes – dont l’ancien président Dmitri Medvedev – ont à plusieurs reprises menacé d’utiliser l’arme nucléaire en cas d’escalade. « Cela fait partie de la doctrine nucléaire russe », confirment régulièrement des experts militaires occidentaux sans s’inquiéter davantage. Poutine a motivé sa décision par l’annonce du Royaume-Uni d’envoyer des munitions à uranium appauvri avec ses quatorze chars d’assaut Challenger 2 promis à l’Ukraine. « Ce type d’obus n’a rien à voir avec une arme nucléaire », précisait la semaine dernière au Soir Kris Quanten, de l’Ecole royale militaire (ERM). « Les Russes utilisent aussi des obus à uranium appauvri en Ukraine et ne voient pas où est le problème. Ils sont très efficaces pour percer les blindages de chars ». « Peur de perdre la guerre » « M. Poutine admet qu’il a peur de perdre (la guerre) et que tout ce qu’il peut faire, c’est de faire peur », a déclaré dimanche sur Twitter le conseiller présidentiel ukrainien Mykhaïlo Podoliak. Ce dernier a également accusé le président de la fédération de Russie de « violer le traité de non-prolifération nucléaire ». Lors de son annonce, Vladimir Poutine a précisé que ce déploiement en Biélorussie se ferait « sans contrevenir aux accords internationaux sur la non-prolifération nucléaire ». Il ne s’agira pas d’un déploiement de nouvelles ogives nucléaires mais d’un transfert d’armes existantes de la Russie vers son voisin ; ce qui prendre un certain temps. À lire aussi Guerre en Ukraine: «Une attaque nucléaire russe n’est pas du tout inenvisageable» « Les Etats-Unis déploient depuis longtemps leurs armes nucléaires tactiques sur le territoire de leurs alliés », a déclaré Vladimir Poutine lors d’une interview à la télévision russe. « Nous avons convenu de faire de même », a-t-il ajouté, disant prévoir de former les équipages à partir du 3 avril et de « terminer la construction d’un entrepôt spécial pour les armes nucléaires tactiques sur le territoire de la Biélorussie le 1er juillet ». Il y a un mois, la Russie a suspendu sa participation au traité New Start de réduction d’armes stratégiques nucléaires signé en avril 2010 avec les Etats-Unis, bien qu’elle a promis de respecter la limitation de son arsenal atomique jusqu’à la fin effective de cet accord début 2026. La doctrine nucléaire russe ne prévoit pas l’utilisation préventive par la Russie de l’arme nucléaire, mais seulement en réponse à une attaque ou en cas de « menace sur l’existence même de l’Etat ». Ce qui n’est pas le cas jusqu’à présent. Précisons enfin qu’un missile de croisière est essentiellement tactique (courte ou moyenne portée) et qu’un missile balistique est le plus souvent stratégique (longue portée). Le président de la fédération de Russie a annoncé le déploiement d’armes nucléaires en Biélorussie mais pas avant le mois de juillet. L’Ukraine demande une réunion urgente du Conseil de sécurité de l’ONU. Les Etats-Unis temporisent. Par Philippe de Boeck Chef du service Monde Le 26/03/2023 à 18:47
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Kat Kerkhofs deelt vertederende video voor eerste verjaardag van zoontje Ciro Mertens
Ciro Romeo, het zoontje van Dries Mertens en Kat Kerkhofs, is jarig. Het kleine baasje is 1 jaar geworden. Om dat te vieren deelde Kat Kerkhofs op haar Instagrampagina deze vertederende video. Het is een compilatie van de leukste beelden en momenten die ze al met de kleine Ciro Romeo mochten beleven. Ook vrienden en familie komen volop aan bod in de mooie video. Aan liefde en aandacht had het jongetje alvast geen gebrek tijdens zijn eerste levensjaar!
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BNXT League: Ostende remporte le choc contre Den Bosch, le Brussels s'offre le duel des capitales
Découvrez les résultats basket de ce dimanche.
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Sep Vanmarcke barst van het vertrouwen na verrassende derde plaats in Gent-Wevelgem: “Dan kan het ook lukken in de Ronde”
Na het geweld van Jumbo-Visma sprintte Sep Vanmarcke (Israel-Premier Tech) zondag naar een knappe derde plaats in Gent-Wevelgem (WorldTour). Eerder werd Vanmarcke al twee maal tweede in Wevelgem (2010 en 2016). Vanmarcke lijkt klaar voor zijn twee volgende doelen: Ronde van Vlaanderen en Parijs-Roubaix
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Tour de Catalogne : vainqueur de la dernière étape, Remco finit en beauté
Evenepoel a gagné deux étapes et terminé deuxième du classement général. Il est dans les temps pour le Giro.
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N1 | Voic les bulletins du RFC Liège après sa victoire contre Gand B: un bon rendement pour les pions offensifs sang et marine
Voici les cotes que nous avons attribuées aux joueurs du matricule 4 après leur succès (4-1) sur les U23 de La Gantoise, ce dimanche.
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Guerre en Ukraine: l'UE menace le Bélarus de nouvelles sanctions
Le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell a averti dimanche que l'UE était "prête" à adopter de nouvelles sanctions contre le Bélarus si ce pays déployait des armes nucléaires russes sur son territoire.
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Diables rouges: pourquoi l’absence de Thibaut Courtois contre l’Allemagne était presque courue d’avance
Diables rouges: pourquoi l’absence de Thibaut Courtois contre l’Allemagne était presque courue d’avance Courtois se prépare à vivre un mois d’avril démentiel avec le Real Madrid. - AFP D’une publication sur les réseaux sociaux dimanche, la Fédération belge a officialisé ce que tout le monde pressentait : Thibaut Courtois ne sera pas du voyage à Cologne mardi soir pour le match contre l’Allemagne. En raison d’une douleur aux adducteurs, le gardien a déjà quitté le rassemblement pour repartir à Madrid et laisser la cage à Koen Casteels. Toujours selon la version officielle, il s’agit d’un choix « par précaution ». Notamment parce que le mois d’avril s’annonce démentiel pour Courtois avec son club. Entre la Liga, la Ligue des champions et la demi-finale retour de Coupe du Roi à Barcelone, il disputera neuf rencontres avec le Real Madrid. Mais ce n’est pas le seul élément à être entré en ligne de compte. Parce que depuis quelques années, Thibaut Courtois a un passif de renoncement lorsque les rencontres des Diables ont une moindre importance. Si son absence lors de deux matches de Nations League au Danemark et contre l’Islande en septembre 2020 était liée à un contrôle positif au Covid – il n’avait jamais été confirmé par la Fédération, le Real ou Courtois lui-même –, le dernier rempart des Diables a déjà délibérément loupé deux rendez-vous internationaux en 2021. En septembre, et comme plusieurs autres joueurs dont Lukaku et Witsel, il n’avait pas pris la direction de Kazan pour affronter la Biélorussie. Deux mois plus tard, c’est un déplacement à Cardiff que le portier du Real n’avait pas honoré alors que la Belgique venait de valider son billet pour la Coupe du monde au Qatar. Touché aux adducteurs, il déclare forfait pour le match en Allemagne de mardi soir (20h45). Pas la première fois que Courtois agit de la sorte. Koen Casteels est prêt pour l’intérim. Par GUILLAUME RAEDTS Le 26/03/2023 à 18:43
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Scohy (Binche) a sorti trois buts de son chapeau face à Stockay
Menés à la pause, les Lions ont su se rebiffer. La fin de saison peut être entrevue avec sérénité.
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"Wout a été incroyable": la réaction de Christophe Laporte après sa victoire à Gand-Wevelgem
Christophe Laporte a remporté dimanche la 85e édition de Gand-Wevelgem après un long duo de plus de 50 kilomètres avec son coéquipier Wout van Aert.
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Christophe Laporte après sa victoire à Gand-Wevelgem : “Wout était le plus fort, il est incroyable”
Quatrième Français vainqueur de la classique des éventails, le Français sait ce qu’il doit à son ami et équipier.
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Superfan teleurgesteld na Air Max Day: “De buit is binnen, maar niet vet”
De hoogmis voor Sneakerfans - Air Max Day - was dit jaar geen hoogvlieger. Of toch niet volgens Sneakerkenner Tom Jans uit Bree. “In vergelijking met vorig jaar was de buit niet vet.”
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L'Allemagne sera privée de deux pions face aux Diables
L'Allemagne sera privée de Kai Havertz, malade, et Nico Schlotterbeck, blessé, pour son match amical contre les Diables Rouges mardi à Cologne, a annoncé dimanche la fédération allemande de football (DFB).
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Herlings pakt 100ste GP-zege en heeft record van Everts bijna te pakken
Jeffrey Herlings (28) heeft in Riola Sardo zijn 100ste GP-zege gepakt. De Nederlander had in het duinzand genoeg aan twee tweede plaatsen.
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P3B | Vivegnis décroche un point au caractère dans le derby face à Houtain (Vidéos)
Les Vignerons sont parvenus à accrocher le leader houtinois dans des conditions climatiques compliquées qui ont rendu le derby encore plus rugueux et intense que prévu. Vivegnis s’en sort donc avec un point glané au caractère.
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Ook thrillers van Agatha Christie worden herschreven in Verenigd Koninkrijk
De boeken van de Britse auteur Agatha Christie zien er in de nieuwe versies iets anders uit. Ze kregen namelijk een herziening om “kwetsend taalgebruik” te verwijderen. Dat meldt The Telegraph.
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